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est métaphorique : le moi lyrique se demande s'il s'agit du bord de la mer ou du bord d'une pauvre pensée. Leș traductions de ce titre oscillent entre le côté abstrait (Sanda Stolojan supprime même le complément de lieu du titre) et le côté matériel (Jean Poncet introduit le nom " la falaise " dans să traduction, choix qui n'est pas adéquat) : Un homme se penche sur le bord (Miclău, 1978 : 267) ; Un homme se penche par-dessus le bord (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 135
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1996 : 98) ; Un homme se penche au-dessus du bord (Pop-Curșeu, 2003 : 57) ; Un être se penche sur le bord (Loubière, 2003 : 27). À notre sens, la référence " sur le bord " devrait être gardée en traduction pour préserver l'ambiguïté du titre d'origine. → Le titre Liniște între lucruri bătrâne contient l'un des motifs favoris de Blaga, à savoir " leș choses ". Leș versions que nous avons retenues șont leș suivantes : Silence entre leș vieilles choses (Miclău, 1978 : 269) ; Silence entre leș
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se penche au-dessus du bord (Pop-Curșeu, 2003 : 57) ; Un être se penche sur le bord (Loubière, 2003 : 27). À notre sens, la référence " sur le bord " devrait être gardée en traduction pour préserver l'ambiguïté du titre d'origine. → Le titre Liniște între lucruri bătrâne contient l'un des motifs favoris de Blaga, à savoir " leș choses ". Leș versions que nous avons retenues șont leș suivantes : Silence entre leș vieilles choses (Miclău, 1978 : 269) ; Silence entre leș choses anciennes (Stolojan, 1992
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31) ; Le vieux moine me parle à mi-voix depuis le pas de la porte (Villard, 2009 : 59). L'emploi du gérondif (" me parlant baș "), tout comme une version trop longue et explicative (comme la version de Paul Villard) alourdissent inutilement le titre dans la langue cible. → Nous avons analysé la métaphore centrale du poème Bunătate toamnă (littéralement : " bonté en automne ") dans la Section 1. 1. 2. 2. du Chapitre V. Leș versions que nous avons retenues șont leș suivantes : La bonté en
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1. 2. 2. du Chapitre V. Leș versions que nous avons retenues șont leș suivantes : La bonté en automne (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 143) ; Bonté, automne (Ierunca, 1975 : 6) ; Bonté en automne (Pop-Curșeu, 2003 : 67) ; Bonté d'automne (Loubière, 2003 : 37). → Le titre Înviere de toate zilele contient le terme religieux " înviere ", traduit littéralement : Résurrection quotidienne (Miclău, 1978 : 275) ; Résurrection quotidienne (Pop-Curșeu, 2003 : 63) ; Résurrection quotidienne (Loubière, 2003 : 33). → Le titre Din cer a venit un cântec de lebădă est traduit littéralement : Du
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en automne (Pop-Curșeu, 2003 : 67) ; Bonté d'automne (Loubière, 2003 : 37). → Le titre Înviere de toate zilele contient le terme religieux " înviere ", traduit littéralement : Résurrection quotidienne (Miclău, 1978 : 275) ; Résurrection quotidienne (Pop-Curșeu, 2003 : 63) ; Résurrection quotidienne (Loubière, 2003 : 33). → Le titre Din cer a venit un cântec de lebădă est traduit littéralement : Du ciel parvint un chant de cygne (Miclău, 1978 : 277) ; Du ciel parvient un chant de cygne (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 145) ; Un chant de cygne est venu du ciel (Stolojan
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chant de cygne (Poncet, 1996 : 104) ; Du ciel est descendu un chant de cygne (Pop-Curșeu, 2003 : 69) ; Du ciel est descendu un chant du cygne (Loubière, 2003 : 39) ; Un chant de cygne est descendu du ciel (Villard, 2009 : 75). → Le titre Taină inițiatului contient le terme clé " taină ". Dans le cas de ce titre, le nom " taină " est traduit en général par " secret " et non par " mystère " : Le secret de l'initié (Miclău, 1978 : 287) ; Le secret de l'initié (Poncet, 1996
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de cygne (Pop-Curșeu, 2003 : 69) ; Du ciel est descendu un chant du cygne (Loubière, 2003 : 39) ; Un chant de cygne est descendu du ciel (Villard, 2009 : 75). → Le titre Taină inițiatului contient le terme clé " taină ". Dans le cas de ce titre, le nom " taină " est traduit en général par " secret " et non par " mystère " : Le secret de l'initié (Miclău, 1978 : 287) ; Le secret de l'initié (Poncet, 1996 : 110) ; Le mystère de l'initié (Pop-Curșeu, 2003 : 77) ; Le secret de
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Accompagnant le grand aveugle (variante) (Miclău, 1978 : 289) ; Je tiens le grand aveugle par la main (Stolojan, 1992 : 47) ; Main dans la main avec le grand aveugle (Pop-Curșeu, 2003 : 79) ; Le grand aveugle par la main (Loubière, 2003 : 49). → Le titre Fiica pământului joacă est traduit littéralement : La fille de la terre danse (Miclău, 1978 : 293) ; La fille de la terre danse (Pop-Curșeu, 2003 : 83) ; La fille de la terre danse (Loubière, 2003 : 53). → Le titre Am inteles păcatul ce apasă peste casa mea
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aveugle par la main (Loubière, 2003 : 49). → Le titre Fiica pământului joacă est traduit littéralement : La fille de la terre danse (Miclău, 1978 : 293) ; La fille de la terre danse (Pop-Curșeu, 2003 : 83) ; La fille de la terre danse (Loubière, 2003 : 53). → Le titre Am inteles păcatul ce apasă peste casa mea est traduit littéralement. Philipe Loubière interprète le verbe " a apasă " (" peser ") comme " ronger ", ce qui contribue à accroître la poéticité de șa version : J'ai compris le péché qui pèse sur mă
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297) ; J'ai compris le péché qui pèse sur mă maison (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 157) ; J'ai compris le péché qui pèse sur mă maison (Pop-Curșeu, 2003 : 85) ; J'ai compris le péché qui ronge mă maison (Loubière, 2003 : 55). → Le titre Fiu al faptei nu sunt contient une allusion faustienne.1565 Leș versions proposées par leș traducteurs șont : Je ne suiș pas fils de l'œuvre (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 163) ; Je ne suiș pas fils de l'acte (Pop-Curșeu, 2003 : 91) ; Fils
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versions proposées par leș traducteurs șont : Je ne suiș pas fils de l'œuvre (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 163) ; Je ne suiș pas fils de l'acte (Pop-Curșeu, 2003 : 91) ; Fils de l'agir je ne suiș pas (Loubière, 2003 : 61). → Le titre Fum căzut est traduit par Fumée basse (Miclău, 1978 : 319) et par Fumée penchée (Stolojan, 1992 : 61). → Le titre Cap aplecat est traduit par Tête penchée (Miclău, 1978 : 339) et Tête inclinée (Stolojan, 1992 : 69). → Le verbe " a se sfâșia
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suiș pas fils de l'acte (Pop-Curșeu, 2003 : 91) ; Fils de l'agir je ne suiș pas (Loubière, 2003 : 61). → Le titre Fum căzut est traduit par Fumée basse (Miclău, 1978 : 319) et par Fumée penchée (Stolojan, 1992 : 61). → Le titre Cap aplecat est traduit par Tête penchée (Miclău, 1978 : 339) et Tête inclinée (Stolojan, 1992 : 69). → Le verbe " a se sfâșia " (littéralement : " se déchirer ") du titre Ioan se sfâșie în pustie est interprété par Sanda Stolojan comme " se lamenter ", verbe
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par Fumée basse (Miclău, 1978 : 319) et par Fumée penchée (Stolojan, 1992 : 61). → Le titre Cap aplecat est traduit par Tête penchée (Miclău, 1978 : 339) et Tête inclinée (Stolojan, 1992 : 69). → Le verbe " a se sfâșia " (littéralement : " se déchirer ") du titre Ioan se sfâșie în pustie est interprété par Sanda Stolojan comme " se lamenter ", verbe à connotations bibliques : Jean se lamente dans le désert (Stolojan, 1992 : 77). → Le titre Cetire din palmă est interprété par Sanda Stolojan comme L'avenir dans
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Stolojan, 1992 : 69). → Le verbe " a se sfâșia " (littéralement : " se déchirer ") du titre Ioan se sfâșie în pustie est interprété par Sanda Stolojan comme " se lamenter ", verbe à connotations bibliques : Jean se lamente dans le désert (Stolojan, 1992 : 77). → Le titre Cetire din palmă est interprété par Sanda Stolojan comme L'avenir dans leș lignes de la main (Stolojan, 1992 : 79), version poétique. → Le titre Tăgăduiri est traduit par Dénégations (Miclău, 1978 : 359) et Désaveux (Stolojan, 1992 : 83). → Le nom " blestem " (littéralement
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comme " se lamenter ", verbe à connotations bibliques : Jean se lamente dans le désert (Stolojan, 1992 : 77). → Le titre Cetire din palmă est interprété par Sanda Stolojan comme L'avenir dans leș lignes de la main (Stolojan, 1992 : 79), version poétique. → Le titre Tăgăduiri est traduit par Dénégations (Miclău, 1978 : 359) et Désaveux (Stolojan, 1992 : 83). → Le nom " blestem " (littéralement : " malédiction ") du titre Vraja și blestem est interprété par leș traducteurs comme un " blasphème " : Charme et blasphème (Miclău, 1978 : 385) ; Charme et blasphème
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palmă est interprété par Sanda Stolojan comme L'avenir dans leș lignes de la main (Stolojan, 1992 : 79), version poétique. → Le titre Tăgăduiri est traduit par Dénégations (Miclău, 1978 : 359) et Désaveux (Stolojan, 1992 : 83). → Le nom " blestem " (littéralement : " malédiction ") du titre Vraja și blestem est interprété par leș traducteurs comme un " blasphème " : Charme et blasphème (Miclău, 1978 : 385) ; Charme et blasphème (Poncet, 1996 : 138). Pourtant, leș deux termes șont loin d'être synonymes. → Le nom " alean " qui est, en quelque sorte
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deux termes șont loin d'être synonymes. → Le nom " alean " qui est, en quelque sorte, synonyme de " dor ", est interprété par leș traducteurs comme une " nostalgie " ou un " doux chagrin " : Nostalgie (Miclău, 1978 : 415) ; Doux chagrin (Romanescu, 1998 : 53). → Le titre Poetul est traduit par Paul Miclău littéralement : Le poète (1978 : 429). Pourtant, le nom " Poetul " commence par une majuscule dans le poème source, car îl fait référence à Rainer Maria Rilke, poète que Blaga admirait profondément. La traduction du titre
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titre Poetul est traduit par Paul Miclău littéralement : Le poète (1978 : 429). Pourtant, le nom " Poetul " commence par une majuscule dans le poème source, car îl fait référence à Rainer Maria Rilke, poète que Blaga admirait profondément. La traduction du titre en français devrait préserver la majuscule du texte source. → Le titre Cântecul brumelor, urmelor contient un jeu phonique, grace à la reprise des consonnes " b ", " r ", tout comme de la voyelle " u ". Ce jeu des sonorités est perdu en traduction : La
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429). Pourtant, le nom " Poetul " commence par une majuscule dans le poème source, car îl fait référence à Rainer Maria Rilke, poète que Blaga admirait profondément. La traduction du titre en français devrait préserver la majuscule du texte source. → Le titre Cântecul brumelor, urmelor contient un jeu phonique, grace à la reprise des consonnes " b ", " r ", tout comme de la voyelle " u ". Ce jeu des sonorités est perdu en traduction : La chanson des frimas, de traces (Miclău, 1978 : 501). → Le titre Drumeție
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Le titre Cântecul brumelor, urmelor contient un jeu phonique, grace à la reprise des consonnes " b ", " r ", tout comme de la voyelle " u ". Ce jeu des sonorités est perdu en traduction : La chanson des frimas, de traces (Miclău, 1978 : 501). → Le titre Drumeție (littéralement : " voyage à pied ") contient dans son sémantisme l'idée de " drum " (" chemin "). Le traducteur récupère dans să version cette idée de base, qui est aussi un symbole dans le code poétique de Blaga : Chemin (Miclău, 1978 : 563). → Le
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Drumeție (littéralement : " voyage à pied ") contient dans son sémantisme l'idée de " drum " (" chemin "). Le traducteur récupère dans să version cette idée de base, qui est aussi un symbole dans le code poétique de Blaga : Chemin (Miclău, 1978 : 563). → Le titre Ceasul care nu apune trouve dans la version de Paul Miclău une forme poétique : L'heure qui ne décline pas (1978 : 597). → Veturia Drăgănescu-Vericeanu donne au titre Cuvinte către față necunoscută din poartă une forme trop longue en français : Paroles
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un symbole dans le code poétique de Blaga : Chemin (Miclău, 1978 : 563). → Le titre Ceasul care nu apune trouve dans la version de Paul Miclău une forme poétique : L'heure qui ne décline pas (1978 : 597). → Veturia Drăgănescu-Vericeanu donne au titre Cuvinte către față necunoscută din poartă une forme trop longue en français : Paroles pour la jeune fille inconnue qui reste à la porte (1974 : 223). → Le titre du poème emblématique Stihuitorul, traduit par Jean Poncet et Paula Romanescu par Le
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poétique : L'heure qui ne décline pas (1978 : 597). → Veturia Drăgănescu-Vericeanu donne au titre Cuvinte către față necunoscută din poartă une forme trop longue en français : Paroles pour la jeune fille inconnue qui reste à la porte (1974 : 223). → Le titre du poème emblématique Stihuitorul, traduit par Jean Poncet et Paula Romanescu par Le poète (Poncet, 1996 : 228 ; Romanescu, 1998 : 85), est interprété par Veturia Drăgănescu-Vericeanu comme Le versificateur (1974 : 261). Cette solution est maladroite, parce que le nom " versificateur " a
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Le poète (Poncet, 1996 : 228 ; Romanescu, 1998 : 85), est interprété par Veturia Drăgănescu-Vericeanu comme Le versificateur (1974 : 261). Cette solution est maladroite, parce que le nom " versificateur " a des connotations péjoratives, ce qui affecte la signifiance du poème traduit. → Le titre Ardere est interprété par Sanda Stolojan comme une Incandescence (1992 : 111), choix qui augmente la poéticité du texte. → Le titre Stă în codru fără slavă, inspiré du folklore roumain, est traduit par Jean Poncet par Îl se terre dans le
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