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p. 129. 59 V. Jean-René Ladmiral, " Traduire, c'est-à-dire... Phénoménologie d'un concept pluriel ", în op. cît.., p. 410 : Ladmiral entend par le " degré réduit " de la traduction " un travail qui est déjà de la traduction proprement dite, mais qui se situe dans le cadre de l'institution pédagogique, scolaire puis universitaire, et qui fait l'objet, pour cette raison, de tout un ensemble de limitations et de scotomisations. " Leș mots soulignés șont de l'auteur. Ladmiral rappelle à ce titre " le surcodage
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complexe de traduction à fins pédagogiques est ce que Ladmiral appelle " la traduction magistrale ", qui " a pour fonction de faire comprendre aux apprenants leș signifiants de la langue inconnue (L2), de leș sémantiser, en ayant recours à des équivalents bien choisis dans la langue qu'ils șont censés maîtriser (L1), avec la garanție du maître, à la différence de ceux qu'ils improvisent à l'aveuglette quand ils pratiquent la "traduction" au sens d'un pur et simple surcodage. " V. Jean-René Ladmiral
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particulier de convergence linguistique : au sens plus large, elle désigne toute forme de "médiation interlinguistique", permettant de transmettre de l'information entre locuteurs de langues différentes. La traduction fait passer un message d'une langue de départ (LD) ou langue-source dans une langue d'arrivée (LA) ou langue-cible. C'est nous qui soulignons. Georgiana Lungu-Badea souligne également la différence entre la traduction pédagogique et la traduction professionnelle : " L'écart entre la traduction pédagogique et la traduction professionnelle est indéniable. Și la
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contenu extralinguistique, un handicap à la traduction ? ", în Études de traductologie, Universitatea de Vest din Timișoara, Facultatea de Litere, Filosofie și Istorie, Catedră de Limbi Romanice, Editura Mirton, Timișoara, 1999, p. 63. Leș termes soulignés șont de l'auteur. 61 Dans la conception d'Antoine Berman, le " littéraire " " englobe aussi bien la littérature au sens strict que la philosophie, leș sciences humaines et leș textes religieux ". V. Antoine Berman, L'épreuve de l'étranger. Culture et traduction dans l'Allemagne romantique
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l'auteur. 61 Dans la conception d'Antoine Berman, le " littéraire " " englobe aussi bien la littérature au sens strict que la philosophie, leș sciences humaines et leș textes religieux ". V. Antoine Berman, L'épreuve de l'étranger. Culture et traduction dans l'Allemagne romantique, op. cît., p. 291. 62 V. Jean-René Ladmiral, " Traduire, c'est-à-dire... Phénoménologie d'un concept pluriel ", în op. cît., p. 413 : " Îl y a d'abord la traduction littéraire [...]. C'est sans doute le domaine de la traduction
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Meta : Translators' journal, 35-1, marș 1990, p. 113, consulté le 2 avril 2011, URL : http://id.erudit.org/revue/meta/1990/v35/n1/003370ar.pdf), Jean-René Ladmiral combat également l'idée de la traduction vue comme l'identique du texte source dans la culture cible : " Și l'on se tourne maintenant vers leș controverses qui touchent leș traductions, on verra qu'assez généralement ceux qui critiquent une traduction le font en reprochant au traducteur de s'être écarté du texte original : comme
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69 Jean-René Ladmiral, " Traduire, c'est-à-dire... Phénoménologie d'un concept pluriel ", în op. cît., p. 417. Leș termes soulignés șont de l'auteur. 70 V. Muguraș Constantinescu, La traduction entre pratique et théorie, Editura Universității din Suceava, 2005, p. 191 : dans une interview, Gérard Genette affirme : " Quand j'ai, en tânt que directeur de la collection "Poétique", à commander et à contrôler un peu la traduction d'un ouvrage en anglais, par exemple, la première chose que je demande au traducteur ou
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Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 152. 76 V. Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, Gallimard, Paris, 1973, p. 313-314 : " La traduction n'est plus définie comme transport du texte de départ dans la littérature d'arrivée ou, inversement, transport du lecteur d'arrivée dans le texte de départ [...], mais comme travail dans la langue, décentrement, rapport interpoétique entre valeur et signification, structuration d'un sujet et histoire (que des postulats formels avaient
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Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, Gallimard, Paris, 1973, p. 313-314 : " La traduction n'est plus définie comme transport du texte de départ dans la littérature d'arrivée ou, inversement, transport du lecteur d'arrivée dans le texte de départ [...], mais comme travail dans la langue, décentrement, rapport interpoétique entre valeur et signification, structuration d'un sujet et histoire (que des postulats formels avaient disjoints), et non plus sens. Cette proposition postule que le texte travaille
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Poétique de la traduction, Gallimard, Paris, 1973, p. 313-314 : " La traduction n'est plus définie comme transport du texte de départ dans la littérature d'arrivée ou, inversement, transport du lecteur d'arrivée dans le texte de départ [...], mais comme travail dans la langue, décentrement, rapport interpoétique entre valeur et signification, structuration d'un sujet et histoire (que des postulats formels avaient disjoints), et non plus sens. Cette proposition postule que le texte travaille la langue comme épistémologie en acte d'un
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d'un savoir indissociable de cette pratique et qui, hors de cette pratique, n'est plus ce savoir mais un signifié. " C'est nous qui soulignons. V. aussi Muguraș Constantinescu, La traduction entre pratique et théorie, op. cît., p. 199 : dans une interview, Henri Meschonnic déclare : " J'appelle une bonne traduction qui fait, non pas qui dit, qui fait ce que fait le texte à traduire. Îl y a "dire" et îl y a "faire" et je redonne beaucoup d'importance
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acte de création. Le traducteur n'est donc pas [...] loin de l'écrivain [...]. " (p. 122). 78 V. Françoise Wuilmart, " Un vieux débat ", în Translittérature, no. 12, hiver 1996, Paris, p. 50-53. 79 John E. Jackson, " André du Bouchet : l'étranger dans la langue ", în La poésie et son autre. Essais sur la modernité, José Corti, Paris, 1998, p. 103-104. 80 Henri Meschonnic, Pour la poétique V : Poésie sans réponse, op. cît., p. 192. 81 Antoine Berman, " Le projet d'une critique
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p. 192. 81 Antoine Berman, " Le projet d'une critique "productive" ", în Pour une critique des traductions : John Donne, op. cît., p. 92. C'est nous qui soulignons. 82 V. Antoine Berman, L'épreuve de l'étranger. Culture et traduction dans l'Allemagne romantique, op. cît., p. 172. 83 Le concept de " texte-traduction " est employé également par Mathilde Vischer. V. Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, Éditions Kimé, Paris, 2009. 84
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texte-traduction " est employé également par Mathilde Vischer. V. Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, Éditions Kimé, Paris, 2009. 84 Nous développons le thème de la traduction en tânt que fait social dans la Section 3. 2. de ce chapitre, section consacrée à l'approche sociolinguistique de la traduction, tout comme dans le sous-chapitre 4, consacré à la traduction par rapport à la mondialisation. 85 V. Jean-René Ladmiral, " Traduire, c'est-à-dire... Phénoménologie d'un concept
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Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, Éditions Kimé, Paris, 2009. 84 Nous développons le thème de la traduction en tânt que fait social dans la Section 3. 2. de ce chapitre, section consacrée à l'approche sociolinguistique de la traduction, tout comme dans le sous-chapitre 4, consacré à la traduction par rapport à la mondialisation. 85 V. Jean-René Ladmiral, " Traduire, c'est-à-dire... Phénoménologie d'un concept pluriel ", în op. cît., p. 417-418 : " la traduction, cette activité și répandue que nous avons tous pratiquée
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Traduction : une perspective fonctionnaliste ", în op. cît., p. 109 : " La traductologie, comme toute activité à caractère scientifique, est essentiellement descriptive [...]. Discours sur la traduction, cette science humaine récente a pour vocation première d'observer et de décrire la pratique traduisante dans toutes șes manifestations des plus orthodoxes (celles dont l'intention avouée est de conserver le texte de départ et d'en reconduire la finalité dans le texte traduit) aux plus déviantes (celles qui détournent résolument le texte de départ de
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science humaine récente a pour vocation première d'observer et de décrire la pratique traduisante dans toutes șes manifestations des plus orthodoxes (celles dont l'intention avouée est de conserver le texte de départ et d'en reconduire la finalité dans le texte traduit) aux plus déviantes (celles qui détournent résolument le texte de départ de șa finalité d'origine pour se l'approprier, à des fins parodiques ou politiques, féministes ou nationalistes). " C'est nous qui soulignons. 89 Elenă Ghiță
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89 Elenă Ghiță, " Le statut actuel de la traductologie ", în Études de traductologie, op. cît., p. 5. Leș termes soulignés șont de l'auteur. 90 V. Domenico Jervolino, Ricœur. Herméneutique et traduction, op. cît., p. 75-76 : " [...] on peut parler de la naissance dans la seconde moitié du XXe siècle d'une véritable science de la traduction ou traductologie ou, comme on le dit, avec plus de prudence, dans le milieu anglo-américain, du domaine des Translation Studies : une science ou un champ d'études qui
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V. Domenico Jervolino, Ricœur. Herméneutique et traduction, op. cît., p. 75-76 : " [...] on peut parler de la naissance dans la seconde moitié du XXe siècle d'une véritable science de la traduction ou traductologie ou, comme on le dit, avec plus de prudence, dans le milieu anglo-américain, du domaine des Translation Studies : une science ou un champ d'études qui est propre certes à nos jours et à l'essor contemporain des disciplines qui ont comme objet le langage, mais qui aurait des ancêtres
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comme objet le langage, mais qui aurait des ancêtres illustres, à partir de Cicéron jusqu'à Luther et, plus proche de nous, à Goethe, Humboldt, Schleiermacher, à l'âge du premier romantisme allemand, et qui aurait, au besoin, un patron dans leș cieux avec Saint Jérôme, qui ne fut pas seulement le traducteur de la Vulgata, mais aussi l'auteur de l'épître ad Pammachium sur leș problèmes de la traduction De optimo genere interpretandi. " 91 V. Idem, p. 76 : " Și l'on
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mais aussi l'auteur de l'épître ad Pammachium sur leș problèmes de la traduction De optimo genere interpretandi. " 91 V. Idem, p. 76 : " Și l'on accepte l'idée qu'une science de la traduction n'a vu le jour que dans leș années quarante, [...] on doit, en effet, tout de suite ajouter que cette science nouvelle a été précédée par une longue phase de spéculations plus libres qui ne prétendaient pas donner naissance à une nouvelle discipline, de sorte que leș
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doit, en effet, tout de suite ajouter que cette science nouvelle a été précédée par une longue phase de spéculations plus libres qui ne prétendaient pas donner naissance à une nouvelle discipline, de sorte que leș derniers penseurs "sans dénomination" dans ce domaine auraient été Benedetto Croce (pour quelques pages de șes écrits d'esthétique et de critique littéraire), Ortega y Gasset (auteur d'un article sur Miseria y esplendor de la traducción), Franz Rosenzweig (selon lequel le traducteur est le serviteur
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comparaison des langues. Une autre catégorie d'ouvrages savants sur la traduisibilité appartient à la philosophie de la langue, créant pour ainsi dire un compartiment de philosophie de la traduction (Benjamin, Steiner, Broch). L'ébauche d'une sémiotique de la traduction se dessine dans quelques chapitres des ouvrages de Steiner et de Genette, tandis que Meschonnic propose une poétique de la traduction ; certaines contributions de Lotman, Jakobson ou Riffaterre s'inscrivent dans la même tendance. " Leș termes soulignés șont de l'auteur. Aux disciplines mentionnées
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traduction (Benjamin, Steiner, Broch). L'ébauche d'une sémiotique de la traduction se dessine dans quelques chapitres des ouvrages de Steiner et de Genette, tandis que Meschonnic propose une poétique de la traduction ; certaines contributions de Lotman, Jakobson ou Riffaterre s'inscrivent dans la même tendance. " Leș termes soulignés șont de l'auteur. Aux disciplines mentionnées ci-dessus, l'auteur ajoute la traduction automatique, l'informatique et leș disciplines hybrides, comme la terminotique. (Idem, p. 7). 94 V. Maryvonne Boisseau, " Le discours de la traductologie
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de leur domaine. Elle est, donc, paradoxalement, constamment menacée à la fois de dispersion et d'absorption. " C'est nous qui soulignons. 95 Jean-René Ladmiral, Traduire : théorèmes pour la traduction, op. cît., p. xx-xxi. 96 V. Idem, p. 5 : " Comme dans toute autre théorie, en traductologie, leș données obtenues par leș connaissances empiriques devraient conduire à l'élaboration d'un modèle, mais îl est à remarquer que leș traductologues préfèrent se situer toujours par rapport à une autre discipline théorique. " 97
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