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étude), et non leș autres types de discours qui peuvent présenter des traits poétiques. 317 Émile Benveniste, " L'appareil formel de l'énonciation ", în Langages, no. 17, 1970, p. 48. Nous traiterons en détail le concept de " signifiance " plus tard dans notre étude. 318 V. Dominique Maingueneau, Frédéric Cosutta, " L'analyse des discours constituants ", în Maingueneau, D. (dir.), Leș analyses du discours en France, Langages, no. 117, 1995, p. 7-8 : " L'analyse du discours [...] n'a pour objet ni l'organisation
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à un genre, comme institution discursive : son intérêt est de ne pas penser ces lieux indépendamment des énonciations qu'ils rendent possibles et qui leș rendent possibles. L'analyste du discours [...] ne part d'un genre que pour l'inscrire dans șes lieux et ne délimite un lieu que pour considérer quel(s) genre(s) de discours lui șont associés. C'est nous qui soulignons. 319 Par conséquent, la démarche traductive devrait prendre en compte le contexte dans lequel le texte
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pour l'inscrire dans șes lieux et ne délimite un lieu que pour considérer quel(s) genre(s) de discours lui șont associés. C'est nous qui soulignons. 319 Par conséquent, la démarche traductive devrait prendre en compte le contexte dans lequel le texte a été produit, mais aussi leș particularités du genre auquel le discours respectif appartient. 320 Olga Gălățanu, " Leș argumentations du discours lyrique ", în Le narratif, le poétique, l'argumentatif : écriture poétique moderne, textes réunis et présentés par
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322 Michael Riffaterre, " Modèles de la phrase littéraire ", în Problèmes d'analyse textuelle, Didier, Paris, 1971, p. 43. 323 Antonio Rodriguez, Le pacte lyrique : configuration discursive et interaction affective, Pierre Mardaga, Sprimont, 2003, p. 88. C'est nous qui soulignons. 324 Dans la traduction, le pacte lyrique passe du traducteur au lecteur. Îl s'agirait donc de ce que Mathilde Vischer appelle " un pacte lyrique de second degré " : " la lecture critique du texte-traduction donne ainsi lieu à un dédoublement du pacte lyrique. Comme
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pacte lyrique de second degré " : " la lecture critique du texte-traduction donne ainsi lieu à un dédoublement du pacte lyrique. Comme le lecteur de la traduction lit un texte qui a déjà été lu et investi par le traducteur, leș traces inscrites dans le texte șont forcément, au moins en pârtie, celles de ce dernier. " V. Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, op. cît., p. 43-44. 325 Antonio Rodriguez, Le pacte lyrique : configuration discursive
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Basarab Nicolescu, Théorèmes poétiques, apud Michel Camus, Transpoétique : la main cachée entre poésie et science, Trăit d'union, leș Éditions Lettres vives, Montréal, 2002, p. 39). Nous discutons en détail cette conception sur le statut particulier (" intouchable ") du discours poétique dans la Section 1. 3. 3. de ce chapitre, qui porte sur le langage poétique comme révélation. 328 Patrick Charaudeau, Grammaire de sens et de l'expression, Hachette Éducation, Paris, 1992, p. 12. 329 Olga Gălățanu, " Leș argumentations du discours lyrique ", în
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D. (dir.), Leș analyses du discours en France, Langages, op. cît., p. 112-113 : " La prétention attachée au statut de discours constituant c'est de fonder et de n'être pas fondé. [...] Leș discours constituants mettent en œuvre une même fonction dans la production symbolique d'une société [...]. " C'est nous qui soulignons. 334 Olga Gălățanu, " Leș argumentations du discours lyrique ", în op. cît., p. 19. C'est nous qui soulignons. 335 Idem, p. 23. 336 Ibid. 337 V. Iulian Popescu, De la
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336 Ibid. 337 V. Iulian Popescu, De la théorie du discours poétique, Éditions de l'Université " Alexandru Ioan Cuza " de Iași, 1988. 338 Nous partageons la vision de Jakobson, qui a défini la poétique comme " l'étude linguistique de la fonction poétique dans le contexte des messages verbaux en général et dans la poésie en particulier ". V. Român Jakobson, " Postscriptum : pour une approche linguistique ", în Questions de poétique, Éditions du Seuil, Paris, 1973, p. 486. 339 Jean Cohen, Le haut langage : Théorie de la
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discours poétique, Éditions de l'Université " Alexandru Ioan Cuza " de Iași, 1988. 338 Nous partageons la vision de Jakobson, qui a défini la poétique comme " l'étude linguistique de la fonction poétique dans le contexte des messages verbaux en général et dans la poésie en particulier ". V. Român Jakobson, " Postscriptum : pour une approche linguistique ", în Questions de poétique, Éditions du Seuil, Paris, 1973, p. 486. 339 Jean Cohen, Le haut langage : Théorie de la poéticité, Flammarion, Paris, 1979, p. 11. C'est nous
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anormal", bien qu'attribuée aux linguistes par la critique, n'est en réalité qu'un cas anormal, rare et passager au cours des millénaires que dure et s'accroît la science du langage. " C'est nous qui soulignons. Nous traitons dans ce chapitre le problème du discours poétique vu comme écart. 342 Groupe μ, Rhétorique de la poésie : lecture linéaire, lecture tabulaire, Éditions du Seuil, Paris, 1990, p. 17-18. C'est nous qui soulignons. 343 Aron Kibédi Varga, Leș constantes du poème
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postulats de départ : la linguistique. Mais cette union suppose que la poétique ne se borne pas à utiliser des méthodes, qu'elle se plie à l'exigence de rigueur qui la caractérise. " 346 Jakobson parle d'une " irruption des linguistes dans le sanctuaire poétique ". V. Român Jakobson, Questions de poétique, op. cît., p. 499. 347 Daniel Delas et Jacques Filliolet, Linguistique et poétique, Librairie Larousse, Paris, 1973, p. 54. C'est nous qui soulignons. 348 V. Român Jakobson, Questions de poétique
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p. 499. 347 Daniel Delas et Jacques Filliolet, Linguistique et poétique, Librairie Larousse, Paris, 1973, p. 54. C'est nous qui soulignons. 348 V. Român Jakobson, Questions de poétique, op. cît. 349 V. Idem, p. 24 : " On peut fréquemment observer, dans l'histoire de la poésie de tous leș temps et de tous leș pays, que pour leș poètes [...] "seul importe le son". Le langage poétique tend, à la limite, vers le moț phonétique, plus exactement [...] euphonique, vers le discours transmental. " 350
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conduit par Viktor Chklovski. 354 En effet, Jakobson complète et approfondit le modèle triadique de Bühler, en ajoutant à chaque élément une fonction spécifique. Ainsi, le message, qui a une fonction poétique, est produit par un destinateur (à fonction émotive) dans un certain contexte (à fonction référentielle), prenant en compte un contact (à fonction phatique) et à l'aide d'un code de communication (qui a une fonction métalinguistique). Le message est envoyé vers un destinataire, qui a une fonction conative
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de linguistique générale, op. cît., p. 218. C'est nous qui soulignons. V. aussi Daniel Delas et Jacques Filliolet, Linguistique et poétique, op. cît., p. 42 : " le propre de l'art verbal est [...] de montrer du doigt să propre nécessité ". Dans la vision de Jakobson, l'écriture lyrique joue souvent sur leș réitérations, leș retours à son propre sémantisme : Nous devons constamment tenir compte de ce fait irrécusable qu'à tous leș niveaux de la langue l'essence, en poésie, de la technique artistique
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de linguistique générale, op. cît., p. 218. C'est nous qui soulignons. 363 V. Român Jakobson, " Postscriptum : pour une approche linguistique ", în Questions de poétique, op. cît., p. 486 : " [...] la science du langage, évidemment appelée à étudier leș signes verbaux dans tous leurs arrangements et fonctions, n'est pas en droit de négliger la fonction poétique, qui se trouve coprésente dans la parole de tout être humain dès să première enfance et qui joue un rôle capital dans la structuration du
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linguistique ", în Questions de poétique, op. cît., p. 486 : " [...] la science du langage, évidemment appelée à étudier leș signes verbaux dans tous leurs arrangements et fonctions, n'est pas en droit de négliger la fonction poétique, qui se trouve coprésente dans la parole de tout être humain dès să première enfance et qui joue un rôle capital dans la structuration du discours. Cette fonction comporte une attitude introvertie à l'égard des signes verbaux, dans leur union du signifiant et du
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leș signes verbaux dans tous leurs arrangements et fonctions, n'est pas en droit de négliger la fonction poétique, qui se trouve coprésente dans la parole de tout être humain dès să première enfance et qui joue un rôle capital dans la structuration du discours. Cette fonction comporte une attitude introvertie à l'égard des signes verbaux, dans leur union du signifiant et du signifié, et elle acquiert une position dominante dans le langage poétique. Celui-ci exige de la part du linguiste
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fonction poétique, qui se trouve coprésente dans la parole de tout être humain dès să première enfance et qui joue un rôle capital dans la structuration du discours. Cette fonction comporte une attitude introvertie à l'égard des signes verbaux, dans leur union du signifiant et du signifié, et elle acquiert une position dominante dans le langage poétique. Celui-ci exige de la part du linguiste un examen particulièrement méticuleux, d'autant plus que le vers pârâit appartenir aux phénomènes universaux de la culture
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să première enfance et qui joue un rôle capital dans la structuration du discours. Cette fonction comporte une attitude introvertie à l'égard des signes verbaux, dans leur union du signifiant et du signifié, et elle acquiert une position dominante dans le langage poétique. Celui-ci exige de la part du linguiste un examen particulièrement méticuleux, d'autant plus que le vers pârâit appartenir aux phénomènes universaux de la culture humaine. " C'est nous qui soulignons. 364 Daniel Delas et Jacques Filliolet, Linguistique et
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cît., p. 239. 367 V. Paul Valéry, Țel Quel, Gallimard, Paris, 1996. 368 V. Gérard Genette, Mimologiques : Voyage en Cratylie, op. cît., p. 356-357 : " C'est donc à la limite un véritable volume symbolique à trois dimensions qui s'établit dans le poème, et qui, à vrai dire, le constitue : réseau horizontal d'équivalences signifiantes (phoniques, métriques, grammaticales, intonationnelles, prosodiques) renvoyant à un autre réseau horizontal d'équivalences signifiées au moyen d'une série d'équivalences sémantiques (verticales) de chaque forme
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hyperbolique et parfait de la "forêt de symboles" baudelairienne. " 369 Român Jakobson, Essais de linguistique générale, op. cît., p. 67. C'est nous qui soulignons. 370 Antonio Rodriguez, Le pacte lyrique : configuration discursive et interaction affective, op. cît., p. 44. 371 Dans le jargon de la grammaire générative-transformationnelle, la notion de " déviation " est appelée aussi " agrammaticalité ". V. Jean Cohen, Le haut langage : Théorie de la poéticité, op. cît., p. 18. 372 Jean Cohen, Le haut langage : Théorie de la poéticité, op. cît., p. 18. C
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traduction poétique ", în Meta : journal des traducteurs/Meta : Translators' Journal, vol. 43, no. 2, 1998, p. 259, consulté le 12 mai 2011, URL : http://www.erudit.org/revue/meta/1998/v43/n2/003295ar.pdf. L'auteur de l'article identifie dans la traduction du texte poétique un " effort relatif au caractère dichotomique des codes poétiques considérés sous tous leurs aspects et à tous leurs niveaux : signifiant et signifié, forme et substance, sens dénotatif et sens connotatif, sens et références, fonction d
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dénotatif et sens connotatif, sens et références, fonction d'allusion et fonction de prolongement du symbole, signification générale et signification contextuelle, bref, cette étude approfondie de la fonction poétique, analysée tânt au niveau de la linguistique qu'au niveau de la poétique, prise dans son sens étymologique, poiétiké, qui signifie tekné, c'est-à-dire technique de la poésie. " Leș termes soulignés șont de l'auteur. 377 V. Ferdinand de Saussure, Cours de linguistique générale, Payot, Paris, 1995. 378 Algirdas Julien Greimas, " Pour une théorie du discours
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à vers libre, mais qui conservent, comme nous le montrons plus loin, certaines constantes prosodiques, comme la rime, le rythme ou la mesure, qui leur confèrent la musicalité.) 398 Nous présentons en détail l'importance des éléments typographiques du poème dans leș deux derniers chapitres consacrés à l'analyse des traductions. 399 V. Român Jakobson, La charpente phonique du langage, op. cît., p. 262-263 : " Le vers libre n'est jamais qu'une forme atténuée du vers, un compromis entre poésie et
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chapitres consacrés à l'analyse des traductions. 399 V. Român Jakobson, La charpente phonique du langage, op. cît., p. 262-263 : " Le vers libre n'est jamais qu'une forme atténuée du vers, un compromis entre poésie et langage ordinaire, qui, dans toute communauté linguistique, présuppose l'existence des formes plus strictes de versification. " C'est nous qui soulignons. 400 Ibid. C'est nous qui soulignons. 401 Jean Cohen, Structure du langage poétique, op. cît., p. 47. C'est nous qui soulignons
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