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411 Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, Le Livre de Poche, Librairie Générale Française, 1993, p. 268. Îl faut mentionner également la définition que donne Julia Kristeva au concept de signifiance : " ce travail de la différenciation, stratification et confrontation qui se pratique dans la langue, et dépose sur la ligne du sujet parlant une chaîne signifiante communicative et grammaticalement structurée. " V. Julia Kristeva, Semeiotikhè. Recherches pour une semanalyse (Extraits), Seuil, collection " Points ", Paris, 1969, p. 11. 412 La signifiance, dans la conception de
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qui se pratique dans la langue, et dépose sur la ligne du sujet parlant une chaîne signifiante communicative et grammaticalement structurée. " V. Julia Kristeva, Semeiotikhè. Recherches pour une semanalyse (Extraits), Seuil, collection " Points ", Paris, 1969, p. 11. 412 La signifiance, dans la conception de Meschonnic, est vue comme " l'organisation des marques par lesquelles leș signifiants linguistiques et extra-linguistiques produisent une sémantique spécifique, distincte au sens lexical ". C'est cette sémantique qu'il appelle " la signifiance : c'est à dire leș
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stylistique qui contribue à construire l'idiostyle d'un auteur ". 433 V. Jean Cohen, Structure du langage poétique, op. cît., p.189 : " La différence entre prose et poésie est de nature linguistique, c'est-à-dire formelle. Elle ne se trouve ni dans la substance sonore, ni dans la substance idéologique, mais dans le type particulier de relations que le poème institue entre le signifiant et le signifié d'une part, leș signifiés entre eux d'autre part. Ce type particulier de relations
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l'idiostyle d'un auteur ". 433 V. Jean Cohen, Structure du langage poétique, op. cît., p.189 : " La différence entre prose et poésie est de nature linguistique, c'est-à-dire formelle. Elle ne se trouve ni dans la substance sonore, ni dans la substance idéologique, mais dans le type particulier de relations que le poème institue entre le signifiant et le signifié d'une part, leș signifiés entre eux d'autre part. Ce type particulier de relations se caractérise par să négativité
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433 V. Jean Cohen, Structure du langage poétique, op. cît., p.189 : " La différence entre prose et poésie est de nature linguistique, c'est-à-dire formelle. Elle ne se trouve ni dans la substance sonore, ni dans la substance idéologique, mais dans le type particulier de relations que le poème institue entre le signifiant et le signifié d'une part, leș signifiés entre eux d'autre part. Ce type particulier de relations se caractérise par să négativité, chacun des procédés ou " figures
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que le poème institue entre le signifiant et le signifié d'une part, leș signifiés entre eux d'autre part. Ce type particulier de relations se caractérise par să négativité, chacun des procédés ou " figures " qui constituent le langage poétique dans să spécificité étant une manière, différente selon leș niveaux, de violer le code du langage normal. " C'est nous qui soulignons. 434 Idem, p. 191. 435 Algirdas Julien Greimas, " Linguistique statistique et linguistique structurale ", în Le français moderne, no. 4
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2011, URL : http://www.usb.md/limbaj context/volcop/4/vladu.pdf. S'appuyant sur un poème de Goethe, l'auteur expose să conception sur l'aspect pragmatique du texte poétique, analysant l'intention de l'auteur d'introduire le lecteur dans une certaine atmosphère et de lui induire un certain état d'esprit (comme l'effroi, la peur, etc.) 446 Erol Kayra, " Le langage, la poésie et la traduction poétique ou une approche scientifique de la traduction poétique ", în op. cît., p.
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poétique " : " Outil, instrument mnémotechnique, moyen de connaissance, procédé pour communiquer une émotion ou une expérience, la poésie est tout cela. Mais elle est aussi un objet de plaisir. Plaisir esthétique, lié à la beauté intrinsèque de l'outil [...]. La perfection dans l'utilité fait naître le sentiment de la beauté. [...] Plaisir de l'objet bien fait. " V. Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p. 24. C'est nous qui soulignons. 448 Umberto Eco, Lector în fabula, op. cît. 449
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du Seuil, Paris, 2000, p. 203 : Au début du IVe siècle avânt Jésus-Christ, Platon fait la liaison intime entre mots et musique, le trăit le plus caractéristique de la poésie à l'Âge lyrique. Horace, qui découvre leș poètes du canon dans leș éditions alexandrines, considère que leș thèmes et la structure des vers șont ceux qui définissent le mieux ce type de poésie. De leur côté, leș poéticiens de la Renaissance étudient dans toute son ampleur le problème du statut élocutif du
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Âge lyrique. Horace, qui découvre leș poètes du canon dans leș éditions alexandrines, considère que leș thèmes et la structure des vers șont ceux qui définissent le mieux ce type de poésie. De leur côté, leș poéticiens de la Renaissance étudient dans toute son ampleur le problème du statut élocutif du poète lyrique et le convertissent en un élément fondamental de la description de classe. Quant aux théoriciens du XVIIIe siècle, ils s'attachent essentiellement à analyser l'objet de l'imitation leș
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Théorie de la poéticité, op. cît., p. 145. 457 V. Stéphane Mallarmé, " Réponse à des questions ", în Œuvres complètes, tome 1, Henri Mondor & G. Jean-Aubryeds, Gallimard, " Bibliothèque de la Pléiade ", Paris, 1945, p. 872 : " La poésie consistant à créer, îl faut prendre dans l'âme humaine des états, des lueurs d'une pureté și absolue que, bien chantés et bien mis en lumière, cela constitue en effet leș joyaux de l'homme ; là, îl y a symbole, îl y a création, et le
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cît., p. 36. C'est nous qui soulignons. 474 V. Ibid : " Ainsi, en opérant la distinction entre ces deux éléments, îl nous est possible d'envisager une poésie narrative, didactique, dramatique, tout comme îl est possible de trouver du lyrique dans un roman, une pièce de théâtre. " 475 Român Jakobson, Essais de linguistique générale, op. cît., p. 219. C'est nous qui soulignons. 476 V. Jean Cohen, Le haut langage : Théorie de la poéticité, op. cît., p. 139 : " Une métaphore courante est
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alors que la prose, pragmatique, l'est, au premier chef, sur le référent, on a étudié leș tropes et leș figures essentiellement comme des procédés poétiques. Le principe de similarité gouverne la poésie. [...] La prose, au contraire, se meut essentiellement dans des rapports de contiguïté. De sorte que la métaphore pour la poésie et la métonymie pour la prose constituent la ligne de moindre résistance. " C'est nous qui soulignons. 479 V. Aron Kibédi Varga, Leș constantes du poème : analyse du
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Gălățanu, " Leș argumentations du discours lyrique ", în Le narratif, le poétique, l'argumentatif : écriture poétique moderne, op. cît., p. 29 : " L'identité du poète (lyrique) a souvent une dimension de repli ou de révélation. Le discours lyrique n'apparaît plus, dans cette perspective, comme un partage d'affects entre le sujet communiquant et șes interprétants, mais plutôt comme le partage d'un savoir sur leș affects, et, ipso facto, d'un savoir vivre, "révélé", comme c'est le cas, par définition
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3, 1990, p. 615, consulté le 2 septembre 2011, URL : http://www.erudit.org/revue/meta/1990/v35/n3/003069ar.pdf: " Une théorie de la traduction poétique n'est pas à coup sûr une entreprise réalisable à court terme, leș acquis dans ce domaine de la traductologie étant encore embryonnaires ou peu s'en faut. Mais nous avons au moins deviné la seule voie qui pourra nous y conduire : la recherche parcellaire, un travail qui doit se mener à travers leș poétiques concrètes
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Muguraș Constantinescu, La traduction entre pratique et théorie, op. cît., p. 249. C'est nous qui soulignons. 521 Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 95-96. 522 Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, H. Champion, Paris, 2008, p. 15. C'est nous qui soulignons. 523 V. Françoise Wuilmart, " La traduction littéraire : source d'enrichissement de la langue d'accueil ", p. 144-145, consulté le 3 janvier
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523 V. Françoise Wuilmart, " La traduction littéraire : source d'enrichissement de la langue d'accueil ", p. 144-145, consulté le 3 janvier 2011, URL : http://www.rilune.org/mono4/12 Wuilmart.pdf: " J'ose affirmer [...] que le français est une langue particulièrement narcissique, dans să grammaire déjà. Tout y part souvent du Je, là où d'autres langues privilégient la voie passive et l'action en soi, sans référence à l'acteur. " 524 Françoise Wuilmart, " La traduction littéraire : source d'enrichissement de la langue d
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Le langage, la poésie et la traduction poétique ou une approche scientifique de la traduction poétique ", în op. cît., p. 260. C'est nous qui soulignons. 538 La traduction d'un poème a été considérée comme une " répétition " du poème respectif dans la langue d'accueil, en étroite liaison avec l'original. V. Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 69 : " Une bonne traduction influe sur l'original. [...] La nature imite l'art. De même, si
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le poème, le poème répète aussi să traduction, et change, ne serait-ce que très peu, la rencontre. " C'est nous qui soulignons. 539 V. Édouard Glissant, Introduction à une poétique du divers, Gallimard, Paris, 1996, p. 46 : l'auteur voit dans la traduction l'" art de la fugue d'une langue à l'autre, sans que la première s'efface et sans que la seconde renonce à se présenter ". 540 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît. V. également Camelia Petrescu
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IV de notre thèse. V. également, à ce titre, Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, op. cît. 543 Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, p. 9-11. C'est nous qui soulignons. 544 Clăire Malroux, " Conjurer l'écart, susciter leș rencontres : Traduire la poésie ", în op. cît., p. 2. 545 V. Inês Oseki-Dépré, Traduction & poésie, op.
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nous qui soulignons. 548 Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op. cît., p. 358. 549 Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Béatrice Bonhomme et Micéala Symington (dir.), Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, H. Champion, Paris, 2008, p. 13. 550 Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 183. C'est nous qui soulignons. 551 Le traducteur engagé dans l'histoire est celui qui
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Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, H. Champion, Paris, 2008, p. 13. 550 Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 183. C'est nous qui soulignons. 551 Le traducteur engagé dans l'histoire est celui qui produit un texte-traduction adapté aux connaissances, aux goûts et aux exigences du public cible. Par exemple, îl adaptera le vocabulaire au niveau actuel de l'évolution de la langue, pour que le texte soit compréhensible. 552
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compréhensible. 552 V. Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 12 : " Aucun poème n'est susceptible d'une seule lecture ni d'une traduction définitive, et îl faut se garder de l'anesthésier dans un réseau de significations locales ou prétendument déterminantes. " 553 Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 89. C'est nous qui soulignons. 554 V. Paul Bensimon, " Présentation ", în Palimpsestes, no. 2 : Traduire la poésie, op. cît., p. I. 555
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qui soulignons. 554 V. Paul Bensimon, " Présentation ", în Palimpsestes, no. 2 : Traduire la poésie, op. cît., p. I. 555 V. Henri Meschonnic, Gloires. Traduction des Psaumes, Desclée de Brouwer, Paris, 2001, p. 27 : Plus le traducteur s'inscrit comme sujet dans la traduction, plus, paradoxalement, traduire peut continuer le texte. C'est à dire, dans un autre temps et une autre langue, en faire un texte. Poétique pour poétique. " 556 Jean-Pierre Camoin, " Ouverture des assises ", în Traduire la poésie : autour de
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op. cît., p. I. 555 V. Henri Meschonnic, Gloires. Traduction des Psaumes, Desclée de Brouwer, Paris, 2001, p. 27 : Plus le traducteur s'inscrit comme sujet dans la traduction, plus, paradoxalement, traduire peut continuer le texte. C'est à dire, dans un autre temps et une autre langue, en faire un texte. Poétique pour poétique. " 556 Jean-Pierre Camoin, " Ouverture des assises ", în Traduire la poésie : autour de Rilke, Baudelaire et șes traducteurs, la traduction dans leș revues et collections, huitièmes assises
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