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le texte. C'est à dire, dans un autre temps et une autre langue, en faire un texte. Poétique pour poétique. " 556 Jean-Pierre Camoin, " Ouverture des assises ", în Traduire la poésie : autour de Rilke, Baudelaire et șes traducteurs, la traduction dans leș revues et collections, huitièmes assises de la traduction littéraire, Atlas, Actes Sud, Arles, 1992, p. 11. 557 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 17 : " Passeur est une métaphore complaisante. Ce qui importe n'est pas de faire
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et collections, huitièmes assises de la traduction littéraire, Atlas, Actes Sud, Arles, 1992, p. 11. 557 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 17 : " Passeur est une métaphore complaisante. Ce qui importe n'est pas de faire passer. Mais dans quel état arrive ce qu'on a transporté de l'autre côté. Dans l'autre langue. Charon aussi est un passeur. Mais îl passe des morts. Qui ont perdu la mémoire. C'est ce qui arrive à bien des traducteurs
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11. 557 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 17 : " Passeur est une métaphore complaisante. Ce qui importe n'est pas de faire passer. Mais dans quel état arrive ce qu'on a transporté de l'autre côté. Dans l'autre langue. Charon aussi est un passeur. Mais îl passe des morts. Qui ont perdu la mémoire. C'est ce qui arrive à bien des traducteurs. " C'est nous qui soulignons. 558 V. Henri Meschonnic, Au commencement. Traduction de la
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à bien des traducteurs. " C'est nous qui soulignons. 558 V. Henri Meschonnic, Au commencement. Traduction de la Genèse, Desclée de Brouwer, Paris, 2002, p. 17 : " Tânt qu'on ne lit pas le rythme d'un texte, un texte, un texte dans, avec et par son rythme, on ne le lit pas, on ne l'a pas lu. " 559 Maurice Blanchot, " Reprises ", în L'Amitié, Gallimard, Paris, 1971, p. 69-73. C'est nous qui soulignons. 560 Pour illustrer l'" invisibilité " du traducteur
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rythme, on ne le lit pas, on ne l'a pas lu. " 559 Maurice Blanchot, " Reprises ", în L'Amitié, Gallimard, Paris, 1971, p. 69-73. C'est nous qui soulignons. 560 Pour illustrer l'" invisibilité " du traducteur, qui était souvent placé dans l'ombre de l'auteur de l'œuvre, nous rappelons leș paroles du géomètre des Lettres persanes de Montesquieu : " Îl y a vingt ans que vous ne pensez pas ? Vous parlez pour leș autres, et ils pensent pour vous ? [...] Și
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des choses non moins étranges, mais plus faciles à saisir. " 564 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 10. 565 Idem, p. 18. 566 En ce qui concerne l'" effet de déperdition ", inéluctable dans la traduction poétique, v. Salah Mejri, " Traduction, poésie, figement et jeux de mots ", în Meta : journal des traducteurs/Meta : Translators' Journal, vol. 45, no. 3, septembre 2000, p. 412-423, consulté le 2 avril 2011, URL : http://www.erudit.org/revue
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Poète peut lui assurer. [...] seul un grand Poète peut prétendre traduire comme îl convient un autre grand Poète. " V. Raoul Parme, Poésie et traduction, Milan, 1984, Archives de la Bibliothèque Naționale de France, p. 4 et 32. 568 V. Alexis Nouss, " Dans la ruine de Babel : poésie et traduction chez Paul Celan ", în TTR : traduction, terminologie, rédaction, vol. 9, no. 1, 1996, p. 19, URL : http://www.erudit.org/revue/TTR/1996/v9/n1/037237ar.pdf: " Un des plus grands poètes du
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sans doute aussi l'un des plus grands traducteurs, et le lien est signifiant : leș deux pratiques ne șont pas autonomes et îl s'agit d'examiner quelle est la commune poétique. " 569 Le syntagme nous appartient. 570 Alexis Nouss, " Dans la ruine de Babel : poésie et traduction chez Paul Celan ", în op. cît., p. 19. Leș termes soulignés șont de l'auteur. 571 Nous rappelons à ce titre la traduction en anglais des poèmes de Lucian Blaga qui émane de
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du traduire, op. cît., p. 263. C'est nous qui soulignons. Pour que la traduction fonctionne comme écriture, îl faut se faire " le poète du traduire, et d'une traduction. À contre-cliché. " Idem, p. 201. 573 Edmond Cary, La traduction dans le monde moderne, Georg S. A., Librairie de l'université, Genève, 1956, p. 85-86. C'est nous qui soulignons. 574 André Davoust, Poésie en traduction, Cahiers Charles V, Institut d'Études Anglophones, Université Paris VII, Denis Diderot, Paris, 1994, p. 114-115
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cît., p. 260. L'auteur affirme qu'il faut " situer le traducteur sur le même plan que celui du poète (stade de fabrication, ou de production, qui consiste à créer comme le poète). D'où le rôle de la création potentielle dans la traduction poétique. " C'est nous qui soulignons. 576 V. Ibid. 577 Said Khadraoui, " Pour une approche scientifique de la traduction poétique ", în Revue des Sciences Humaines Université Mohamed Khider Biskra, no. 4, p. 47, consulté le 12 décembre 2010, URL
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în Revue des Sciences Humaines Université Mohamed Khider Biskra, no. 4, p. 47, consulté le 12 décembre 2010, URL : http://www.webreview.dz/IMG/pdf/4 4.pdf. 578 Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 12. C'est nous qui soulignons. 579 V. aussi Said Khadraoui, " Pour une approche scientifique de la traduction poétique ", în op. cît., p. 49 : " Le traducteur est appelé à
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poétiser le texte cible comme l'est le texte source. " C'est nous qui soulignons. 580 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 19-20. C'est nous qui soulignons. 581 V. Alexis Nouss, " Dans la ruine de Babel : poésie et traduction chez Paul Celan ", în op. cît., p. 50 : Nous [leș traducteurs] sommes leș survivants de Babel : ceux qui survivent à să ruine, ceux qui en perpétuent l'héritage. " 582 Michael Edwards, Ombres de
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survivants de Babel : ceux qui survivent à să ruine, ceux qui en perpétuent l'héritage. " 582 Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 68. 583 Nous reprenons la définition de la traduction poétique comme écriture dans le sous-chapitre 2. 7., consacré à l'approche interprétative appliquée à la traduction de la poésie. 584 Efim Etkind, Un Art en crise : essai de poétique de la traduction poétique, op. cît., p. 276. C'est nous qui soulignons. 585 André Meynieux
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poésie, figement et jeux de mots ", în op. cît., p. 415. 588 Muguraș Constantinescu, La traduction entre pratique et théorie, op. cît., p. 135. C'est nous qui soulignons. 589 Henri Meschonnic critique leș approches qui situent la traduction poétique " dans l'oublié du signe " : " Dans leș limites du signe, [...] la traduction n'a le choix qu'entre traduire le sens [...] ou traduire, vouloir traduire, la forme, à la recherche de l'équivalence formelle. Et, dans leș limites du signe, le
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mots ", în op. cît., p. 415. 588 Muguraș Constantinescu, La traduction entre pratique et théorie, op. cît., p. 135. C'est nous qui soulignons. 589 Henri Meschonnic critique leș approches qui situent la traduction poétique " dans l'oublié du signe " : " Dans leș limites du signe, [...] la traduction n'a le choix qu'entre traduire le sens [...] ou traduire, vouloir traduire, la forme, à la recherche de l'équivalence formelle. Et, dans leș limites du signe, le bon sens même veut qu
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qui situent la traduction poétique " dans l'oublié du signe " : " Dans leș limites du signe, [...] la traduction n'a le choix qu'entre traduire le sens [...] ou traduire, vouloir traduire, la forme, à la recherche de l'équivalence formelle. Et, dans leș limites du signe, le bon sens même veut qu'on privilégie le sens, car îl est bien vrai que tout le langage est pour le sens, pour le passage du sens, dans tous leș sens. " V. Henri Meschonnic, " Traduire
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la recherche de l'équivalence formelle. Et, dans leș limites du signe, le bon sens même veut qu'on privilégie le sens, car îl est bien vrai que tout le langage est pour le sens, pour le passage du sens, dans tous leș sens. " V. Henri Meschonnic, " Traduire ce que leș mots ne disent pas, mais ce qu'ils font ", în op. cît. C'est nous qui soulignons. 590 Ewald Osers, " Some Aspects of the Translation of Poetry ", în Meta : journal
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liberte 1026896/liberte 1035322/31477ac.pdf : " Pourtant, la difficulté majeure de la poésie moderne pour tout lecteur, a fortiori pour tout traducteur, réside en son obscurité intrinsèque. " C'est nous qui soulignons. 593 Nous présentons la problématique de la " voix du texte " dans la Section 2. 5. 2. de ce chapitre, section destinée à la traduction du rythme. 594 Présentant leș difficultés de traduction engendrées par la poésie d'Emily Dickinson, Clăire Malroux la caractérise comme " un langage écrit parlé ". V. Clăire Malroux, " Conjurer
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597 V. Idem, p. 12 : " La poésie offrait en effet la difficulté majeure de l'union inséparable du sens et de la sonorité, du signifié et du signifiant. " 598 Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 11. V. aussi Serge Salaün, " Traduire sans trahir ? Traduire la poésie ", p. 1, consulté le 2 juillet 2011, URL : http://crec.univ-paris3.fr/Traduiresanstrahir.pdf : " Traduire un poème
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aussi Serge Salaün, " Traduire sans trahir ? Traduire la poésie ", p. 1, consulté le 2 juillet 2011, URL : http://crec.univ-paris3.fr/Traduiresanstrahir.pdf : " Traduire un poème [...] relève ainsi dira-t-on de la gageure, de l'impossible, du jeu gratuit des lettrés ou, dans le meilleur des cas, de la re-création, tânt leș situations limites ou leș spécificités d'une langue ou de la poétique personnelle d'un auteur paraissent intransposables dans un autre système, ou peuvent opposer des résistances définitives. " C'est nous qui soulignons
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relève ainsi dira-t-on de la gageure, de l'impossible, du jeu gratuit des lettrés ou, dans le meilleur des cas, de la re-création, tânt leș situations limites ou leș spécificités d'une langue ou de la poétique personnelle d'un auteur paraissent intransposables dans un autre système, ou peuvent opposer des résistances définitives. " C'est nous qui soulignons. 599 Idem, p. 16. 600 V. Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, actes des journées d'étude organisées en 2003
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une langue ou de la poétique personnelle d'un auteur paraissent intransposables dans un autre système, ou peuvent opposer des résistances définitives. " C'est nous qui soulignons. 599 Idem, p. 16. 600 V. Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, actes des journées d'étude organisées en 2003, textes réunis par Christine Lombez ; cahier coordonné par Roger Sauter, Praxiling, Université Montpellier III, Montpellier, 2004, p. 43-44. 601 Idem, p. 44. 602 Samuel Taylor Coleridge, Biographia Literaria, 1817
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par Christine Lombez ; cahier coordonné par Roger Sauter, Praxiling, Université Montpellier III, Montpellier, 2004, p. 43-44. 601 Idem, p. 44. 602 Samuel Taylor Coleridge, Biographia Literaria, 1817, apud Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 11 : " Dans la poésie, où chaque ligne, chaque phrase peut dépasser l'épreuve de la délibération et du choix délibéré, îl est possible [...] d'atteindre l'ultimatum que je
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p. 43-44. 601 Idem, p. 44. 602 Samuel Taylor Coleridge, Biographia Literaria, 1817, apud Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 11 : " Dans la poésie, où chaque ligne, chaque phrase peut dépasser l'épreuve de la délibération et du choix délibéré, îl est possible [...] d'atteindre l'ultimatum que je me suiș hasardé de proposer comme l'épreuve infaillible d'un style sans faute
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ligne, chaque phrase peut dépasser l'épreuve de la délibération et du choix délibéré, îl est possible [...] d'atteindre l'ultimatum que je me suiș hasardé de proposer comme l'épreuve infaillible d'un style sans faute ; à savoir : son intraduisibilité dans leș mots de la même langue, sans porter atteinte au sens ". Notre traduction. 603 Yves Bonnefoy, " La traduction de la poésie. Une conférence d'Yves Bonnefoy à l'ATLF (27 octobre 1975) ", în Bulletin d'information des traducteurs littéraires de la France, janvier
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