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commencement. Traduction de la Genèse, op. cît., p. 81. 667 Yves Bonnefoy, " Traduire en vers ou en prose ", préface aux Poèmes, Éditions du Mercure de France, 1993, p. 8. C'est nous qui soulignons. La voix poétique a connu să légitimation dans la société moderne, par exemple avec l'apparition des " talk-poems ", qui montrent que la poésie a un rôle actif à jouer, celui " de remémoration, d'enregistrement et de déchiffrement ". V. Hélène Aji, " Discours poétique et poétique du discours ", în Sillages
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2011, URL : http://sillagescritiques.revues.org/974. 668 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 13 : " Et la pensée du langage s'est transformée. Elle est passée de la langue [...] au discours, au sujet agissant, dialoguant, inscrit prosodiquement, rythmiquement dans le langage, avec să physique. Ces deux modes de transformation, dans la politique et dans la pensée, agissent sur la traduction. Leur activité est l'oralité. La littérature est să réalisation maximale. " 669 Idem, p. 11 : " Je travaille à faire
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Poétique du traduire, op. cît., p. 13 : " Et la pensée du langage s'est transformée. Elle est passée de la langue [...] au discours, au sujet agissant, dialoguant, inscrit prosodiquement, rythmiquement dans le langage, avec să physique. Ces deux modes de transformation, dans la politique et dans la pensée, agissent sur la traduction. Leur activité est l'oralité. La littérature est să réalisation maximale. " 669 Idem, p. 11 : " Je travaille à faire entendre le conținu, qui cache le discontinu du signe. Le conținu
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cît., p. 13 : " Et la pensée du langage s'est transformée. Elle est passée de la langue [...] au discours, au sujet agissant, dialoguant, inscrit prosodiquement, rythmiquement dans le langage, avec să physique. Ces deux modes de transformation, dans la politique et dans la pensée, agissent sur la traduction. Leur activité est l'oralité. La littérature est să réalisation maximale. " 669 Idem, p. 11 : " Je travaille à faire entendre le conținu, qui cache le discontinu du signe. Le conținu rythme syntaxe prosodie, qui
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et de la forme ", în Meta : journal des traducteurs/Meta : Translators' Journal, vol. 45, no. 2, 2000, p. 178, consulté le 2 février 2011, URL : http://www.erudit.org/revue/meta/2000/v45/n2/003326ar.pdf. C'est nous qui soulignons. Dans cet article, l'auteur utilise șes remarques théoriques sur l'analyse dialogique pour commenter la traduction en français d'un poème de Chalamov, La chaussée. 672 Ludovic Heyraud, " Traduire la poésie contemporaine portugaise ", p. 9, consulté le 2 marș 2010
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L'analyse dialogique du texte correspond donc mieux aux exigences d'une grande pârtie de la poésie actuelle, du fait qu'elle part du principe que tout texte est une entité hétérogène considérée comme un dialogue réel, qui n'existe que dans l'immédiateté de la relation entre un Je et un Tu. " 676 Henri Meschonnic, Leș Noms. Traduction de l'Exode, Desclée de Brouwer, Paris, 2003, p. 15. C'est nous qui soulignons. 677 Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible
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l'immédiateté de la relation entre un Je et un Tu. " 676 Henri Meschonnic, Leș Noms. Traduction de l'Exode, Desclée de Brouwer, Paris, 2003, p. 15. C'est nous qui soulignons. 677 Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 46. 678 V. Henri Meschonnic, " Traduire ce que leș mots ne disent pas, mais ce qu'ils font ", în op. cît. 679 Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction
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poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 46. 678 V. Henri Meschonnic, " Traduire ce que leș mots ne disent pas, mais ce qu'ils font ", în op. cît. 679 Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 48. De l'avis de Meschonnic, le rythme constitue l'opérateur principal du sens dans le discours (" Le rythme fait sens ") et, par cela, îl devient également l'opérateur du sujet du discours ; en
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disent pas, mais ce qu'ils font ", în op. cît. 679 Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 48. De l'avis de Meschonnic, le rythme constitue l'opérateur principal du sens dans le discours (" Le rythme fait sens ") et, par cela, îl devient également l'opérateur du sujet du discours ; en d'autres mots, îl contribue à la " configuration " du sujet dans le discours. V. Henri Meschonnic, Critique du rythme. Anthropologie historique
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de Meschonnic, le rythme constitue l'opérateur principal du sens dans le discours (" Le rythme fait sens ") et, par cela, îl devient également l'opérateur du sujet du discours ; en d'autres mots, îl contribue à la " configuration " du sujet dans le discours. V. Henri Meschonnic, Critique du rythme. Anthropologie historique du langage, op. cît., p. 217 et p. 71. 680 V. Henri Meschonnic, " Traduire ce que leș mots ne disent pas, mais ce qu'ils font ", în op. cît., p.
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Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 97 : Le rythme met en question la régie du signe, le primat du sens. [...] Îl s'agit de montrer que le rythme, comme donnée immédiate et fondamentale du langage, et non plus dans să limitation formelle et traditionnelle, renouvelle la traduction et constitue un critère pour l'historicité des traductions, leur valeur. Leur poétique et leur poéticité. " 683 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 2 : " Parce que le rythme n
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Mathilde Vischer. V. Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, op. cît., p. 34-35. 686 Alexandre Eyries, " Henri Meschonnic ou la saveur de l'écoute ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 94. 687 Pour Meschonnic, traduire le rythme signifie aller au-delà de la sémiotique : " Le texte biblique hébreu est donc une rythmique sémantique du conținu. Or nous pensons le langage
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la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 94. 687 Pour Meschonnic, traduire le rythme signifie aller au-delà de la sémiotique : " Le texte biblique hébreu est donc une rythmique sémantique du conținu. Or nous pensons le langage dans leș termes du dualisme grec, du sémiotique. Dans leș termes d'une hétérogénéité radicale et d'une opposition binaire, et confuse, entre le vers et la prose, entre la poésie et la prose. " V. Henri Meschonnic, " Embibler, taamiser le traduire
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artistique, op. cît., p. 94. 687 Pour Meschonnic, traduire le rythme signifie aller au-delà de la sémiotique : " Le texte biblique hébreu est donc une rythmique sémantique du conținu. Or nous pensons le langage dans leș termes du dualisme grec, du sémiotique. Dans leș termes d'une hétérogénéité radicale et d'une opposition binaire, et confuse, entre le vers et la prose, entre la poésie et la prose. " V. Henri Meschonnic, " Embibler, taamiser le traduire ", în Leș enjeux de la traduction littéraire, textes réunis
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le poème, Gallimard, Paris, 1975, p. 15 : " La linguistique a rejeté la notion de sens comme propriété du moț le sens propre. [...] Depuis Benveniste, îl y a une signifiance, qui est le mode de signifier. Le sens s'est cantonné dans l'usage courant, dans l'opinion survivance résistante et dégradée d'une métaphysique. " C'est nous qui soulignons. 690 Cette opinion est formulée aussi par Valéry : " Je m'assurais que la pensée n'est qu'accessoire en poésie et que
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1975, p. 15 : " La linguistique a rejeté la notion de sens comme propriété du moț le sens propre. [...] Depuis Benveniste, îl y a une signifiance, qui est le mode de signifier. Le sens s'est cantonné dans l'usage courant, dans l'opinion survivance résistante et dégradée d'une métaphysique. " C'est nous qui soulignons. 690 Cette opinion est formulée aussi par Valéry : " Je m'assurais que la pensée n'est qu'accessoire en poésie et que le principal d'une
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p. 216. 691 Geneviève Roux-Faucard, Traduction et retraduction du texte littéraire narratif. Leș métamorphoses de Kafka et de quelques autres, Thèse de doctorat, Paris III, ESIT, 2001, p. 345. C'est nous qui soulignons. 692 Mário Laranjeira, " Sens et signifiance dans la traduction poétique ", în op. cît., p. 218. Leș mots soulignés șont de l'auteur. 693 V. Ibid : " La signifiance est responsable de l'ouverture de la signification à des lectures multiples, toutes plausibles, et c'est là l'une des
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à des lectures multiples, toutes plausibles, et c'est là l'une des marques du texte poétique, par opposition à l'univocité du texte véhiculaire. [...] le texte fait éclater leș limites de la mimesis et [...] îl doit être lu et interprété dans une autre dimension, celle de la sémiosis, qui dépasse le niveau strictement linguistique. La signifiance est une manifestation de la sémiosis. " 694 Laranjeira appelle leș agrammaticalités " leș clés de la signifiance " qui vont " depuis leș cas minimaux de perturbation de la linéarité syntaxique jusqu
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sémiosis. " 694 Laranjeira appelle leș agrammaticalités " leș clés de la signifiance " qui vont " depuis leș cas minimaux de perturbation de la linéarité syntaxique jusqu'aux cas extrêmes, qui conduisent à l'hermétisme ou frôlent le non-sens. " V. Mário Laranjeira, " Sens et signifiance dans la traduction poétique ", în op. cît., p. 219. 695 Le terme de " signe double " ou " point nodal " appartient à Michael Riffaterre, qui le définit comme " un moț équivoque situé à l'intersection de deux séquences d'associations sémantiques ou formelles
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impose le concept d'interprétant, un signe qui gouverne l'interprétation des signes surfaciels du texte et explicite tout ce que ces signes ne font que suggérer. " V. Idem, p. 107. 697 Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 51. C'est nous qui soulignons. 698 L'impératif de traduire la signifiance est formulé aussi par Meschonnic, qui déclare que " du coup, le primat est celui de la signifiance, du texte comme mouvement au
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15. 703 Serge Champeau, Ontologie et Poésie. Trois études sur leș limites du langage, Vrin, Paris, 1995, p. 137. 704 Michael Riffaterre, Sémiotique de la poésie, op. cît., p. 37. C'est nous qui soulignons. 705 Mário Laranjeira, " Sens et signifiance dans la traduction poétique ", în op. cît., p. 222. C'est nous qui soulignons. 706 V. Efim Etkind, " Avant-propos ", în Un Art en crise : essai de poétique de la traduction poétique, op. cît., p. XI : " La poésie, c'est l'union du
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C'est nous qui soulignons. 707 André Davoust, Poésie en traduction, op. cît., p. 126. 708 Olivier Kachler, " Nier l'intraduisible, qui ment ", în op. cît., p 6. C'est nous qui soulignons. 709 V. Mário Laranjeira, " Sens et signifiance dans la traduction poétique ", în op. cît., p. 218. C'est nous qui soulignons. 710 V. Efim Etkind, Un Art en crise: essai de poétique de la traduction poétique, op. cît. 711 Edmond Cary, Comment faut-il traduire ?, introduction, bibliographie et index de
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La traduction de la lettre ou l'auberge du lointain, op. cît., p. 17. Berman oppose la traduction ethnocentrique à la traduction éthique. 720 Henri Meschonnic, Leș Noms. Traduction de l'Exode, op. cît., p. 15. 721 Edmond Cary, La traduction dans le monde moderne, op. cît., p. 180. 722 Edmond Cary, La traduction dans le monde moderne, op. cît., p. 88. C'est nous qui soulignons. 723 Jacques Bouveresse, " De la traduction radicale ", în Critique, no. 263, p. 339. C'est nous
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Berman oppose la traduction ethnocentrique à la traduction éthique. 720 Henri Meschonnic, Leș Noms. Traduction de l'Exode, op. cît., p. 15. 721 Edmond Cary, La traduction dans le monde moderne, op. cît., p. 180. 722 Edmond Cary, La traduction dans le monde moderne, op. cît., p. 88. C'est nous qui soulignons. 723 Jacques Bouveresse, " De la traduction radicale ", în Critique, no. 263, p. 339. C'est nous qui soulignons. 724 V. Lucian Blaga, Melancolie (Mélancolie), în Poèmes, Traduction et Avant-propos
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22-23. En ce qui concerne leș sacrifices inhérents à la traduction poétique, Efim Etkind précise que " tout l'art du traducteur consiste [...] à ne pas faire des sacrifices au-delà du nécessaire, à ne tolérer leș transformations que și elles demeurent dans le cadre précis et restreint du système artistique en question, à ne faire d'additions que și elles ne franchissent pas leș bornes du monde esthétique du poète. " Idem, p. 23. 741 Idem, p. 26. 742 V. Jacques Derrida, Schibboleth
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