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Literary Translators after World War Two ", în op. cît., p. 842. 953 À ce titre, Sean Cotter mentionne l'affirmation de Tudor Vianu : " O traducere trebuie să fie o călătorie într-o țară străină. " (" Une traduction doit représenter un voyage dans un pays étranger. " Notre traduction.) V. Tudor Vianu, Literatura universală și literatura națională, Editura de Stat pentru literatură și arta, București, 1956, p. 275. 954 V. Sean Cotter, " The Soviet Translation : Romanian Literary Translators after World War Two ", în op.
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București, 1975. 958 V. Dimitrie Vatamaniuc, Lucian Blaga. Bibliografie, Editura Științifică și enciclopedica, București, 1977, p. 482-485. 959 Lucian Blaga, " În loc de prefață ", în Din lirica universală. Tălmăciri de Lucian Blaga, op. cît., p. 5 : La plupart des déchiffrages (traductions) réunies dans ce recueil a été rédigée, avec des pauses plus brèves ou plus longues, au fil des années, à partir de 1943, quand on entendait encore leș canons de la guerre. Ces transpositions șont dues à l'enthousiasme avec lequel mon âme
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s'est répandue jusqu'au-delà des Carpates, et qui dit que bientôt paraîtront quelques traductions qui t'appartiennent. " Notre traduction. 963 En ce qui concerne l'anglais, on apprend des données biographiques que Blaga ne le maîtrisait pas très bien ; dans son travail îl était aidé par să femme, Cornelia, ou par Flori Gavrilă, maître de conférences d'anglais. V. le témoignage de Blaga dans Ion Bălu, Viața lui Lucian Blaga, op. cît., vol. 4, p. 365 : " De multe ori ne
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concerne l'anglais, on apprend des données biographiques que Blaga ne le maîtrisait pas très bien ; dans son travail îl était aidé par să femme, Cornelia, ou par Flori Gavrilă, maître de conférences d'anglais. V. le témoignage de Blaga dans Ion Bălu, Viața lui Lucian Blaga, op. cît., vol. 4, p. 365 : " De multe ori ne consfătuiam în trei, mai ales când transpunerea unor cuvine în limba română se preta la sensuri multiple. " (" Très souvent, nous discutions tous leș trois
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des présentations scientifiques et complètes. " Notre traduction. 966 Ibid : " Je n'ai pas eu l'intention de concevoir ce recueil comme une anthologie de la poésie lyrique universelle. À la lecture et à la relecture des vers qui ont été chantés dans l'ancien Egypte, dans l'Antiquité grecque ou chinoise, dans leș bois anciens du fond de l'Afrique, sous le ciel italien ou gallique, est né en moi le désir ardent d'annexer et d'assimiler à notre langue une
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complètes. " Notre traduction. 966 Ibid : " Je n'ai pas eu l'intention de concevoir ce recueil comme une anthologie de la poésie lyrique universelle. À la lecture et à la relecture des vers qui ont été chantés dans l'ancien Egypte, dans l'Antiquité grecque ou chinoise, dans leș bois anciens du fond de l'Afrique, sous le ciel italien ou gallique, est né en moi le désir ardent d'annexer et d'assimiler à notre langue une série des plus belles
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n'ai pas eu l'intention de concevoir ce recueil comme une anthologie de la poésie lyrique universelle. À la lecture et à la relecture des vers qui ont été chantés dans l'ancien Egypte, dans l'Antiquité grecque ou chinoise, dans leș bois anciens du fond de l'Afrique, sous le ciel italien ou gallique, est né en moi le désir ardent d'annexer et d'assimiler à notre langue une série des plus belles poésies de la littérature universelle. Je n
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été intéressé seulement par leur valeur. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 967 V. Lucian Blaga, Elanul insulei, op. cît., p. 177 : " Traduire signifie annexer. Un peuple peut annexer un autre peuple, en traduisant la littérature de celui dernier dans să langue. Le peuple annexé ne perd rien, et celui qui annexe croit et s'élève. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 968 V. la revue Saeculum, année ÎI, janvier-février 1944, p. 63-64, dans laquelle Blaga considère que Holderlin
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la littérature de celui dernier dans să langue. Le peuple annexé ne perd rien, et celui qui annexe croit et s'élève. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 968 V. la revue Saeculum, année ÎI, janvier-février 1944, p. 63-64, dans laquelle Blaga considère que Holderlin est " [...] cel mai înalt și mai pur liric al Gemaniei de totdeauna. Hölderlin este un Pindar al Occidentului. Neînțeles, nici chiar din partea unui Goethe sau Schiller, el a rămas neînțeles, până aproape de zilele noastre. " (" [...] le
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modernă. La poésie de Rilke reste, en effet, son et musique, mais elle s'approfondit toujours, du Livre d'heures jusqu'aux Élégies de Duino et aux Sonnets à Orphée. [...] Une poésie de la sensibilité métaphysique, de l'obscur, et cela dans une telle mesure que leș vers de Rilke aient fécondé d'une certaine manière, ce qu'on ne pouvait pas encore soupçonner pendant la vie du poète la philosophie moderne. " Notre traduction.) 970 Lucian Blaga, " În loc de prefață ", în Din lirica
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Notre traduction.) 970 Lucian Blaga, " În loc de prefață ", în Din lirica universală. Tălmăciri de Lucian Blaga, op. cît., p. 5-6 : " En traduisant je me suiș apaisé une soif ardente. En traduisant je me suiș enrichi d'une expérience. Je voulais voir dans quelle mesure la poésie peut être passée d'une langue à l'autre. En traduisant j'ai senti que je m'élevais. Car je me suiș penché seulement sur des poèmes qui m'ont enchanté et qui, en traduction, pouvaient
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je pourrais entreprendre un țel travail. L'œuvre est difficile et l'effort qu'elle suppose est énorme. Mais Faust est pour moi un ancien défi. " Notre traduction. 975 V. le chapitre " Odiseea unei traduceri " (" L'odyssée d'une traduction "), dans Ion Bălu, Viața lui Lucian Blaga, op. cît., vol. 4, p. 189-276. Îl s'agit surtout de critiques émanant d'auteurs comme Tudor Arghezi ou Mihai Beniuc. 976 Ion Bălu, Viața lui Lucian Blaga, op. cît., vol. 4, p. 269
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Lucian Blaga, op. cît., vol. 4, p. 269 : " [...] inégale du point de vue formel ; elle [la traduction] comprend des passages inspirés et merveilleusement réalisés, mais aussi d'autres qui șont infidèles aux rythmes et à la métrique de Goethe. Pénétrant dans la profondeur du texte et le traduisant, la plupart des fois, par la méthode exhaustive d'un vrai commentateur en prose, Blaga rend parfois leș images et leș idées de Goethe à travers des visions personnelles. Par exemple, on découvre
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p. 315. 978 V. Idem, p. 365-375. 979 " Lucian Blaga în însemnările zilnice ale Corneliei Brediceanu ", în Manuscriptum, no. 3-4, 1998, p. 238-239 : " Le 12 août 1960, Lucian a essayé de traduire Evelyn Hope de Browning, pendant să promenade quotidienne dans la ville de Cluj. Le soir, je lui ai lu le texte original (îl ne connaissait que la traduction en allemand). Remarquant leș différences, îl m'a dit qu'il voulait une traduction en roumain. J'étais éveillée comme d
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vers deux heures du soir, donc j'ai fait la traduction pendant la nuit et le matin je la lui ai donnée ; îl est allé se promener, prenant la traduction avec lui. À midi, îl me l'a apportée versifiée dans toute să splendeur. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 980 V. Lucian Blaga, Opere, vol. III: Tălmăciri, op. cît. 981 V. URL: http://dexonline.ro/definiție/tâlmaci, consulté le 9 janvier 2011. 982 V. URL: http://dexonline.ro/definiție
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Blaga, Operă poetica, Humanitas, Bucarest, 2010, p. 456.) 984 V. Lucian Blaga, " Faust și problema traducerilor " (" Faust et le problème de la traduction "), în Lucian Blaga, Isvoade: eseuri, conferințe și articole, op. cît., p. 113-124. L'article a été publié premièrement dans la revue Steaua, no. 5, măi 1957, p. 85-90, sous le titre " Cum l-am tradus pe Faust " (" Comment j'ai traduit Faust "), ensuite dans la revue Luceafărul de mai 1963. V. " Notă bibliografica " (" Notice bibliographique "), în Lucian Blaga, " Faust
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Isvoade: eseuri, conferințe și articole, op. cît., p. 113-124. L'article a été publié premièrement dans la revue Steaua, no. 5, măi 1957, p. 85-90, sous le titre " Cum l-am tradus pe Faust " (" Comment j'ai traduit Faust "), ensuite dans la revue Luceafărul de mai 1963. V. " Notă bibliografica " (" Notice bibliographique "), în Lucian Blaga, " Faust și problema traducerilor ", în Lucian Blaga, Isvoade: eseuri, conferințe și articole, op. cît., p. 243. 985 Idem, p. 113 : " On peut supposer qu'un traducteur
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qu'un traducteur par l'âme duquel est passé le feu de Faust a vraiment quelque chose à dire sur le problème de la transposition de la poésie d'une langue à l'autre, et en général sur la question des traductions, dans leș conditions réelles de notre littérature. [...] Celui qui n'a jamais éprouvé la souffrance de la transposition d'une poésie d'une littérature étrangère dans notre langue, se rendra compte à peine combien épineuse et complexe est ce problème des traductions
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de la poésie d'une langue à l'autre, et en général sur la question des traductions, dans leș conditions réelles de notre littérature. [...] Celui qui n'a jamais éprouvé la souffrance de la transposition d'une poésie d'une littérature étrangère dans notre langue, se rendra compte à peine combien épineuse et complexe est ce problème des traductions. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 986 Idem, p. 113-114 : Îl faut reconnaître que, jusqu'à présent, notre littérature ne comprend que trop
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qui soulignons. 986 Idem, p. 113-114 : Îl faut reconnaître que, jusqu'à présent, notre littérature ne comprend que trop peu de traductions réussies de la littérature poétique universelle. Un enthousiasme, une passion ardente pour la traduction a existé jadis chez nous, dans l'esprit de quelques poètes assoiffés d'horizons larges, dans la période de formation de la langue moderne, avânt Eminescu. Pour des raisons que l'on peut comprendre facilement, cette parole de début n'a pas pu porter des fruits qui
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jusqu'à présent, notre littérature ne comprend que trop peu de traductions réussies de la littérature poétique universelle. Un enthousiasme, une passion ardente pour la traduction a existé jadis chez nous, dans l'esprit de quelques poètes assoiffés d'horizons larges, dans la période de formation de la langue moderne, avânt Eminescu. Pour des raisons que l'on peut comprendre facilement, cette parole de début n'a pas pu porter des fruits qui demeurent, car la langue littéraire poétique était à l'époque
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la période de formation de la langue moderne, avânt Eminescu. Pour des raisons que l'on peut comprendre facilement, cette parole de début n'a pas pu porter des fruits qui demeurent, car la langue littéraire poétique était à l'époque dans l'étape des tâtonnements de principes. Quand la langue roumaine littéraire moderne a pris contour grace aux efforts d'Alecsandri et d'Eminescu, leș poètes importants ont dirigé leur zèle presqu'en exclusivité à la création originale ; leș traductions étaient
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d'Eminescu, leș poètes importants ont dirigé leur zèle presqu'en exclusivité à la création originale ; leș traductions étaient laissées à la périphérie de l'intérêt ou, pire encore, au soin des dilettantes, qui se șont toujours frayé le passage dans ce travail, qui enivre și facilement leș gens avec l'illusion de la création. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 987 V. Idem, p. 114 : " [...] în cele câteva decenii posteminesciene, poeți precum Coșbuc sau Iosif au făcut multe traduceri, fragmentar
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fragmentar de mântuiala, grăbite adesea. Coșbuc s-a întrecut uneori pe șine traducând pe Dante, dar fără largă respirație. Ștefan O. Iosif a tradus mult și onest, dar s-a încurcat uneori cu o poezie prea gravă pentru puterile sale. " (" [...] dans leș quelques décennies après Eminescu, des poètes comme Coșbuc ou Iosif ont réalisé beaucoup de traductions, partiellement honorables, partiellement à la va-vite, souvent hardies. Coșbuc a été au dessus de soi-même en traduisant Dante, mais sans de vastes échos
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Idem, p. 116 : " Leș problèmes que j'ai connus lors de cette traduction étaient d'une diversité accablante. Leș difficultés qui m'accueillaient me semblaient pour la plupart du temps insurmontables. La multitude même des formes poétiques, qui se rencontraient dans cette œuvre comme dans l'architecture d'une cathédrale, auquel on aurait travaillé des centaines d'années, avec des changements de générations et une superposition de styles, était souvent décourageante, mais elle constituait également un stimulant fort et cinglant pour
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