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et Avant-propos par Veturia Drăgănescu-Vericeanu, op. cît., p. 237. Leș vers " Faptele ce ar putea pentru mine mărturie să stea/în grădina, în lumina. " prennent la forme d'une interrogation en traduction : " Ceux [leș faits] qui pour moi seraient *temoins/dans le jardin, dans la lumière ? " À remarquer aussi l'erreur de frappe dans le cas du nom " témoins ". 1419 V. Lucian Blaga, Călugărul bătrân îmi șoptește din prag (Le vieux moine, me parlant baș de son seuil), în Poèmes, Traduction
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Veturia Drăgănescu-Vericeanu, op. cît., p. 237. Leș vers " Faptele ce ar putea pentru mine mărturie să stea/în grădina, în lumina. " prennent la forme d'une interrogation en traduction : " Ceux [leș faits] qui pour moi seraient *temoins/dans le jardin, dans la lumière ? " À remarquer aussi l'erreur de frappe dans le cas du nom " témoins ". 1419 V. Lucian Blaga, Călugărul bătrân îmi șoptește din prag (Le vieux moine, me parlant baș de son seuil), în Poèmes, Traduction et Avant-propos par
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ar putea pentru mine mărturie să stea/în grădina, în lumina. " prennent la forme d'une interrogation en traduction : " Ceux [leș faits] qui pour moi seraient *temoins/dans le jardin, dans la lumière ? " À remarquer aussi l'erreur de frappe dans le cas du nom " témoins ". 1419 V. Lucian Blaga, Călugărul bătrân îmi șoptește din prag (Le vieux moine, me parlant baș de son seuil), în Poèmes, Traduction et Avant-propos par Veturia Drăgănescu-Vericeanu, op. cît., p. 137. À observer aussi la
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nom " témoins ". 1419 V. Lucian Blaga, Călugărul bătrân îmi șoptește din prag (Le vieux moine, me parlant baș de son seuil), în Poèmes, Traduction et Avant-propos par Veturia Drăgănescu-Vericeanu, op. cît., p. 137. À observer aussi la présence de la virgule dans le titre même, justifiée par le gérondif " parlant ", qui alourdit inutilement le message que le titre veut transmettre. 1420 Lucian Blaga, Fiu al faptei nu sunt (Je ne suiș pas le fils de l'œuvre), în Poèmes, Traduction et Avant-propos
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apasă peste casa mea (J'ai compris le péché qui pèse sur mă maison), et Domnițele (Leș princesses) în Poèmes, Traduction et Avant-propos par Veturia Drăgănescu-Vericeanu, op. cît., p. 157 et respectivement 213. 1426 L'adjectif est à retrouver également dans le poème Tâlcuri, în Opera poetica, op. cît., p. 327. 1427 Le volume Lucian Blaga, Operă poetica, op. cît., préserve la version d'origine des poèmes de Blaga. Nous avons analysé le poème La cumpăna apelor et nous avons constaté
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vraiment, de l'adjectif " ducăuș " (" de départ "), création inédite de Blaga, et non de l'adjectif " jucăuș " (" folâtre "). 1428 Nous pouvons deviner que Veturia Drăgănescu-Vericeanu, en traduisant, s'est servie du texte source original, et non de celui qui apparaît dans le recueil publié par leș Éditions Minerva en 1974. 1429 Nous avons remarqué que Paul Miclău supprime très rarement leș tirets du texte de départ. Lorsqu'une telle suppression est opérée, îl s'agit surtout de tirets à fonction purement
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Cântecul somnului (La chanson du sommeil), în Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, traduction de Paul Miclău, op. cît., p. 477. Le vers " Le sommeil est bien doux ", traduction littérale du vers " Plăcut e somnul ", est à retrouver trois fois dans la traduction, respectant le découpage du poème de départ. 1431 V. par exemple Lucian Blaga, Lumina (La lumière), în Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, traduction de Paul Miclău, op. cît., p. 127. 1432 V. Lucian Blaga, Lumina (La lumière
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lumière, traduction de Paul Miclău, op. cît., p. 127. 1434 V. Lucian Blaga, Noi și pământul (Nous et la terre), în Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, traduction de Paul Miclău, op. cît., p. 145. Le traducteur ajoute une virgule dans le texte cible pour signaler une pause avânt le complément circonstanciel de temps : " À l'aube, quand le jour va enflammer la nuit [...]. " Texte source : " În zori când ziua va aprinde noaptea [...]. " V. Lucian Blaga, Operă poetica, op. cît., p.
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noaptea [...]. " V. Lucian Blaga, Operă poetica, op. cît., p. 27. 1435 V. Lucian Blaga, Pax magna (Pax magna), în Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, traduction de Paul Miclău, op. cît., p. 187. 1436 Leș modifications au niveau de la ponctuation dans la version de Sanda Stolojan șont dues, à notre sens, soit à une faute d'inattention de la traductrice, soit au fait qu'elle interprète librement le texte de Blaga. V. aussi Lucian Blaga, Ioan se sfâșie în pustie (Jean se
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version de Sanda Stolojan șont dues, à notre sens, soit à une faute d'inattention de la traductrice, soit au fait qu'elle interprète librement le texte de Blaga. V. aussi Lucian Blaga, Ioan se sfâșie în pustie (Jean se lamente dans le désert), în L'étoile la plus triste, traduction de Sanda Stolojan, op. cît., p. 77 : Sanda Stolojan traduit le vers " Tu poate și astăzi o mai aștepți. " par une question " Se peut-il que tu l'attends encore ? " 1437 Le
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ou le chant..., op. cît., p. 110. Jean Poncet traduit leș vers " Omule, ți-aș spune mai mult,/dar e-n zadar [...]. " par " Homme, je t'en dirais davantage,/mais à quoi bon ? [...]. " À remarquer aussi que le traducteur préserve dans son texte-traduction le tiret du texte d'origine, tout inédit qu'il puisse paraître au lectorat français. 1440 V. aussi Lucian Blaga, Inscripție, în Opera poetica, op. cît., p. 257. Ce poème est construit entièrement sur cinq reprises de contenu
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pe care nu umblam,/drumurile, ce rămân în noi,/ne duc și ele, fără număr, undeva./ Cuvintele, pe care nu le rostim,/cuvintele, ce rămân în noi,/descoperă și ele, fără de margini, făptura. " La traduction littérale est la plus appropriée dans cette situation, parce qu'elle préserve leș vers en miroir, cette particularité stylistique de Blaga : " Leș chemins que nous n'empruntons pas,/leș chemins qui demeurent en nous,/eux aussi, innombrables, nous mènent quelque part./ Leș paroles que nous ne
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part./ Leș paroles que nous ne prononçons pas,/leș paroles qui demeurent en nous,/elles aussi, sans fin, dévoilent l'être. " V. Lucian Blaga, Inscripție (Inscription), în Jean Poncet (dir.), Lucian Blaga ou le chant..., op. cît., p. 174. 1441 Dans ce recueil, le tiret est très souvent remplacé par une simple virgule ou par des points de suspension. V. l'Annexe 6. 1442 V. Lucian Blaga, Canele din Pompei (Le chien de Pompéi), traduit par Alain Caumette, în Poeme alese
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et qui indique également un mauvais travail de relecture. 1443 Paula Romanescu supprime souvent leș guillemets qui marquent des citations. V. aussi Lucian Blaga, Mugurii (Leș bourgeons), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 38. Par contre, dans la traduction du poème Lumină raiului (La lumière du paradis), în op. cît., p. 51, la traductrice préfère insérer des guillemets pour marquer une question rhétorique du moi lyrique : leș vers " Ca un eretic stau pe gânduri și mă-ntreb
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paradis), în op. cît., p. 51, la traductrice préfère insérer des guillemets pour marquer une question rhétorique du moi lyrique : leș vers " Ca un eretic stau pe gânduri și mă-ntreb :/ De unde-și are raiul -/lumina ? " șont traduits par " Plongé dans mes rêveries païennes je me demande : "Le Paradis, d'où tient-il să lumière ?" " 1444 Un emploi des tirets similaire au style de Blaga peut être identifié dans la traduction du poème Dați-mi un trup voi munților (Vous leș montagnes
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gânduri și mă-ntreb :/ De unde-și are raiul -/lumina ? " șont traduits par " Plongé dans mes rêveries païennes je me demande : "Le Paradis, d'où tient-il să lumière ?" " 1444 Un emploi des tirets similaire au style de Blaga peut être identifié dans la traduction du poème Dați-mi un trup voi munților (Vous leș montagnes, donnez-moi un corps !), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 65. Leș vers " Dați-mi un trup/voi munților,/marilor [...] !" șont traduits par " Vous
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-mi un trup/voi munților,/marilor [...] !" șont traduits par " Vous leș montagnes, donnez-moi un corps !/Vous leș mers, en donnez-moi un autre ! " On remarque, entre autres, l'interprétation que donne la traductrice aux vers de Blaga : le moi lyrique demande, dans le texte-traduction, un corps aux montagnes et un autre aux mers. Pourtant, comme le titre le dit explicitement, le moi lyrique désire, suivant son élan expressionniste, un seul corps, plus grand, pour qu'il puisse décharger pleinement să folie. 1445
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57. 1448 Lucian Blaga, Frumoase mâini (Jolies mains...), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 23. Comme nous avons montré, leș points de suspension ne caractérisent pas le style poétique de Blaga ; pourtant, la traductrice leș insère dans leș poèmes Mi-aștept amurgul (J'attends le crépuscule), Mugurii (Leș bourgeons), Anotimpuri (Saisons), Dați-mi un trup voi munților (Vous leș montagnes, donnez-moi un corps !) et Gorunul (Le chêne). V. Idem, p. 24, 38, 62, 66 et respectivement 80-81
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bourgeons), Anotimpuri (Saisons), Dați-mi un trup voi munților (Vous leș montagnes, donnez-moi un corps !) et Gorunul (Le chêne). V. Idem, p. 24, 38, 62, 66 et respectivement 80-81. 1449 Paula Romanescu choisit d'amplifier le sémantisme du moț " terre " dans să traduction. V. la traduction du poème Dați-mi un trup voi munților (Vous leș montagnes, donnez-moi un corps !), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 65 : îl y a trois occurrences du moț " Terre ", moț qui
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occurrences du moț " Terre ", moț qui commence par une majuscule. 1450 V. Lucian Blaga, Vreau să joc ! (Je veux danser !), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 11. Le syntagme " le Bon Dieu " est à retrouver aussi dans la traduction des poèmes Pax magna (Pax magna) et Nu-mi presimți ? (Le comprends-tu ?). V. Idem, p. 13-14 et 19. 1451 Lucian Blaga, Veșnicul (L'Éternel), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 21. Même situation dans
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dans la traduction des poèmes Pax magna (Pax magna) et Nu-mi presimți ? (Le comprends-tu ?). V. Idem, p. 13-14 et 19. 1451 Lucian Blaga, Veșnicul (L'Éternel), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 21. Même situation dans la traduction du poème Mi-aștept amurgul (J'attends mon crépuscule). V. Idem, p. 24 : la traductrice fait commencer par des majuscules le nom " Voies Lactées ", même și, dans le texte source, îl s'agit d'un pluriel inédit, symbolique
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poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 21. Même situation dans la traduction du poème Mi-aștept amurgul (J'attends mon crépuscule). V. Idem, p. 24 : la traductrice fait commencer par des majuscules le nom " Voies Lactées ", même și, dans le texte source, îl s'agit d'un pluriel inédit, symbolique. 1452 Lucian Blaga, Lumina raiului (La lumière du paradis), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 51. 1453 V. Lucian Blaga, Primăvara (Printemps), în 65 poèmes
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cît., p. 51. 1453 V. Lucian Blaga, Primăvara (Printemps), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 59. 1454 V. Lucian Blaga, Psalm (Psaume), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 49-50. 1455 Même situation dans la traduction du poème Stalactita (La stalactite) : leș vers en miroir " Lin,/lin,/lin picuri de lumină [...] cad necontenit [...]. " șont traduits par " Et une à une,/Tout doucement,/Des gouttes de lumière [...]/Tombent sans arrêt [...]. " La traductrice omet la répétition
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cît., p. 62. 1463 V. Lucian Blaga, Psalm (Psaume), în Lucian Blaga " Le Grand Passage ", suivi de Nichita Stănescu " Une vision des sentiments ", traduction de Ștefana et Ioan Pop-Curșeu, op. cît., p. 46 : le point final du texte source manque. Dans l'exergue du recueil, on peut lire *" Oprește trecere. " au lieu de " Oprește trecerea. " V. Lucian Blaga, Motto (Exergue), în Lucian Blaga " Le Grand Passage ", suivi de Nichita Stănescu " Une vision des sentiments ", traduction de Ștefana et Ioan Pop-Curșeu, op.
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tine./ Din gene, ape moarte mi se preling. " șont traduits par " En moi aujourd'hui encore on parle de țoi,/Et des eaux mortes me coulent des cils. " 1467 Par rapport au roumain, la langue française montre une servitude linguistique dans l'emploi du sujet qui accompagne le verbe : și, en roumain, le sujet peut manquer, en français să présence est absolument nécessaire dans le discours. V. Jean-Paul Vinay, Jean Darbelnet, Stylistique comparée du français et de l'anglais, op. cît
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