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Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p. 66. 1533 Nous rappelons notre analyse d'une strophe extraite du poème În marea trecere (Dans le grand passage) : à cette occasion, nous avons remarqué l'existence des effets sonores dans la poésie de Blaga (nous avons commenté l'assonance de la voyelle " a " : " stânci "/" pământ "/" pâraie "/" adânc "). 1534 V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 46 : " L'allitération est la répétition de phonèmes consonantiques destinée à produire un effet
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Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 46 : " L'allitération est la répétition de phonèmes consonantiques destinée à produire un effet soit harmonique soit structurel, ou bien encore à souligner par le rappel phonique l'importance d'un moț dans le vers ou dans le poème ; elle a le plus souvent une fonction rythmique. " 1535 Alexandra Indrieș caractérise ces deux vers comme un cas particulier de " symétrie phonique ". V. Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 228
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poétique, op. cît., p. 46 : " L'allitération est la répétition de phonèmes consonantiques destinée à produire un effet soit harmonique soit structurel, ou bien encore à souligner par le rappel phonique l'importance d'un moț dans le vers ou dans le poème ; elle a le plus souvent une fonction rythmique. " 1535 Alexandra Indrieș caractérise ces deux vers comme un cas particulier de " symétrie phonique ". V. Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 228. 1536 V. Michèle Aquien
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op. cît., p. 228. 1536 V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 61 : l'assonance est définie comme " la répétition remarquable d'un même phonème vocalique. [...] En prosodie, îl s'agit d'une homophonie finale des vers [...]. " 1537 Dans le Chapitre ÎI, nous avons montré que le processus de traduction ne se confine pas au niveau strictement linguistique du texte, mais îl se situe au niveau global du discours. Și l'on considère le texte comme discours, la question
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toujours des textes ou des discours, dont la raison d'être est la transmission des idées. " Edmond Cary démonte lui aussi le postulat apriorique de l'intraduisible : " À la vérité cette notion [de termes intraduisibles] ne devient une gêne que dans la mesure où l'on est résolu d'avance à réduire la traduction à un exercice mort de stérile linguistique. Une traduction vivante ne connaît guère d'intraduisibles. " V. Edmond Cary, Comment faut-il traduire ?, op. cît., p. 54. C'est
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poèmes de la lumière, traduction de Paul Miclău, op. cît., p. 111. 1556 V. Lucian Blaga, Semne, în Opera poetica, op. cît., p. 130. 1557 V. Lucian Blaga, Rune, în Opera poetica, op. cît., p. 179. Nous avons défini la rune dans la Section 1. 1. 2. du Chapitre V. 1558 Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 20. 1559 V. Idem, p. 92-93. 1560 V. Idem, p.111. 1561 V. Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op.
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qu'il est rongé par son désir de connaître, de déchiffrer leș mystères, Blaga est évidemment son opposé. Îl déclare directement : "Je ne suiș pas fils de l'acte". " Notre traduction.) 1566 Nous avons analysé la recréation de cette métaphore dans la version de Paul Miclău dans la Section 1. 1. 2. 2. du Chapitre V. 1567 V. Philippe Loubière, Traduire " În marea trecere " de Lucian Blaga (1895-1961) ", op. cît., p. 45. 1568 V. Françoise Wuilmart, " Le péché du "nivellement" dans
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désir de connaître, de déchiffrer leș mystères, Blaga est évidemment son opposé. Îl déclare directement : "Je ne suiș pas fils de l'acte". " Notre traduction.) 1566 Nous avons analysé la recréation de cette métaphore dans la version de Paul Miclău dans la Section 1. 1. 2. 2. du Chapitre V. 1567 V. Philippe Loubière, Traduire " În marea trecere " de Lucian Blaga (1895-1961) ", op. cît., p. 45. 1568 V. Françoise Wuilmart, " Le péché du "nivellement" dans la traduction littéraire ", în op. cît
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dans la version de Paul Miclău dans la Section 1. 1. 2. 2. du Chapitre V. 1567 V. Philippe Loubière, Traduire " În marea trecere " de Lucian Blaga (1895-1961) ", op. cît., p. 45. 1568 V. Françoise Wuilmart, " Le péché du "nivellement" dans la traduction littéraire ", în op. cît. 1569 Philippe Loubière, Traduire " În marea trecere " de Lucian Blaga (1895-1961) ", op. cît., p. 46. 1570 V. Philippe Loubière, Traduire " În marea trecere " de Lucian Blaga (1895-1961) ", op. cît., p. 46. 1571 V. Françoise
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cît. 1569 Philippe Loubière, Traduire " În marea trecere " de Lucian Blaga (1895-1961) ", op. cît., p. 46. 1570 V. Philippe Loubière, Traduire " În marea trecere " de Lucian Blaga (1895-1961) ", op. cît., p. 46. 1571 V. Françoise Wuilmart, " Le péché du "nivellement" dans la traduction littéraire ", în op. cît. 1572 Philippe Loubière, Traduire " În marea trecere " de Lucian Blaga (1895-1961) ", op. cît., p. 46. 1573 V. Patrick Bacry, Leș figures de style, Belim, Paris, 2010, p. 57 : " [...] la métaphore repose [...] sur la relation
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sur la relation de similitude ou du moins d'assimilation qui caractérise l'ensemble des procédés stylistiques que nous avons appelés figures de ressemblance. " C'est nous qui soulignons. 1574 V. Henri Suhamy, " La traduction des métaphores et des hypallages dans Shakespeare et dans Scott : quand l'intertextualité s'en mêle ", în op. cît., p. 58-59 : Îl faut garder à l'esprit qu'une métaphore est une figure de substitution, autrement dit un trope, qui consiste à remplacer un signifiant par
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de similitude ou du moins d'assimilation qui caractérise l'ensemble des procédés stylistiques que nous avons appelés figures de ressemblance. " C'est nous qui soulignons. 1574 V. Henri Suhamy, " La traduction des métaphores et des hypallages dans Shakespeare et dans Scott : quand l'intertextualité s'en mêle ", în op. cît., p. 58-59 : Îl faut garder à l'esprit qu'une métaphore est une figure de substitution, autrement dit un trope, qui consiste à remplacer un signifiant par un autre signifiant
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Meta : Translators' Journal, volume 50, no. 4, 2005, consulté le 12 juillet 2011, URL : http://www.erudit.org/livre/meta/2005/000262co.pdf. Le terme " mapping " (correspondance conceptuelle) appartient à Lakoff et Johnson. V. George Lakoff, Mark Johnson, Leș Métaphores dans la vie quotidienne, Éditions de Minuit, Paris, 1985. 1583 Michele Prandi, " La métaphore : de la définition à la typologie ", în Langue Française, no. 134 : Nouvelles approches de la métaphore, Larousse, Paris, 2002, p. 8. 1584 V. Patrick Bacry, Leș figures de style
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Paris, 2002, p. 8. 1584 V. Patrick Bacry, Leș figures de style, op. cît. 1585 Richard Arcând, Figures et jeux de mots, La Lignée Inc., Belœil (Québec), 1991, p. 63. 1586 Pour Ricœur, " bien métaphoriser, c'est apercevoir le semblable dans le dissemblable ". V. Paul Ricœur, La métaphore vive, op. cît., p. 10. 1587 Maryvonne Boisseau, " Présentation ", în Palimpsestes, no. 17 : Traduire la figure de style, op. cît., p. 9. C'est nous qui soulignons. V. aussi Henri Suhamy, " La traduction
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La métaphore vive, op. cît., p. 10. 1587 Maryvonne Boisseau, " Présentation ", în Palimpsestes, no. 17 : Traduire la figure de style, op. cît., p. 9. C'est nous qui soulignons. V. aussi Henri Suhamy, " La traduction des métaphores et des hypallages dans Shakespeare et dans Scott : quand l'intertextualité s'en mêle ", în op. cît., p. 59 : " [...] la fossilisation des métaphores est un phénomène indiscutable, universellement répandu, relevant de la lexicologie diachronique. " 1588 La littérarité est définie par Jakobson comme " ce qui fait
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op. cît., p. 10. 1587 Maryvonne Boisseau, " Présentation ", în Palimpsestes, no. 17 : Traduire la figure de style, op. cît., p. 9. C'est nous qui soulignons. V. aussi Henri Suhamy, " La traduction des métaphores et des hypallages dans Shakespeare et dans Scott : quand l'intertextualité s'en mêle ", în op. cît., p. 59 : " [...] la fossilisation des métaphores est un phénomène indiscutable, universellement répandu, relevant de la lexicologie diachronique. " 1588 La littérarité est définie par Jakobson comme " ce qui fait d'une œuvre
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comportement de l'ensemble ". V. Român Jakobson, Questions de poétique, op. cît., p. 124. 1591 Paul Bensimon, " Figure, figuralité, dé-figuration, sur-figuration : aspects de la traduction poétique ", în op. cît., p. 57. 1592 Henri Suhamy, " La traduction des métaphores et des hypallages dans Shakespeare et dans Scott : quand l'intertextualité s'en mêle ", în op. cît., p. 58. C'est nous qui soulignons. 1593 Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI. Epistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op.cit., p. 315-316. C'est nous
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ensemble ". V. Român Jakobson, Questions de poétique, op. cît., p. 124. 1591 Paul Bensimon, " Figure, figuralité, dé-figuration, sur-figuration : aspects de la traduction poétique ", în op. cît., p. 57. 1592 Henri Suhamy, " La traduction des métaphores et des hypallages dans Shakespeare et dans Scott : quand l'intertextualité s'en mêle ", în op. cît., p. 58. C'est nous qui soulignons. 1593 Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI. Epistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op.cit., p. 315-316. C'est nous qui soulignons. 1594
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textuelle est toujours au moins partiellement anti-idéologique. " V. Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI. Epistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op. cît., p. 76 et 315. 1596 Maryvonne Boisseau, " "Je brûle pour Thésée", Réflexions sur leș opérations linguistiques engagées dans la traduction d'une métaphore de Phèdre ", în Palimpsestes, no. 17 : Traduire la figure de style, op. cît., p. 35 et 38. 1597 Terme appartenant à Bensimon. V. Paul Bensimon, " Figure, figuralité, dé-figuration, sur-figuration : aspects de la traduction poétique ", în op.
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et 38. 1597 Terme appartenant à Bensimon. V. Paul Bensimon, " Figure, figuralité, dé-figuration, sur-figuration : aspects de la traduction poétique ", în op. cît., p. 58. 1598 V. Ibid, p. 78. 1599 V. aussi Henri Suhamy, " La traduction des métaphores et des hypallages dans Shakespeare et dans Scott : quand l'intertextualité s'en mêle ", în op. cît., p. 62 : " [...] la métaphore n'a pas à être considérée systématiquement comme une fioriture, une perle de culture, un ornement ajouté au texte, une fleur de rhétorique
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Terme appartenant à Bensimon. V. Paul Bensimon, " Figure, figuralité, dé-figuration, sur-figuration : aspects de la traduction poétique ", în op. cît., p. 58. 1598 V. Ibid, p. 78. 1599 V. aussi Henri Suhamy, " La traduction des métaphores et des hypallages dans Shakespeare et dans Scott : quand l'intertextualité s'en mêle ", în op. cît., p. 62 : " [...] la métaphore n'a pas à être considérée systématiquement comme une fioriture, une perle de culture, un ornement ajouté au texte, une fleur de rhétorique dont on pouvait
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une perle de culture, un ornement ajouté au texte, une fleur de rhétorique dont on pouvait se passer, tout comme on peut se passer d'une fleur à la boutonnière. La métaphore est un moyen d'expression, un outil qui, dans toutes leș langues du monde, et avânt l'intervention de la littérarité, sert à construire des concepts. " 1600 Paul Bensimon, " Figure, figuralité, dé-figuration, sur-figuration : aspects de la traduction poétique ", în op. cît., p. 78-79. 1601 Antoine Berman, Pour une critique des traductions
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110-111. C'est nous qui soulignons. 1606 Blaga utilise souvent des noms formés à l'aide du suffixe " -iște " : " zariște " (dérivé du nom " zare ", littéralement : " horizon ") ; " rariște " (dérivé de l'adjectif " rar " " rare ") le nom fait référence à un endroit dans le bois où la végétation est rare, c'est-à-dire une clairière ; " ceriște " (dérivé du nom " cer " " ciel ") le nom fait référence, probablement, à la voûte céleste. 1607 Le terme " zariște " est traduit, dans notre corpus, par " horizon ". V. Lucian Blaga
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le nom fait référence à un endroit dans le bois où la végétation est rare, c'est-à-dire une clairière ; " ceriște " (dérivé du nom " cer " " ciel ") le nom fait référence, probablement, à la voûte céleste. 1607 Le terme " zariște " est traduit, dans notre corpus, par " horizon ". V. Lucian Blaga, Ani, pribegie și somn (Années, exil et sommeil), traduit par Virgil Ierunca, în La Nouvelle Revue Française, no 273, op. cît., p. 4 : le syntagme " zariștea-ntreagă " est traduit par " l'horizon ". V.
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figures de style, op. cît., p. 77. 1616 L'excès de " mots poétiques " est pourtant un signe de préciosité. V. Emmanuel Hocquard, Mă haie, P.O.L. Paris, 2001, p. 440 : " Pour échapper à la morosité ambiante, on va puiser, dans le vocabulaire, des mots-refuge pour donner la pilule. À ce compte-là, pourquoi ne pas dire onde pour eau, vaisseau pour băteau, courroux pour colère, nues pour nuages, flots pour mer, ondée pour averse, fragrance pour odeur, destrier pour cheval, orée
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