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les contrats collectifs de la Societé Minière Petroșani; le contrat collectif de la Société U.D.R. de Reșița, (Bulletin du Travail, page 97) le contrat passé entre Schmeller et les ouvriers syndicalisés de Bucarest. (Bulletin du Travail, page 161, 1936). Généralement, même dans les entreprises utilisant des centaines de femmes, rien n’est prévu pour améliorer leur situation; elles sont retribuées comme les hommes, en général dans le travail à la pièce. Or, si ce travail est également fatiguant pour tous les ouvriers
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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entre Schmeller et les ouvriers syndicalisés de Bucarest. (Bulletin du Travail, page 161, 1936). Généralement, même dans les entreprises utilisant des centaines de femmes, rien n’est prévu pour améliorer leur situation; elles sont retribuées comme les hommes, en général dans le travail à la pièce. Or, si ce travail est également fatiguant pour tous les ouvriers, il l’est surtout pour les femmes ouvrières. Ainsi dans les fabriques de fichus imprimés, dans l’industrie gantière, de Cluj, Timișoara ou Arad
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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est prévu pour améliorer leur situation; elles sont retribuées comme les hommes, en général dans le travail à la pièce. Or, si ce travail est également fatiguant pour tous les ouvriers, il l’est surtout pour les femmes ouvrières. Ainsi dans les fabriques de fichus imprimés, dans l’industrie gantière, de Cluj, Timișoara ou Arad, le payement se fait à la pièce et il est le même pour les deux sexes. Mais des que le travail est compté à l’heure
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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elles sont retribuées comme les hommes, en général dans le travail à la pièce. Or, si ce travail est également fatiguant pour tous les ouvriers, il l’est surtout pour les femmes ouvrières. Ainsi dans les fabriques de fichus imprimés, dans l’industrie gantière, de Cluj, Timișoara ou Arad, le payement se fait à la pièce et il est le même pour les deux sexes. Mais des que le travail est compté à l’heure, à la journée ou à la
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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leurs charges 71 entretiennent entièrement les êtres dépendant d’elles 47 les entretiennent en partie. Il y a donc en moyenne 2,7 personne de la familie à entretenir pour chaque ouvrière. La situation este la même pour les femmes employées dans le commerce et dans les bureaux particuliers. Il n’y a que l’Etat qui leur accorde un traitement égal à celui des hommes, dans le même grade et pour la même qualité de travail. Quel que soit le travail
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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entièrement les êtres dépendant d’elles 47 les entretiennent en partie. Il y a donc en moyenne 2,7 personne de la familie à entretenir pour chaque ouvrière. La situation este la même pour les femmes employées dans le commerce et dans les bureaux particuliers. Il n’y a que l’Etat qui leur accorde un traitement égal à celui des hommes, dans le même grade et pour la même qualité de travail. Quel que soit le travail qu’elle fournit, au
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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familie à entretenir pour chaque ouvrière. La situation este la même pour les femmes employées dans le commerce et dans les bureaux particuliers. Il n’y a que l’Etat qui leur accorde un traitement égal à celui des hommes, dans le même grade et pour la même qualité de travail. Quel que soit le travail qu’elle fournit, au ne réspect pas envers les femmes les engagement pris par les lois de protection du travail. Il y a des entreprises
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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par les lois de protection du travail. Il y a des entreprises, où les femmes travaillent la nuit, en dehors des heures prévues par les lois (fabriques de tissage), restaurants, bars, dépassent les horaires autorisés par le Ministère du Travail. Dans les bars et les confiseries, les femmes travaillent de 16 à 18 heures par jour, pour des salaires dérisoires; elles ne sont pas libres le Dimanche et les jours fériés. (Voir les rapports des inspecteurs du Travail pour la région
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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les confiseries, les femmes travaillent de 16 à 18 heures par jour, pour des salaires dérisoires; elles ne sont pas libres le Dimanche et les jours fériés. (Voir les rapports des inspecteurs du Travail pour la région Bucarest, Bulletin 1935). Dans les grandes entreprises, on leur accorde des congés d’accouchement. Quant aux petites entreprises, elles mettent tout simplement à la porte les femmes gravides, d’autres ouvrières sont engagées à leur place. Il y a peu d’établissements qui possèdent
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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qui possèdent une crèche, des garderies d’enfants, enfin toutes les institutions de well-fare prévues par les lois. Sous tous les rapports, le travail de la femme est exploité au bénéfice des patrons, qui ne permettent pas aux indiscrets de pénétrer dans leurs fabriques, pour constater quelles sont les véritables conditions de travail. La résponse de Mme Thibert Chère madame, J’ai reçu avec grand intérêt le mémoire que vous avez bien voulu m’adresser en réponse à ma demande d’informations
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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ces 130 unités représentent-elles le groupe tout entier ou tout au moins une fraction importante de ce groupe (par exemple s’il s’agit des membres d’un syndicat quel est le nombre total des membres du dit syndicat). En effet, dans ma demande d’information je m’étais permis déjà de poser une question relative à la proportion des salariées faisant l’objet d’un enquête sur l’ensamble du groupe par la pensée que les résultats d’une telle enquête
Din istoria feminismului românesc. Studiu și antologie de texte (1929-1948) by Ștefania Mihăilescu () [Corola-publishinghouse/Science/1936_a_3261]
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Feminist Perspectives on Latin American Agricultural Development, Westview Press, Boulder, pp. 1-7. Dembele, Demba Moussa, 1996, African External Debt, Structural Adjustment and Development, manuscris nepublicat, African Policy Forum, Washington, D.C. Dembele, Demba Moussa, 1999, „Plaidoyer pour les femmes Ouest Africaines dans la Convention de Lomé”, în Yassine Fall (ed.), Africa: Gender, Globalization and Resistance, Imprimerie St. Paul, Dakar, AAWORD, pp. 123-158. Demirovic, A., Pühl, K., 1997, „Identitätspolitik und die Transformation von Staatlichkeit: Geschlechterverhältnisse und Staat als komplexe materielle Relation”, editat de
Gen, globalizare şi democratizare by Rita Mae Kelly (ed.), Jane H. Bayes (ed.), Mary E. Hawkesworth (ed.), Brigitte Young (ed.) [Corola-publishinghouse/Science/1989_a_3314]
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unii) e În principiu refuzată, din simplul motiv că e o formă realtiv ușor imitabilă. De cele mai multe ori, adevărat obiect de cult - cravata și mănușile. Să ni-l imaginăm pe Balzac scriind cu aplicație De la cravatte considérée en elle-même et dans ses rapports avec la société et les individus sau pe Emile Marco de St. Hilaire redactând Încă la 1827 L’art de se mettre sa cravatte de toutes les manières connues et usitées, adevărată istorie a cravatei, Însoțită de 32
Dandysmul by Barbey d Aurevilly () [Corola-publishinghouse/Science/1926_a_3251]
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de față, Întrucât a influențat În mod direct concepția despre dandysm a lui Mateiu. După dicționarul „pozitivistului”, de care Baudelaire nu s-a sinchisit câtuși de puțin, deși era un mare „mâncător” de dicționare, dandy-ul este „un homme recherché dans sa toilette et exagérant jusqu’au ridicule” (cităm după Al. George). Chiar și o asemenea „definiție” foarte sumară poate fi, la nevoie, aplicată lui Aubrey de Vere, numai că ea nu epuizează personajul. Punctul cu adevărat vulnerabil al exegezei lui
Dandysmul by Barbey d Aurevilly () [Corola-publishinghouse/Science/1926_a_3251]
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a pronunției deosebită, falsând notele și apăsând exagerat pe unele silabe pentru a accentua versurile, cu o lejeritate de invidiat. Succesul celor câteva tentative pe care le pregătiseră fusese de-a dreptul uluitor, forțând chiar sala să se ridice la dans. Următoarea zi, tot la pian, mai puneau pe roate încă două piese, începând să facă repetiții și cu o orchestră improvizată peste noapte, cu instrumentiști găsiți de Fernic de prin maha- lalele orașului, care se mulțumeau cu puțin și erau
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]
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Nu era doar un simplu interpret, ca ceilalți, era un întreg spectacol, fiind întotdeauna spontan, știind când să înceapă, cu ce să înceapă și mai ales cum, amestecând o glumiță inteligentă între pauze, jucându-se cu audiența, invitând-o la dans sau la băutură, făcând oame- nii să se simtă timp de câteva ore fermecați de-a dreptul și rupți de cotidian. Întotdeauna venea cu ceva nou, uneori chiar lua chitara sau vioara și se acompania singur, recitând o poezie sau
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]
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străzile înguste și aglomerate ale Bucureștilor, unde larma, forfota și haosul vitezei dau un ritm aparte orașului care este pe cale să explodeze. Se simte în mirosul îmbietor al sutelor de cofetării și cafenele, de baruri noi, crâșme, restaurante, saloane de dans și grădini de vară care se des- chid unele după altele, umplând sălile, terasele, dar și tro- tuarele de petrecăreți care uită să mai plece acasă. Se simte în parfumurile scumpe care te amețesc, în moda proaspătă și colorată, mai
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]
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unde mai puteai lua ceva preparate reci, dacă n-apuca- seși să mănânci, dar cele mai importante erau băuturile scumpe, whisky-urile, coniacurile și cocteilurile în special, iar în pro- gram aveai, dacă nu o celebră orchestră care te invita la dans, alături de doamnele de companie care stăteau pe scaunele înalte de la bar, dansatori, comedianți, actori cu mici scenete, iluzioniști sau contorsioniști, care făceau spectacole nemaipo- menite. La Maxim debutau Stroe și Vasilache (Lache - Lache), ce aveau să facă istorie cu comedia
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]
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spectacole nemaipo- menite. La Maxim debutau Stroe și Vasilache (Lache - Lache), ce aveau să facă istorie cu comedia lor ; la Zig-Zag tocmai fusese invitată celebra Josephine Baker și tot orașul s-a înghesuit și a plătit regește să-i vadă dansurile nude. La Chat-Noir sau Dudzi-bar puteai găsi dame de consumație deosebite, cu care să îți petreci nopțile la un hotel din apropiere, și mai-mai să te îndrăgostești. La fel de vizitate erau și Nipon-Arizona, care avea și grădină de vară, Leșcenco, al
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]
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îți petreci nopțile la un hotel din apropiere, și mai-mai să te îndrăgostești. La fel de vizitate erau și Nipon-Arizona, care avea și grădină de vară, Leșcenco, al cărei celebru proprietar rus, cu același nume, te fermeca cu spiritul său vulcanic, cu dansul plin de viață și cu acor- deonul său, Colorado, pe Strada Bibliotecii, Atlantic, zis și barul artiștilor, fiind frecventat mai ales de scriitori, sau Fu- Chang, decorat în stil oriental, cu măsuțe și scaune joase, cu lămpi cu abajururi și
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]
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al lui Titi Botez“, a glumit despre amicul său. „N-au mai avut chef de nimic.“ Lăsa toate răutățile să treacă și mergea înainte. În fiecare seară o altă sală arhiplină de urale și aplauze, de bucurie și muzică, de dans și petrecere, atât de reușită, că închideau gura oricărui invidios. Și-apoi iar stătea ore întregi dimineața la birou sau în pat în camera de pe Cobălcescu, printre tone de foi și caiete cu cântece. Ore întregi, prin fum de țigară
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]
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îl urcaseră pe podium, ci mai ales capacitatea sa de a face în fiecare seară un spectacol de neuitat. Jocurile sale cu orchestra, glumele savuroase, mișcările teatrale potrivite, coborârea printre mese, în public, ridicând paharele de vin sau invitând la dans domnișoarele elegante, mereu aducând ceva nou și proaspăt în fiecare restaurant sau la fiecare petrecere privată, îl defineau pe Cristi și îl separau din ce în ce mai mult de celelalte nume cunoscute ale scenei bucureștene, care oricât talent vocal ar fi dobândit nu
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]
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acasă într-un raft special, alături de cele mai frumoase cântece internaționale din acea perioadă. Și pe ea, dar și pe minunata americancă negresă Josephine Baker, „first black superstar“, care era în plină glorie pe scenele din Paris și Berlin, cu dansul ei nebunesc Charleston, nud, le-a văzut Cristi în carne și oase. Tot atunci, la Teatrul ABC, a ascultat-o pe viu pe tânăra Édith Giovanna Gassion, cu numele de scenă Édith Piaf, care abia începuse să înregistreze primele discuri
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]
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localurile din București ar fi cunoscut mai mult muzica lăutărească sau cea populară. Era fascinant să- și vadă idolii, dar mai ales să ia parte la ceea ce era nou pe scena Parisului, să descopere ultimele influențe și transformări, mode și dansuri. Într-adevăr, călătoria sa avea să-i schimbe destinul, făcân- du-l să înțeleagă și să simtă genul pe care el îl aborda, exact așa cum era în propria lui matcă, original, natural, neadap- tat, nemodificat, necopiat, cum nu putea fi
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]
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Franței, ai Italiei, ba chiar și ai Germaniei. Tangoul e pe moarte, și oricât vă doare, vă înțelegem, trebuie să recunoașteți că jazzul este acum la modă. Melodiile vesele încântă lumea, pline de zâmbete și de ritm nebunesc, cu puțin dans pe scenă și o glumiță, asta se caută acum. — Dumneavoastră cu siguranță aveți o părere foarte greșită despre mine, deși colaborăm de atâția ani și, exceptând contractul pe care l-am mai avut cu Odeon, rupt de atâta vreme, știți
Zaraza by Andrei Ruse () [Corola-publishinghouse/Memoirs/864_a_1839]