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penche au-dessus du bord) (Pop-Curșeu, 2003 : 57) ; " Accoudé une fois encore,/du sol je me soulève à peine [...]. " (Un être se penche sur le bord) (Loubière, 2003 : 27). La traduction de ce culturème n'est pas absolument nécessaire dans ce contexte, parce que să présence n'éclaircirait en rien le message poétique. La décision de Paul Miclău et de Jean Poncet d'omettre l'expression " o șchioapa " est, en quelque sorte, justifiée. Veturia Drăgănescu-Vericeanu et Ștefana et Ioan Pop-Curșeu optent pour la
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arrivée, en fonction des paramètres stylistiques que nous avons évoqués ci-dessus. Au niveau macrocontexte typographique, nous avons observé en tânt que décisions traductives la suppression de graphèmes/vers et l'ajout de graphèmes/vers. Surtout la première décision est nuisible, parce qu'elle affecte la signifiance du texte, s'accompagnant parfois par des omissions sémantiques. Dans le cas de la traduction des éléments prosodiques, nous avons formulé en tânt que principe de traduction la constance des choix traductifs. Nous avons analysé chaque
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telle énigme qu'elle rendrait possible leș recours aux explications mythiques, comme celle du mythe biblique de Babel, qui a șes correspondants dans leș mythes analogues d'autres cultures. " Cependant, la malédiction de Babel peut être lue aussi comme " bénédiction ", parce qu'elle est renoncement à la langue unique et reconnaissance de l'Autre. V. également François Marty, La bénédiction de Babel, Beauchesne, Paris, 1990 et Paul Zumthor, Babel ou l'inachèvement, Seuil, Paris, 1997. Paul Zumthor fait l'éloge de
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îl est à remarquer que leș traductologues préfèrent se situer toujours par rapport à une autre discipline théorique. " 97 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 62 : La poétique du traduire n'est pas une science, d'abord parce qu'il y a l'imposture à parler ici de science. " C'est nous qui soulignons. 98 V. Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op. cît., p. 13 : " [...] le rapport entre la pratique
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2002, p. 10-14. 176 V. Christiane Nord, Translation aș a Purposeful Activity. Funcționalist Approaches explained, op. cît., p. 47 : " It is practical because it can be applied to any assignment occurring în professional translation practice. " (" [Cette approche] est très pratique, parce qu'elle peut être appliquée à toute situation que l'on retrouve dans la pratique professionnelle de la traduction ". Notre traduction.) 177 Hans Vermeer, A Skopos Theory of Translation, op. cît., p. 37. 178 V. Jean Greisch, " Herméneutique ", în Encyclopédie Universalis
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interprétative de la traduction. 188 V. Ioana Balacescu et Bernd Stefanik, " Défense et illustration de l'approche herméneutique en traduction ", în op. cît., p. 634 : " L'approche herméneutique en traduction n'a pas l'attention qu'elle mérite. D'une part, parce qu'elle est associée à l'exégèse parțiale des textes bibliques, telle qu'elle a été pratiquée dans la tradition ecclésiastique, et, d'autre part, parce que șes bases philosophiques quelque peu hermétiques lui ont valu une réputation de mysticisme
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herméneutique en traduction n'a pas l'attention qu'elle mérite. D'une part, parce qu'elle est associée à l'exégèse parțiale des textes bibliques, telle qu'elle a été pratiquée dans la tradition ecclésiastique, et, d'autre part, parce que șes bases philosophiques quelque peu hermétiques lui ont valu une réputation de mysticisme "pré-scientifique". " 189 V. Alexis Nouss, " Théorie de la traduction : de la linguistique à l'herméneutique ", op. cît.. 190 V. Jane Elisabeth Wilhelm, " Herméneutique et traduction : la question de
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le soutenaient Austin et Benveniste, mais aussi des textes entiers : leș œuvres littéraires. " C'est nous qui soulignons. À la différence des autres types de textes, l'œuvre littéraire incite le lecteur à produire et à participer à son intentionnalité, parce qu'elle " détient une composante d'indétermination [...], qui permet la participation du lecteur à la production de l'intention du texte ". V. Wolgang Iser, L'acte de lecture. Théorie de l'effet esthétique, traduit de l'allemand par Evelyne Sznycer
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Métaphore dangereuse și elle renvoie au signifiant sonore, juste și elle en appelle au signifié. La poésie est le chant du signifié. [...] Et c'est en ce sens que la poésie, par une même métaphore, peut être dite "lyrique". Non parce qu'elle exprime le "moi", mais parce qu'elle fait chanter le sens. [...] Comprendre un poème, c'est entrer en résonance avec lui. " C'est nous qui soulignons. 477 Idem, p. 159. C'est nous qui soulignons. Une distinction nette
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sonore, juste și elle en appelle au signifié. La poésie est le chant du signifié. [...] Et c'est en ce sens que la poésie, par une même métaphore, peut être dite "lyrique". Non parce qu'elle exprime le "moi", mais parce qu'elle fait chanter le sens. [...] Comprendre un poème, c'est entrer en résonance avec lui. " C'est nous qui soulignons. 477 Idem, p. 159. C'est nous qui soulignons. Une distinction nette entre leș textes techniques ou scientifiques et
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mai 2011, URL : http://alufc.univ-fcomte.fr/pdfs/913/pdf 14.pdf. 635 V. Teodoro Sáez Hermosilla, " Pour traduire la poésie : notes et notations ", în op. cît., p. 617 : On ne saurait dire en conséquence que la traduction poétique est impossible parce que le texte est irrépétable, sinon que ce texte est toujours susceptible d'une reprise par une quelconque volonté de réplique. Qui plus est, ce texte n'existera, si ce n'est comme matérialité faite des traits sur le papier
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Idem, p. X. 646 V. Aron Kibédi-Varga, Leș constantes du poème : analyse du langage poétique, op. cît., p. 44 : " Ce qui caractérise leș faits de versifications bruts, c'est à la fois leur force et leur insuffisance. Ils șont nécessaires parce qu'aucun poème ne saurait exister sans un certain nombre d'entre eux, mais ils șont insuffisants parce qu'à eux seuls, ils șont dépourvus de cette force de tension et de cohésion qui crée leș rapports, leș faits de
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44 : " Ce qui caractérise leș faits de versifications bruts, c'est à la fois leur force et leur insuffisance. Ils șont nécessaires parce qu'aucun poème ne saurait exister sans un certain nombre d'entre eux, mais ils șont insuffisants parce qu'à eux seuls, ils șont dépourvus de cette force de tension et de cohésion qui crée leș rapports, leș faits de poétique. On pourrait même soutenir que, paradoxalement, plus leș faits de versifications șont nécessaires, plus ils șont insuffisants
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no. 6, 2004, p. 55, consulté le 2 avril 2011, URL: http://revue.etudes-episteme.org/IMG/pdf/ee 6 art degott.pdf. C'est nous qui soulignons. 652 V. l'exemple de la traduction d'un poème chinois, qualifiée comme impossible par Edmond Cary, parce qu'un țel poème comprend, à part le texte apparent et la forme visuelle, des formes sonores et des sens cachés superposés. Dans ce cas, " l'équivalence FORME-FORME ne peut [...] être obtenue que par une transposition judicieuse qui tienne pleinement
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est nous qui soulignons. 778 Nous développons le sujet dans le sous-chapitre 4, qui présente la pensée philosophique de Blaga. 779 Nous considérons que la présence du vers libre constitue un atout pour la traduction et la diffusion des œuvres, parce que le traducteur se concentre plutôt sur le signifié poétique et ne sent plus la contrainte de la forme, qu'il éprouve dans le cas des poésies à rime, mètre et mesure fixes. Son effort est donc orienté vers la complexité
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écrivain roumain qui ait atteint le niveau supérieur dans deux domaines de la culture : poésie et philosophie. [...] Ces régions de son œuvre communiquent, bien sûr, entre elles, du point de vue de leur substance et même du point de vue stylistique, parce qu'elles ont une souche ou une veine commune. Cela n'affecte pourtant pas leur autonomie, de façon que des formules comme "le poète-philosophe" ou "le philosophe-poète" ne fassent que porter atteinte à l'interprétation correcte de l'œuvre du
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metaforei și sensul culturii), op. cît. V. également Jean Poncet, " Une parole de silence pour dire leș signes de l'indicible ", în La poétique du signe chez Lucian Blaga et dans la poésie française, op. cît., p. 54 : " C'est parce que, ressemble-t-il, le Grand Anonyme veut maintenir l'homme dans un état de créativité permanente, qu'il lui accorde la perspective de la possibilité de dépasser l'immédiat par șes élaborations stylistiques. Mais îl faut noter que leș mêmes cadres stylistiques
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ale lui Faust au eșuat, printre altele, și fiindcă traducătorii au încercat să ocolească neologismul, introducând un grâi semănătorist în tălmăcirea unei opere de înaltă, supremă intelectualitate. " (" Leș tentatives antérieures de traduction de Faust ont échoué, parmi d'autres raisons, parce que leș traducteurs ont essayé d'éviter le néologisme, en introduisant un langage populaire dans la traduction d'une œuvre d'un haut, suprême niveau intellectuel. " Notre traduction.) 1003 V. Idem, p. 118 : Întrebuințarea neologismului în poezie deschide totuși o
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îl simțim în aceste tălmăciri prea mult pe Blaga și prea puțin pe autorul textului tradus. " (p. 73) " [...] tălmăcirea lui Hölderlin în grâi românesc are implicit sunet blagian. " (p. 199) (" En général, Blaga ne peut pas être un grand traducteur, parce qu'il est un trop grand poète. Partout dans șes traductions en roumain l'empreinte de șa personnalité est sillonnée profondément. [...] En tout cas, nous sentons dans ces traductions le style de Blaga et dans une moindre mesure l'auteur
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dit Cioran, "s'érigeant en principe autonome, devient destin. C'est alors que le Verbe, tânt dans leș spéculations philosophiques que dans leș productions littéraires, dévoile să vigueur et son néant. " On s'est arrêté sur ces considérations de Cioran parce que, mieux que cela, on ne pourrait point cerner la fugue de la pensée et de la création littéraire de Blaga. Une fugue vers la richesse "cosmologique" de la diversité. " V. George Astalos, " Lucian Blaga ou l'empreinte matricielle ", în Jean Poncet (dir.
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Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 143 : " Emitem ipoteza că funcția să este în primul rând decorativă, legată de semntimentul spațiului ondulat. Nous émettons l'hypothèse que să fonction est, dans un premier temps, purement décorative, parce qu'elle est liée au sentiment de l'espace ondulatoire. " Notre traduction.) 1396 V. Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 143 : " Richard Dehmel [...], în notele de regie la dramă să Der Mitmensch (1895) subliniază diferența între
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Texte source : " Întrebător fratele mă privește,/mirata mă-ntâmpină sora [...] ". V. Lucian Blaga, Fiu al faptei nu sunt, în Opera poetica, op. cît., p. 126. À notre sens, calquer leș adjectifs " întrebător " et " mirata " en français est un choix inadéquat parce qu'on " sent " le roumain dans la traduction. À titre de comparaison, nous proposons la traduction de Philippe Loubière : " L'œil interrogateur, le frère me regarde,/La sœur m'accueille avec surprise [...] ". V. Lucian Blaga, Fiu al faptei nu sunt
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umblam,/drumurile, ce rămân în noi,/ne duc și ele, fără număr, undeva./ Cuvintele, pe care nu le rostim,/cuvintele, ce rămân în noi,/descoperă și ele, fără de margini, făptura. " La traduction littérale est la plus appropriée dans cette situation, parce qu'elle préserve leș vers en miroir, cette particularité stylistique de Blaga : " Leș chemins que nous n'empruntons pas,/leș chemins qui demeurent en nous,/eux aussi, innombrables, nous mènent quelque part./ Leș paroles que nous ne prononçons pas,/leș
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qui șont à traduire, lorsqu'on leș juge pertinentes, et non leș formes. V. aussi Henry Schogt, Claude Tatilon, " Georges Mounin : la traduction sans fard ", în La linguistique, 29-2, 1993, p. 77 : " En traduction, lorsqu'une structure s'avère pertinente, parce qu'elle assume une certaine fonction tenue pour importante, cette structure est à "traduire" impérativement : non pas pour să forme, mais pour să fonction ! Îl faut alors recréer cette fonction à l'aide des moyens formels spécifiques à la langue
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să am până la un punct legătură cu expresioniștii. " (" [...] îl est vrai que d'aucuns m'on accusé qu'on sent l'influence allemande dans Leș poèmes de la lumière, surtout l'influence d'Arno Holz. Și je rappelle cela, c'est parce que je ne vois qu'une ressemblance d'ordre schématique, plutôt typographique. En effet, je n'ai éprouvé aucune admiration pour ce poète. Îl représente l'impressionnisme allemand, tandis que je pourrais avoir, jusqu'à un certain moment, une liaison
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