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of Cuneiform Studies, New Haven. KBo Keilschrifttexte aus Boghazköi, Leipzig-Berlin. KUB Keilschrifturkunden aus Boghazköi, Berlin. MIO Mitteilungen des Instituts für Orientforschung, Berlin. Numen Numen. International Review for the History of Religions, Leiden. OLZ Orientalistische Literaturzeitung, Berlin. Or Orientalia, Roma. PdP Parola del Passato, Napoli. RHA Revue Hittite et Asianique, Paris. RIA Reallexikon der Assyriologie, Berlin. RSO Rivista degli Studi Orientali, Roma. SCO Studi Classici e Orientali, Pisa. SMEA Studi Micenei ed Egeo-Anatolici, Roma. StBoT Studien zu den Boðazköy-Texten, Wiesbaden. TdH Texte
[Corola-publishinghouse/Science/2005_a_3330]
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[Corola-publishinghouse/Science/2005_a_3330]
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[Corola-publishinghouse/Science/2005_a_3330]
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[Corola-publishinghouse/Science/2005_a_3330]
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ci datorită acestora. După cum observa un comentator italian al ascensiunii lui Havel pe scena social-politică cehoslovacă, vocea sa distinctivă l-a ajutat să dea grai sentimentelor unei națiuni reduse la tăcere: Se un popolo non ha mai parlato, la prima parola che dice è poesia 27. Tocmai din aceste motive a fost Havel - care, de altfel, se remarca prin scepticismul său față de tentațiile capitalismului (spre deosebire de ministrul său de Finanțe, Václav Klaus) - singurul care putea Întinde o punte Între egalitarismul mincinos, dar
[Corola-publishinghouse/Science/1961_a_3286]
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au signifiant (voire à la " signifiance ") de la langue, en se focalisant sur la langue-source du texte original ; alors que leș " ciblistes " privilégient non pas le signifiant, ni même le signifié, mais le sens ou plutôt l'" effet " que produit la parole (au sens saussurien du terme), c'est-à-dire le discours, le texte, et même l'œuvre, qu'il conviendra de traduire en mobilisant leș ressources spécifiques de la langue-cible.122 Selon Ladmiral, leș sourciers șont préoccupés par le signifiant de la langue, tandis
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șont préoccupés par le signifiant de la langue, tandis que leș ciblistes privilégient le sens. Pourtant, l'analyse que nous avons menée au début de cette section a montré que, à part leș questions d'ordre linguistique (signifiant, signifiance, sens, langue, parole), évoquées ci-dessous par Ladmiral, îl y a aussi des questions de nature culturelle, pas du tout négligeables (comme la difficulté de traduction créée par le " trou normand ").123 On peut remarquer donc que, entre autres, le discours sur cette " dichotomie
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découvrir au lecteur occidental le rythme de la langue source (donc ce que l'on pourrait appeler une traduction " sourcière "), la deuxième est parfaitement accessible au public cible, ayant la mission d'" évangeliser leș francophones ou de leș convaincre de la bonne parole "159. La conclusion de Jean Peeters est que la traduction n'est jamais un processus objectif, parce que " traduire comme un poète, ce n'est pas traduire comme un évangélisateur "160. Cette perspective sociologique sur la traduction mène également à
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contradictoires sur să structure et son fonctionnement et a été proclamé souvent comme ayant une place à part par rapport aux autres discours littéraires. Dans să Phénoménologie de la perception, Maurice Merleau-Ponty le voit comme " dépôt et sédimentation des actes de parole dans lesquels le sens informulé non seulement trouve le moyen de se traduire au-dehors, mais encore acquiert l'existence par soi-même, et est véritablement créé comme sens "326. Ce șont surtout leș écrivains qui considèrent que le discours poétique est
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avec Jakobson. La thèse fondamentale de celui-ci vise le discours poétique conçu comme une organisation rigoureuse du matériel verbal et non comme un enchaînement dépourvu de logique. Jakobson met l'accent sur la différence entre le langage prosaïque et la parole poétique, due à la dualité du signe poétique. Ainsi, îl montre que chaque moț du langage poétique est " déformé " par rapport au langage quotidien aussi bien phonétiquement que sémantiquement 348 et met l'accent sur l'importance de la phonologie, c
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courante. Greimas le dit d'ailleurs : " le vrai problème du style est d'ordre qualitatif, et non quantitatif "435. Îl semble donc que la prétendue " négativité " est, en réalité, le trăit spécifique de la poésie qui constitue son originalité. Comme la parole poétique est considérée le niveau supérieur du langage courant, toute comparaison entre la poésie et la prose est, pour Jean Cohen, dépourvue de sens : La poésie n'est pas pour nous de la prose plus quelque chose. Elle est de l
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d'une brève réflexion sur le concept d'écriture poétique. Comme nous l'avons déjà remarqué, leș poètes ont été leș premiers à observer que le langage poétique ne parle que de soi-même ou, en d'autres mots, que la parole poétique est autotélique, dans la terminologie de Jakobson. Nous accordons une attention particulière au discours critique de Stéphane Mallarmé et de Paul Valéry. Le concept d'écriture se trouve au cœur de la théorie de Meschonnic, qui la considère comme " activité
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puisse évoquer un état d'âme.457 Mais peut-être să contribution la plus importante est la distinction qu'il a opérée entre le langage prosaïque et le langage de la poésie, qui anticipe leș théories modernes sur le double état de la parole : La spéculation linguistique de Mallarmé aboutit [...] à une véritable scission du langage en ce qu'il appelle " le double état de la parole, brut ou immédiat ici (c'est le langage courant), là essentiel " : c'est le langage poétique. Le premier
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le langage prosaïque et le langage de la poésie, qui anticipe leș théories modernes sur le double état de la parole : La spéculation linguistique de Mallarmé aboutit [...] à une véritable scission du langage en ce qu'il appelle " le double état de la parole, brut ou immédiat ici (c'est le langage courant), là essentiel " : c'est le langage poétique. Le premier, qui ne sert qu'à " narrer, enseigner, même décrire ", bref à l'" universel reportage ", ne remplit qu'une " fonction de numéraire facile
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à un véritable système de genres que conduit le refus du récit en poésie.481 Leș incessantes questions sur la différence entre poésie et prose (ou " récit ", comme l'appelle Combe) șont radicalement abolies par Jean Cohen, pour qui la parole poétique est la forme la plus avancée de l'expression humaine : " La poésie n'est pas autre chose que la prose, elle est plus. [...] La poésie reste plus, et non pas autre. [...] La poésie n'est pas autre chose que
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elle est plus. [...] La poésie reste plus, et non pas autre. [...] La poésie n'est pas autre chose que la prose [...], elle est l'antiprose. La métaphore n'est pas simplement changement de sens, elle en est la métamorphose. La parole poétique est tout à la fois mort et résurrection du langage. "482 Comme nous l'avons observé, le discours de la poésie, proclamé comme plus subtile que celui de la prose, exige de la part du lecteur et, implicitement, du traducteur, une compétence
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avoir l'intuition de l'autotélisme du message poétique : Le vrai secret de la langue, que tous ignorent, est qu'elle se parle d'elle même ", affirmait-il.485 À partir d'un certain moment de l'histoire littéraire, l'objet de la parole poétique est devenu, inévitablement, să propre structure et fonctionnement car, " en réalité, la poésie ne parle que d'elle-même "486. Leș poètes ont commencé donc à parler du langage dans leurs propres œuvres, émerveillés par son fonctionnement. Un exemple éloquent
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En effet, le concept de " poésie ", qui désigne, par définition, un discours de type affectif/pathétique, " la forme suprême du langage émotionnel "500, semble s'être imposé à l'époque romantique, avec leș témoignages des poètes sur la valeur de la parole poétique.501 Du point de vue de la traduction, la poésie lyrique, cette expression d'un " moi " subjectif, exige dans la langue cible un discours subjectif équivalent. 1. 3. 4. Le concept de poéticité. Essai de définition de la poésie L'analyse
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de l'hospitalité langagière à travers l'ouverture à l'Autre : " Hospitalité langagière donc, ou le plaisir d'habiter la langue de l'autre est compensé par le plaisir de recevoir chez soi, dans să propre demeure d'accueil, la parole de l'étranger. "633 Le texte poétique, se situant à la limite du traduisible, semble être la preuve même que la traduction est possible : " La reconnaissance du paradoxe du tracé des frontières nous permet de considérer le procédé de traduction
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écrite en alexandrins ou le sonnet), pose problème en traduction, surtout à căușe de șa rigidité formelle. La rime est la marque par excellence de l'oralité, parce que la poésie semble plus liée à la musique qu'à la parole écrite : " La poésie rimée [...] est encore fortement ancrée dans une culture orale. La structure de la strophe est immédiatement perçue par l'archilecteur. "647 Dans un deuxième temps, la poésie à forme fixe est fortement marquée par l'époque où elle
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dépasse le problème forme-contenu et on fait ressortir la voix du texte poétique, son intonation et șes interlocuteurs : L'analyse dialogique part du principe que tout texte est une entité hétérogène dépassant la distinction structuraliste entre la langue et la parole, entre la forme et le contenu. Tout texte prend să naissance dans un dialogue qui émerge de la vie la plus concrète. [...] L'écriture est, à son origine, un dialogue réel, dialogue simultané de l'auteur avec lui-même et avec leș
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est le rythme. Pas le rythme au sens traditionnel, d'alternance formelle du même et du différent, ordonnance, mesure, proportion. Mais le rythme țel que la poétique l'a transformé organisation d'un discours par un sujet, et mouvement de la parole dans l'écriture, prosodie personnelle, sémantique du conținu.684 Îl y a donc une différence entre la " conception numériste " du rythme et la " conception énonciative ".685 Le rythme, ce " mouvement de la parole dans l'écriture ", țel que l'a défini
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un discours par un sujet, et mouvement de la parole dans l'écriture, prosodie personnelle, sémantique du conținu.684 Îl y a donc une différence entre la " conception numériste " du rythme et la " conception énonciative ".685 Le rythme, ce " mouvement de la parole dans l'écriture ", țel que l'a défini Meschonnic, est " ce qui pimente le texte, qui lui donne la saveur "686 et qui, en même temps, contribue à construire la discursivité des œuvres. Une traduction qui respecte le rythme du
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