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à la relation entre la traduction de la littérature en général et la traduction du discours poétique. " Notre traduction. 528 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 84 : " Le paradoxe de la traduction littéraire est de viser le signe linguistique seul, et rien qu'une pârtie du signe, là où la traduction technique-scientifique en est confrontée au référent. " C'est nous qui soulignons. 529 Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 52. 530 Françoise Morcillo
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le vocabulaire au niveau actuel de l'évolution de la langue, pour que le texte soit compréhensible. 552 V. Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 12 : " Aucun poème n'est susceptible d'une seule lecture ni d'une traduction définitive, et îl faut se garder de l'anesthésier dans un réseau de significations locales ou prétendument déterminantes. " 553 Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 89. C'est nous qui soulignons. 554 V.
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qui ont réfléchi à la question. " La même idée est exprimée par Raoul Parme : " la traduction de l'œuvre d'un grand Poète ne saurait aspirer à quelque survie, qu'elle n'atteigne la "hauteur" de l'original. Ce que seul le recours au génie d'un autre grand Poète peut lui assurer. [...] seul un grand Poète peut prétendre traduire comme îl convient un autre grand Poète. " V. Raoul Parme, Poésie et traduction, Milan, 1984, Archives de la Bibliothèque Naționale de France
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Parme : " la traduction de l'œuvre d'un grand Poète ne saurait aspirer à quelque survie, qu'elle n'atteigne la "hauteur" de l'original. Ce que seul le recours au génie d'un autre grand Poète peut lui assurer. [...] seul un grand Poète peut prétendre traduire comme îl convient un autre grand Poète. " V. Raoul Parme, Poésie et traduction, Milan, 1984, Archives de la Bibliothèque Naționale de France, p. 4 et 32. 568 V. Alexis Nouss, " Dans la ruine de Babel
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générale, op. cît., p. 86 : " En poésie, leș équations verbales șont promues au rang de principe constructif d'un texte. [...] la paronomase règne sur l'art poétique ; que cette domination soit absolue ou limitée, la poésie, par définition, est intraduisible. Seule est possible la transposition créatrice. " C'est nous qui soulignons. 605 V. Philippe Lacoue-Labarthe, La poésie comme expérience, Christian Bourgois, Paris, 1986, p. 26-27. 606 Henri Meschonnic, Pour la poétique V : Poésie sans réponse, op. cît., p. 73. V. aussi
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plus triste, op. cît., p. 14 : " Lucian Blaga a construit avec une énergie positive une œuvre à deux volets complémentaires, un système métaphysique original, encore méconnu car à contre-courant de l'époque, et la poésie blagienne, qui témoigne à elle seule de la capacité créatrice du poète. " C'est nous qui soulignons. 822 À l'exception des titres des recueils de poésies, où nous citons la variante donnée par Paul Miclău (Lucian Blaga, Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, traduction de Paul
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par cette aspiration à la compensation. Leș poèmes qui ont une certaine ampleur offrent au traducteur beaucoup d'occasions de venger șes défaites. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 1031 Ibid : " Et, pour sauver une poésie en traduction, une seule victoire du traducteur sur l'auteur est, pour la plupart du temps, suffisante. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. Dans la vision de Sean Cotter, Blaga ferait allusion ici à la victoire de la traduction ethnocentrique, qui pouvait sauver la
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jusqu'à l'éclatement même de la langue. [...] Cette nouvelle occupation de l'espace poétique donne aussi une nouvelle dimension au temps, puisque le poème sur la page forme avec elle un objet total, à saisir d'emblée et d'un seul coup d'œil ; équilibre de blanc et de texte, îl offre une perspective de signes, de mots, de phrases à parcourir ensuite de manière non cursive. La mise en évidence de l'espace poétique comme signifiant coïncide avec le moment
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rayures de pluie. " 1343 V. Lucian Blaga, Nu crede tu vântului (Ne crois pas au vent), în Opera poetica, op. cît., p. 372. 1344 Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 151. " Leș vers constitués par un seul moț, assez fréquents chez Blaga, attirent l'attention du lecteur grace à leur isolement par un espace blanc abondant, qui contraste avec l'espace noir des vers plus longs. " Notre traduction. 1345 V. Lucian Blaga, La mănăstire (Au monastère), în
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propoziții, între care linia instituie o despicătura care este, în termeni blagieni, locul misterului, al minus-cunoașterii, semnul de pauză fiind de altfel unul și același cu semnul minus din matematică. Par conséquent, le vers n'est pas formé par une seule proposition, partagée en deux par le tiret, mais par deux propositions, entre lesquelles le tiret institue un espace blanc qui est, dans la terminologie de Blaga, le lieu du mystère, de la minus-connaissance, puisque le tiret est identique au signe minus
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que donne la traductrice aux vers de Blaga : le moi lyrique demande, dans le texte-traduction, un corps aux montagnes et un autre aux mers. Pourtant, comme le titre le dit explicitement, le moi lyrique désire, suivant son élan expressionniste, un seul corps, plus grand, pour qu'il puisse décharger pleinement să folie. 1445 V. Lucian Blaga, Dar munții unde-s? (Et leș montagnes où sont-elles?), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 9-10. 1446 V. Lucian Blaga, Nu
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qui soulignons. 1508 La rime pauvre ne comporte qu'une homophonie (la dernière voyelle accentuée en syllabe ouverte). V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 240. 1509 V. Idem, p. 183 : " On qualifie de monorimes (du grec "monos", "seul", et "rime") des groupements de vers, strophiques ou non, liés par une rime unique [...]. " 1510 V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 243 : leș rimes embrassées șont celles qui " sur le même couple de base ab réalisent un
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p. 84. C'est nous qui soulignons. 1627 V. Idem, p. 47 : " Deux types de traces ont été définis : leș traces qui révèlent qu'il y a eu traduction, que ce soit par leș tournures perceptibles à la lecture du seul texte-traduction ou lors d'une lecture contrastive, et celles qui témoignent de la présence du traducteur dans le texte, par des traits stylistiques propres. " 1628 Ibid. C'est nous qui soulignons. 1629 Inês Oseki-Dépré, Théories et pratiques de la traduction littéraire, op.
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trecutului și lacunele francezei noastre, și-au regăsit claritatea. Febril, le captam ecoul: Très illustre Empereur, fils d’Alexandre Trois! La France, pour fêter ta grande bienvenue, Dans la langue des Dieux par ma voix te salue, Car le poète seul peut tutoyer les rois. Am scos un oftat de ușurare. Fanfaronul insolent nu era altul decât poetul al cărui nume ni-l dezvăluia Charlotte: José Maria de Heredia! Et Vous, qui près de lui, Madame, à cette fête Pouviez seule
[Corola-publishinghouse/Science/2364_a_3689]
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seul peut tutoyer les rois. Am scos un oftat de ușurare. Fanfaronul insolent nu era altul decât poetul al cărui nume ni-l dezvăluia Charlotte: José Maria de Heredia! Et Vous, qui près de lui, Madame, à cette fête Pouviez seule donner la suprême beauté, Souffrez que je salue en Votre Majesté La divine douceur dont votre grâce est faite! Cadența strofelor ne-a amețit. Rezonanța rimelor celebra în urechile noastre extraordinare îmbinări de cuvinte îndepărtate: fleuve - neuve, or - encor... Simțeam
[Corola-publishinghouse/Science/2364_a_3689]
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pierdută în ceața caldă a stepei. Vocea Charlottei era cântată, așa cum o cereau versurile acelea: Il est un air pour qui je donnerais Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber Un air très vieux, languissant et funèbre Qui pour moi seul a des charmes secrets...1 Vraja poemului lui Nerval a făcut să se ivească din negura serii un castel de pe vremea lui Ludovic al XIII-lea și castelana „blondă cu ochi negri, în veșmintele ei străvechi”... În clipa aceea, vocea
[Corola-publishinghouse/Science/2364_a_3689]
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Hrana consumată este transformată cel mai economic în lapte, astfel la același consum de hrană, vacile de lapte dau o producție echivalentă din punct de vedere energetic cu 1000 Kcal, pe când animalele supuse îngășării produc, prin depunerile de carne și seu, cca. 840 Kcal. Din producția totală de lapte produsă pe glob, mai mult de 90% este dată de vaci. Carnea. Deși producția de carne furnizată de bovine reprezintă cca. 3540% din producția mondială de carne, se estimează o creștere a
Tehnologii de agricultură organică by Gerard Jităreanu, Costel Samuil () [Corola-publishinghouse/Science/1276_a_1895]
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perioadă de 10 20 zile este de pregătire și acomodare, în care animalele se obișnuiesc cu rația, aceasta fiind formată din 10-20% fibroase, 60-70% suculente și 20 30% concentrate. Perioada a 2-a, de finisare, durează 20-35 zile, animalele depun seu pe carcasă și în interiorul acesteia. Rația va fi formată din 10 20% fibroase, 50-60% suculente și 30-40% concentrate. 7.4.3.Creșterea suinelor în fermele organice îngrășarea suinelor pentru carne. La îngrășarea pentru carne este utilizat tineretul suin de la greutatea
Tehnologii de agricultură organică by Gerard Jităreanu, Costel Samuil () [Corola-publishinghouse/Science/1276_a_1895]
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a cuvântului arab œamad ce înglobează mai multe sensuri, din care reiese ideea de superioritate absolută”); GG „Absolutul” (cu notă: „atribut al lui Dumnezeu interpretat în mai multe moduri: Absolutul, Impenetrabilul, Insondabilul, Eternul, Totul, Infinitul etc.”); Marr „Sempiternus”; RB „le Seul”; DM „l’Impénétrable”; YA „the Eternal, Absolute”; Arb „the Everlasting Refuge”. Apare o singură dată, la v. 112, 2. Sensul lui nu a putut fi stabilit cu certitudine, după cum se poate constata și din varietatea echivalentelor propuse de traducători. Comentatorii
[Corola-publishinghouse/Science/2091_a_3416]
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pornesc de la etimologie, si anume de la verbul œamada, „a se îndrepta spre”, interpretează termenul că „Cel spre care ne îndreptăm, la care recurgem în primejdii”112. Acest sens este cel ales de Arberry. R. Blachère îți justifica opțiunea pentru „le Seul” prin faptul că concorda cu textul unei inscripții grecești de la Palmyra, în care un zeu cosmic și suprem este calificat drept „unic, singur, milostiv”. De altfel, contextul acestei sure de patru versete scurte, în care apare, afirmă unicitatea lui Dumnezeu
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All"m al-ghuyób (5, 109/108.116; 9, 78/79; 34, 48/47): SOI „Tu știi cele ascunse”; ASM „Marele Știutor al celor ascunse”; GG „Cunoscător al Tainelor”; Marr „Cognitor arcanorum”; RB „Tu aș toute connaissance des Inconnaissables”; DM „Țoi seul connais parfaitement leș mysteres incommunicables”; Arb „the Knower of the things unseen”. Semnificație de bază: cunoscător al tainelor. 2.1.8.3. (al-)‘Alm: SOI „știutor”, ASM „Cel Atoateștiutor”; GG „Știutorul”; Marr „Sciens”, „cognitor” (2, 127/128.158/160
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a fi zidit pământul și lumea, din veac și până-n veac ești Dumnezeu” (t.n.). Semnificații de bază: divinitate preexistenta în mod absolut și fără sfârșit. 3.1.4.2. Ri’šÄn wa ’AharÄn: „cel dintâiu și la ceale viitoare sEu suntț” (SC); „sEu suntț întâiul și șEuț după aceastea” (Blaj); „sEu suntț Cel-Dintâi și sEu suntț de azi înainte” (Is 44,6) „sEu suntț Cel-Dintâi și sEu suntț în veci” (Is 48,12) (BVA); „cel dintâi și cel de pe urma” (G-R
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pământul și lumea, din veac și până-n veac ești Dumnezeu” (t.n.). Semnificații de bază: divinitate preexistenta în mod absolut și fără sfârșit. 3.1.4.2. Ri’šÄn wa ’AharÄn: „cel dintâiu și la ceale viitoare sEu suntț” (SC); „sEu suntț întâiul și șEuț după aceastea” (Blaj); „sEu suntț Cel-Dintâi și sEu suntț de azi înainte” (Is 44,6) „sEu suntț Cel-Dintâi și sEu suntț în veci” (Is 48,12) (BVA); „cel dintâi și cel de pe urma” (G-R, BS, C); șegÄîț
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ești Dumnezeu” (t.n.). Semnificații de bază: divinitate preexistenta în mod absolut și fără sfârșit. 3.1.4.2. Ri’šÄn wa ’AharÄn: „cel dintâiu și la ceale viitoare sEu suntț” (SC); „sEu suntț întâiul și șEuț după aceastea” (Blaj); „sEu suntț Cel-Dintâi și sEu suntț de azi înainte” (Is 44,6) „sEu suntț Cel-Dintâi și sEu suntț în veci” (Is 48,12) (BVA); „cel dintâi și cel de pe urma” (G-R, BS, C); șegÄîț prÄÎtos kaì șegÄîț metà ta¤ta (Is 44
[Corola-publishinghouse/Science/2091_a_3416]
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Semnificații de bază: divinitate preexistenta în mod absolut și fără sfârșit. 3.1.4.2. Ri’šÄn wa ’AharÄn: „cel dintâiu și la ceale viitoare sEu suntț” (SC); „sEu suntț întâiul și șEuț după aceastea” (Blaj); „sEu suntț Cel-Dintâi și sEu suntț de azi înainte” (Is 44,6) „sEu suntț Cel-Dintâi și sEu suntț în veci” (Is 48,12) (BVA); „cel dintâi și cel de pe urma” (G-R, BS, C); șegÄîț prÄÎtos kaì șegÄîț metà ta¤ta (Is 44,6), prÄÎtos kaì s
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