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s'appuie sur un mapping, qui est un processus de l'établissement des correspondances entre un domaine-source (concepts familiers) et un domaine-cible (concepts inconnus). "1582 La métaphore pourrait être considérée, par conséquent, comme une représentation seconde du monde, que ce soit dans le registre littéraire ou scientifique : [...] leș concepts métaphoriques qui structurent notre expérience șont compatibles chacun avec un éventail d'expressions différentes qui leș modulent indéfiniment sans en bouleverser la structure de fond. Și nous sommes prêts à accepter comme
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par Maryvonne Boisseau, qui propose une autre terminologie : pour elle, le " silence métaphorique " passe par la " neutralité " et l'" arasement ", pour arriver à l'" excès " ou même au " bruit métaphorique ".1596 Ce type de choix traductifs, dont le résultat est soit une dilution de la métaphore/dépoétisation, soit une surpoétisation du texte cible, ne font qu'affecter le " régime figural "1597 du poème source et en altérer la textualité. De telles infidélités de traduction ont comme origine une conception inadéquate ou trompeuse
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écart sémantique entre leș deux versions est évident. L'analyse ci-dessus nous révèle le fait que leș versions de Paul Miclău, Veturia Drăgănescu-Vericeanu et Paul Villard contiennent parfois des écarts sémantiques, dont quelques-uns assez graves. Ces changements peuvent être expliqués soit par une faute d'inattention de la part des traducteurs, soit par une mauvaise maîtrise de la langue d'arrivée. 5. 2. 3. Changements de la voix du texte Leș versions de notre corpus contiennent parfois des interventions dans l'original qui mènent
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ci-dessus nous révèle le fait que leș versions de Paul Miclău, Veturia Drăgănescu-Vericeanu et Paul Villard contiennent parfois des écarts sémantiques, dont quelques-uns assez graves. Ces changements peuvent être expliqués soit par une faute d'inattention de la part des traducteurs, soit par une mauvaise maîtrise de la langue d'arrivée. 5. 2. 3. Changements de la voix du texte Leș versions de notre corpus contiennent parfois des interventions dans l'original qui mènent à des changements de la voix du texte, c'est-à-dire à
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texte de départ. Leș deux " péchés " du traducteur qui a affaire à des tropes șont, d'un côté, la démétaphorisation et, de l'autre côté, l'excroissance figurale. Nous avons observé que leș métaphores des poèmes de Blaga șont traduites soit par la méthode littérale, soit à l'aide du travail interprétatif qui mène à la recréation de la figure. Un choix traductif nuisible est la démétaphorisation, c'est-à-dire l'amputation du relief figural du texte. Leș décisions traductives par lesquelles on
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péchés " du traducteur qui a affaire à des tropes șont, d'un côté, la démétaphorisation et, de l'autre côté, l'excroissance figurale. Nous avons observé que leș métaphores des poèmes de Blaga șont traduites soit par la méthode littérale, soit à l'aide du travail interprétatif qui mène à la recréation de la figure. Un choix traductif nuisible est la démétaphorisation, c'est-à-dire l'amputation du relief figural du texte. Leș décisions traductives par lesquelles on valorise la poéticité du texte
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New York reposent en pârtie sur elle. [...] Quiconque lit Jérôme lui-même voit aussitôt qu'il s'agit, dans le cas de la Vulgate, d'un grand livre, ou plutôt d'une grande littérature, traduite par un grand écrivain. Et que la Vulgate soit vraiment une œuvre de génie, c'est ce qui ressort des qualités mêmes que nous lui voyons : cette fermeté, cette grandeur, cette simplicité majestueuse du style et de l'expression. Et leș miettes de ce banquet dans lequel l'Orient a
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traduction professionnelle : " L'écart entre la traduction pédagogique et la traduction professionnelle est indéniable. Și la première est une stratégie d'apprentissage d'une langue étrangère, la seconde exige de la part du traducteur un niveau linguistique élevé, afin qu'il soit en état d'acquérir une méthode de travail avec cette langue étrangère ". V. Georgiana Lungu-Badea, " Le contenu extralinguistique, un handicap à la traduction ? ", în Études de traductologie, Universitatea de Vest din Timișoara, Facultatea de Litere, Filosofie și Istorie, Catedră de
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Nida, La traduction : théorie et méthode, Alliance biblique universelle, Londres, 1971. 66 V. Jacques Derrida, Qu'est-ce qu'une traduction " relevante " ?, L'Herne, Paris, 2005, p. 22 : Îl faut que, hors de toute paraphrase, explication, explicitation, analyse, etc., la traduction soit quantitativement équivalente à l'original. " C'est nous qui soulignons. 67 Umberto Eco, Dire presque la même chose. Expériences de traduction, traduit par Myriem Bouzaher, Grasset, Paris, 2006, p. 68. 68 V. Hubert Nyssen, " La traduction et leș traducteurs. Le
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le traducteur modifie peu ou prou certes, et souvent à son insu, mais qu'il ne crée pas. " C'est nous qui soulignons. 73 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 28 : " Revaloriser la traduction implique qu'elle soit une écriture. Sans quoi, c'est une imposture. " 74 Henri Meschonnic, Pour la poétique V: Poésie sans réponse, Gallimard, Paris, 1978, p. 415. V. également Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît. : la traduction est définie comme un " mode de
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p. 417-418 : " la traduction, cette activité și répandue que nous avons tous pratiquée, ne fût-ce qu'au collège, et qui ne nous faisait pas problème, voilà que nous sommes maintenant en difficulté pour la définir. Ne semblerait-il pas qu'elle soit indéfinissable ? [...] Ce qui revient à "définir" par usage (et on n'est pas très loin d'une définition du genre "ça sert à quoi ?"). Îl y a là quelque chose d'inattendu et de tout à fait paradoxal, mais dont
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engage une médiation par la subjectivité du traducteur. L'ignorer, c'est refuser qu'intervienne un traducteur entre le texte original (To) et la traduction (Tț) : ce serait penser la traduction en termes d'identité et vouloir qu'elle ne soit jamais qu'une répétition du texte original. Telle serait l'utopie sourcière de la traduction. " C'est nous qui soulignons. Critiquant elle aussi la traduction vue en termes d'identité à l'original, Élisabeth Lavault-Olléon met en question la notion sourcière
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the peculiarities of the original language. " (" Îl n'y a aucun obstacle a priori pour appliquer la théorie interprétative à la littérature ou à la poésie, pourvu que le transfert des éléments linguistiques d'un texte à l'autre ne soit pas considéré une traduction, mais un transcodage, afin de montrer aux lecteurs des traductions leș particularités de la langue source. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons.) 204 La déverbalisation est plus facilement saisissable dans le cas de l'interprétation de
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puis de reformuler ou ré-exprimer, et le plus grand mérite de Danica Seleskovitch et de Marianne Lederer est d'avoir démontré à quel point ce processus est non seulement important, mais également naturel. [...] De même, l'opération traduisante, qu'elle soit orale ou écrite, comporte deux "mouvements" : COMPRENDRE et DIRE. " 232 Idem, p. 310. 233 Ana Guțu, " Quelques considérations sur la traduction littéraire en tânt que processus exégétique spécifique et variété de la traduction des œuvres ", în op. cît., p. 13. 234
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c'est-à-dire de réécriture, dès lors qu'il s'agit de traduction (stricto sensu), portant donc sur des textes écrits. " 244 V. Idem, p. 477 : " [...] leș processus de traduction [...] mettent effectivement en œuvre un moment médiateur de déverbalisation, qui pourra soit prendre la forme proprement matérielle du papier dans la prise des notes, soit en rester sur le plan de l'expérience psychologique, voire d'une pratique psycho-sociologique. [...] Dans le cas de la traduction proprement dite s'agissant de textes écrits [...] cette
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sensu), portant donc sur des textes écrits. " 244 V. Idem, p. 477 : " [...] leș processus de traduction [...] mettent effectivement en œuvre un moment médiateur de déverbalisation, qui pourra soit prendre la forme proprement matérielle du papier dans la prise des notes, soit en rester sur le plan de l'expérience psychologique, voire d'une pratique psycho-sociologique. [...] Dans le cas de la traduction proprement dite s'agissant de textes écrits [...] cette interphase est de nature psychologique ou, si l'on veut, "mentale". Plus précisément
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2011, URL : http://www.uab.ro/reviste recunoscute/philologica/philologica 2003 tom2/23.dulau alexandra.opris miruna.pdf: " L'idéal de la mondialisation suppose la possibilité de réaliser l'entente entre leș gens, ce qui signifie tout d'abord une communication directe entre eux. Qu'elle soit écrite ou orale, cette relation s'appuie dans la grande majorité des cas sur la traduction, respectivement sur l'interprétariat. " C'est nous qui soulignons. 275 V. Michaël Oustinoff, " Présentation générale. La traduction, enjeu central de la mondialisation ", în Traduction et
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F., Paris, 1962, p. 53-54. 421 Jean Cohen, Le haut langage : Théorie de la poéticité, op. cît., p. 38. C'est nous qui soulignons. 422 Charles L. Stevenson définit le discours poétique par la signification qu'il acquiert. Ainsi, pour lui, soit " l'expression "un poème" dénote-t-elle une séquence de mots qui exprime telle ou telle signification ", soit elle dénote " telle ou telle signification qui est exprimée par une séquence de mots ". V. Charles L. Stevenson, " Qu'est-ce qu'un poème ? ", în
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p. 38. C'est nous qui soulignons. 422 Charles L. Stevenson définit le discours poétique par la signification qu'il acquiert. Ainsi, pour lui, soit " l'expression "un poème" dénote-t-elle une séquence de mots qui exprime telle ou telle signification ", soit elle dénote " telle ou telle signification qui est exprimée par une séquence de mots ". V. Charles L. Stevenson, " Qu'est-ce qu'un poème ? ", în Esthétique et Poétique, textes réunis par Gérard Genette, Éditions du Seuil, Paris, 1992, p. 163-164. 423
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nous qui soulignons. 604 V. Român Jakobson, Essai de linguistique générale, op. cît., p. 86 : " En poésie, leș équations verbales șont promues au rang de principe constructif d'un texte. [...] la paronomase règne sur l'art poétique ; que cette domination soit absolue ou limitée, la poésie, par définition, est intraduisible. Seule est possible la transposition créatrice. " C'est nous qui soulignons. 605 V. Philippe Lacoue-Labarthe, La poésie comme expérience, Christian Bourgois, Paris, 1986, p. 26-27. 606 Henri Meschonnic, Pour la poétique
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n'est pas simplement plus court d'une tête, îl cesse d'exister. " C'est nous qui soulignons. Nous avons retrouvé la même idée chez Edmond Cary, Comment faut-il traduire ?, op. cît., p. 48 : " Și, d'un poème, on rend soit le sens littéral, soit la forme prosodique, mais que la valeur poétique de ce poème soit justement située ailleurs, on aură fait une mauvaise traduction. " C'est nous qui soulignons. 707 André Davoust, Poésie en traduction, op. cît., p. 126. 708
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nous qui soulignons. Nous avons retrouvé la même idée chez Edmond Cary, Comment faut-il traduire ?, op. cît., p. 48 : " Și, d'un poème, on rend soit le sens littéral, soit la forme prosodique, mais que la valeur poétique de ce poème soit justement située ailleurs, on aură fait une mauvaise traduction. " C'est nous qui soulignons. 707 André Davoust, Poésie en traduction, op. cît., p. 126. 708 Olivier Kachler, " Nier l'intraduisible, qui ment ", în op. cît., p 6. C'est nous
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cît. 767 V. Lucian Blaga, Vreau să joc! (Je veux danser!), traduction de Jan Poncet, în Jean Poncet (dir.) Lucian Blaga ou le chant..., op. cît., p. 32 : " Ô, je veux danser comme jamais n'ai dansé !/Que Dieu ne soit point/en moi/comme esclave en prison enchaîné. " (Texte source : " O, vreau să joc cum niciodată n-am jucat !/ Să nu se simtă Dumnezeu/în mine/un rob în temnița încătușat. ", în Lucian Blaga, Operă poetica, op. cît., p. 21
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nu există poet cu o autohtonie mai accentuată, încadrându-se mai organic decât Blaga în ceea ce tot el numește "matrice stilistica românească". Peut-être que dans notre poésie lyrique, depuis Eminescu, îl n'y a aucun poète dont le penchant autochtone soit plus accentué et qui s'encadre de manière plus organique que Blaga dans ce qu'il appelle "la matrice stylistique roumaine". " Notre traduction.) 938 Poésie lyrique spécifique au folklore roumain, qui exprime des sentiments de désir, de nostalgie, de tristesse
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conferințe și articole, op. cît., p. 114. 991 Ibid : " Îl ne faut pas oublier qu'une littérature qui a la pleine conscience de șa mission n'aspire seulement à se constituer comme une série de créations originales, quelque impressionnante que soit une telle série. Toute littérature doit se faire aussi un miroir de la littérature universelle. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 992 Idem, p. 115 : " D'ailleurs, nous croyons que le simple fait que la plupart des littératures européennes modernes
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