3,363 matches
-
virgule : Lucian Blaga, Motto (Exergue), p. 13 ; e) leș poèmes traduits dont le tiret a été remplacé par des points de suspension : Lucian Blaga, Taină inițiatului (Le secret de l'initié), p. 47, Semne (Signes), p. 69. 8. Traduction de la rime chez Paul Miclău : V. Lucian Blaga, Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, traduction de Paul Miclău, op. cît. : Pasărea sfântă (L'oiseau saint), p. 321, Oraș vechi (Ville ancienne), p. 331, Asfințit (Couchant), p. 337, Cap aplecat (Tête penchée), p.
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
uevora.pt/comparada/VolumeII/DU%20PROBLEME%20DE%20LA%20TRADUCTION%20LITTERAIRE.pdf. AJI, Hélène, " Discours poétique et poétique du discours ", în Sillages critiques, no. 7, 2005, p. 101-118, consulté le 2 janvier 2011, URL : http://sillagescritiques.revues.org/974. ALBRECHT, Joën, " Rime et traduction ", în Poésie, traduction, retraduction, actes des journées d'étude organisées en 2003, textes réunis par Christine Lombez ; cahier coordonné par Roger Sauter, Praxiling, Université Montpellier III, Montpellier, 2004. ALDEA, Maria, " Subiectivitatea traducerii. Un punct de vedere ", în IANUA
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
naît de cette violence exercée sur la langue : la versification. " 397 À notre avis, cette approche ne tient pas compte d'autres genres littéraires, comme le poème en prose, qui pourrait être construit, lui aussi, selon des contraintes formelles (la rime irrégulière ou le rythme intérieur), ou leș poèmes à vers libre. (C'est le cas des poèmes de Blaga, qui, apparemment, șont des poèmes à vers libre, mais qui conservent, comme nous le montrons plus loin, certaines constantes prosodiques, comme
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
ou le rythme intérieur), ou leș poèmes à vers libre. (C'est le cas des poèmes de Blaga, qui, apparemment, șont des poèmes à vers libre, mais qui conservent, comme nous le montrons plus loin, certaines constantes prosodiques, comme la rime, le rythme ou la mesure, qui leur confèrent la musicalité.) 398 Nous présentons en détail l'importance des éléments typographiques du poème dans leș deux derniers chapitres consacrés à l'analyse des traductions. 399 V. Român Jakobson, La charpente phonique
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
402 En ce sens, Jean Cohen rappelle la critique des vers de Baudelaire faite par Valéry : " Ainsi Valéry reprochait à Baudelaire d'avoir enterré "să servante au grand cœur" sous une "humble pelouse" pour rimer avec "jalouse", préférant ainsi "la rime à la raison". " V. Idem, p. 11. 403 Abraham Moles, apud Daniel Delas et Jacques Filliolet, Linguistique et poétique, op. cît., p. 37. 404 Gérard Genette, Mimologiques : Voyage en Cratylie, op. cît., p. 332. C'est nous qui soulignons. 405
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
moyenne pondérée de traits définis quantitativement et s'assemblant selon des ressemblances de famille. Leș plus importants de ces traits de ressemblance familiale délimitant la nébuleuse générique appelée poésie șont, d'après Stevenson, la régularité rythmique, la mesure métrique [...], la rime, l'accent mis sur la structure sonore, le langage figuré, un champ sémantique comportant de nombreux sèmes d'ordre émotif. " C'est nous qui soulignons. 509 V. Charles L. Stevenson, " Qu'est-ce qu'un poème ? ", în Esthétique et Poétique, op.
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
le " bloc typographique " qui, selon Meschonnic, dans le cas de la mauvaise poésie, se voudrait strophe (V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 266.) Par " signifiant " nous comprenons leș éléments prosodiques, qui relèvent de la présentation proprement dite du poème (rime, mesure des vers, rythme), leș sonorités (effets phoniques, allitérations, assonances, etc.), mais aussi leș particularités d'ordre visuel. Ces traits peuvent constituer des difficultés redoutables, surtout și le traducteur a l'ambition d'obtenir en langue cible le même effet
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
seuls, ils șont dépourvus de cette force de tension et de cohésion qui crée leș rapports, leș faits de poétique. On pourrait même soutenir que, paradoxalement, plus leș faits de versifications șont nécessaires, plus ils șont insuffisants. " 647 Joën Albrecht, " Rime et traduction ", în Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 13. C'est nous qui soulignons. 648 Ce qui démontre, une fois de pluș, le fait que traduire est une question historique. 649 Joën Albrecht, " Rime et traduction ", în Poésie, traduction
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
șont insuffisants. " 647 Joën Albrecht, " Rime et traduction ", în Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 13. C'est nous qui soulignons. 648 Ce qui démontre, une fois de pluș, le fait que traduire est une question historique. 649 Joën Albrecht, " Rime et traduction ", în Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 11. 650 Inês Oseki-Dépré, Traduction & poésie, op. cît., p. 15. 651 V. Bertrand Degott, " Bonnefoy traducteur : à quoi bon encore leș sonnets ? ", în Études épistème, no. 6, 2004, p. 55, consulté
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
qui soulignons. V. aussi André Meynieux, " Sur l'article D'Edmond Cary "Traduction et poésie" ", extrait de op. cît., p. 129 : " [...] ériger en doctrine qu'une traduction poétique doit reprendre tous leș aspects prosodiques du poème original, y compris la rime, me pârâit aussi dangereux que vain. " 653 V., en ce sens, David Connolly, " Poetry Translation ", în Routlege Encyclopedia of Translation Studies, édité par Mona Baker, Routlege, Londres, 1998, p. 174, cité sur http://courses.logos.it/pls/dictionary/linguistic resources.cap 4 26
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
de poétique de la traduction poétique, op. cît. 711 Edmond Cary, Comment faut-il traduire ?, introduction, bibliographie et index de Michel Ballard, 2e édition révisée et corrigée, Presses Universitaires de Lille, 1986, p. 43. C'est nous qui soulignons. 712 Joën Albrecht, " Rime et traduction ", în op. cît., p. 27. C'est nous qui soulignons. 713 V. Efim Etkind, Un Art en crise: essai de poétique de la traduction poétique, op. cît. 714 Paul Valéry, " Variations sur leș Bucoliques ", în Œuvres complètes, op. cît
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
libre constitue un atout pour la traduction et la diffusion des œuvres, parce que le traducteur se concentre plutôt sur le signifié poétique et ne sent plus la contrainte de la forme, qu'il éprouve dans le cas des poésies à rime, mètre et mesure fixes. Son effort est donc orienté vers la complexité sémantique du texte source. Un poème à forme classique, comme Glossă d'Eminescu, est presqu'impossible à transposer en langue cible : le traducteur se sent accablé par la
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
mètre et mesure fixes. Son effort est donc orienté vers la complexité sémantique du texte source. Un poème à forme classique, comme Glossă d'Eminescu, est presqu'impossible à transposer en langue cible : le traducteur se sent accablé par la rime et la mesure des vers car, en théorie, îl devrait adapter le contenu sémantique à une forme fixe correspondante en langue cible. La présence des vers libres et d'une prosodie moins rigide dans la poésie roumaine, à commencer avec
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
classiques ont été respectés à la lettre. Et, en traduisant, je n'ai pas eu besoin d'un nombre plus grand de vers par rapport à l'original. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 1021 Idem, p. 121 : La rime a une efflorescence abondante en Faust. [...] En ce qui concerne la rime, j'ai suivi d'habitude le texte d'origine. Toutefois, j'ai cru que, pour rendre dans la manière la plus fidèle possible la substance du texte, je
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
ai pas eu besoin d'un nombre plus grand de vers par rapport à l'original. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 1021 Idem, p. 121 : La rime a une efflorescence abondante en Faust. [...] En ce qui concerne la rime, j'ai suivi d'habitude le texte d'origine. Toutefois, j'ai cru que, pour rendre dans la manière la plus fidèle possible la substance du texte, je pouvais me permettre une raréfaction de la rime. Și j'avais respecté l
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
En ce qui concerne la rime, j'ai suivi d'habitude le texte d'origine. Toutefois, j'ai cru que, pour rendre dans la manière la plus fidèle possible la substance du texte, je pouvais me permettre une raréfaction de la rime. Și j'avais respecté l'abondance des rimes du texte source, j'aurais eu de graves difficultés techniques, ce qui aurait eu des répercussions défavorables sur l'expression de la substance poétique. [...] La traduction déploie, en tout cas, la cadence des
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
revue ; j'ai obtenu par contre une réponse assez favorable de la part de la rédaction. On m'encourageait de continuer à écrire, mais on me reprochait, pour la première fois dans mă vie, le péché d'avoir écrit des vers sans rime. Pourtant, par mon péché je préfigurais, dès cette époque, une forme. " Notre traduction. 1491 V. Dumitru Micu, Lirica lui Lucian Blaga, op. cît., p. 11 : Tânărul mesager liric al Transilvaniei eliberate spărgea marginile versului cu o cutezanța fără precedent în
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
aussi comme une aspiration à considérer le vers blagien comme une pârtie intégrante de son esthétique et, dans un sens très général, de son activité créatrice. " C'est nous qui soulignons. 1507 Ibid. C'est nous qui soulignons. 1508 La rime pauvre ne comporte qu'une homophonie (la dernière voyelle accentuée en syllabe ouverte). V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 240. 1509 V. Idem, p. 183 : " On qualifie de monorimes (du grec "monos", "seul", et "rime") des groupements
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
1508 La rime pauvre ne comporte qu'une homophonie (la dernière voyelle accentuée en syllabe ouverte). V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 240. 1509 V. Idem, p. 183 : " On qualifie de monorimes (du grec "monos", "seul", et "rime") des groupements de vers, strophiques ou non, liés par une rime unique [...]. " 1510 V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 243 : leș rimes embrassées șont celles qui " sur le même couple de base ab réalisent un chiasme, abba
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
voyelle accentuée en syllabe ouverte). V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 240. 1509 V. Idem, p. 183 : " On qualifie de monorimes (du grec "monos", "seul", et "rime") des groupements de vers, strophiques ou non, liés par une rime unique [...]. " 1510 V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 243 : leș rimes embrassées șont celles qui " sur le même couple de base ab réalisent un chiasme, abba ". 1511 Lucian Blaga, III. Umbră (III. L'ombre), în Poèmes, Traduction
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
texte source " Zăbovește prin rostul/grădinilor pajul./ Un zbor de lăstun/iscălește peisajul. " (Blaga 2010 : 153) est traduit par : " Dans l'aura des jardins/s'attarde longtemps le page./ Un vol de martinet/signe enfin le paysage. " À part la rime " page "/" paysage ", facilitée par la parenté des langues, on remarque également l'ambition du traducteur de garder le rythme et la mesure des vers source. V. aussi Lucian Blaga, Portret (Portrait), în Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, traduction de
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
couples de rimes " veșmânt "/" vânt " et " planetă "/" paletă " șont traduits par " vêtement "/" vent " et, respectivement, " planète "/" palette ". 1518 V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 242 : " Facilité est banalité șont déconseillées dans le choix des mots à la rime. On évite donc : a) la rime du même au même (c'est-à-dire d'un moț avec lui-même) [...]. Elle est d'ailleurs exclue dès le Moyen Âge ; b) la rime entre leș mots de la même famille ; c) la rime entre mots
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
planetă "/" paletă " șont traduits par " vêtement "/" vent " et, respectivement, " planète "/" palette ". 1518 V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 242 : " Facilité est banalité șont déconseillées dans le choix des mots à la rime. On évite donc : a) la rime du même au même (c'est-à-dire d'un moț avec lui-même) [...]. Elle est d'ailleurs exclue dès le Moyen Âge ; b) la rime entre leș mots de la même famille ; c) la rime entre mots terminés par la même désinence ou
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
est banalité șont déconseillées dans le choix des mots à la rime. On évite donc : a) la rime du même au même (c'est-à-dire d'un moț avec lui-même) [...]. Elle est d'ailleurs exclue dès le Moyen Âge ; b) la rime entre leș mots de la même famille ; c) la rime entre mots terminés par la même désinence ou par le même suffixe [...]. De même, on considère comme faibles des rimes entre mots parents morphologiquement (vous/nous), entre termes trop souvent associés
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
à la rime. On évite donc : a) la rime du même au même (c'est-à-dire d'un moț avec lui-même) [...]. Elle est d'ailleurs exclue dès le Moyen Âge ; b) la rime entre leș mots de la même famille ; c) la rime entre mots terminés par la même désinence ou par le même suffixe [...]. De même, on considère comme faibles des rimes entre mots parents morphologiquement (vous/nous), entre termes trop souvent associés soit par des clichés (amours/toujours), soit par des
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]