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conte/au mythe très grand et très ancien. " (Signes) (Stolojan, 1992 : 55) ; " mais tout autre chemin mène dans la légende,/dans la grande, grande légende. " (Signes) (Pop-Curșeu, 2003 : 101) ; " basmul ar începe-așa " " car le conte dirait de cette façon " (Cântec pentru anul 2000/Chanson pour l'an 2000) (Miclău, 1978 : 447). Le village et l'âtre Dans la poésie de Blaga, le village est le centrus mundi, une sorte d'espace matrice. L'univers rustique est construit à l'aide
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Drăgănescu-Vericeanu, 1974) ; Navires de cendres (Poncet, 1996). La version de Veturia Drăgănescu-Vericeanu est trop explicative. Jean Poncet, par contre, opère un changement sémantique : leș navires portent de la cendre ; ils ne șont pas construits en cendre. Leș titres des recueils posthumes Cântecul focului et Vârstă de fier șont rendus littéralement : La chanson du feu (Miclău, 1978) ; Le chant du feu (Drăgănescu-Vericeanu, 1974) ; L'âge de fer (Drăgănescu-Vericeanu, 1974) ; L'âge de fer (Poncet, 1996). En ce qui concerne le titre Ce aude
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d'automne (Loubière, 2003 : 37). → Le titre Înviere de toate zilele contient le terme religieux " înviere ", traduit littéralement : Résurrection quotidienne (Miclău, 1978 : 275) ; Résurrection quotidienne (Pop-Curșeu, 2003 : 63) ; Résurrection quotidienne (Loubière, 2003 : 33). → Le titre Din cer a venit un cântec de lebădă est traduit littéralement : Du ciel parvint un chant de cygne (Miclău, 1978 : 277) ; Du ciel parvient un chant de cygne (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 145) ; Un chant de cygne est venu du ciel (Stolojan, 1992 : 41) ; Du ciel est descendu
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Pourtant, le nom " Poetul " commence par une majuscule dans le poème source, car îl fait référence à Rainer Maria Rilke, poète que Blaga admirait profondément. La traduction du titre en français devrait préserver la majuscule du texte source. → Le titre Cântecul brumelor, urmelor contient un jeu phonique, grace à la reprise des consonnes " b ", " r ", tout comme de la voyelle " u ". Ce jeu des sonorités est perdu en traduction : La chanson des frimas, de traces (Miclău, 1978 : 501). → Le titre Drumeție (littéralement
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-nchin luminii voatre stelelor " " je me prosterne devant votre lumière, ô étoiles " (Stelelor/Ô, étoiles) (Miclău, 1978 : 195) ; " [...] cui să mă-nchin, la ce să mă-nchin ? " " devant qui me prosterner, devant quoi me prosterner ? " (Din cer a venit un cântec de lebădă/Du ciel parvint un chant de cygne) (Miclău, 1978 : 277) ; " en qui croire, en quoi croire ? " (Du ciel parvient un chant de cygne) (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 145) ; " devant qui me prosterner, devant quoi me prosterner ? " (Du ciel est descendu
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Paula Romanescu, résultat de l'interprétation : " Când trec punțile de somn/îmi rămâne numai visul/și abisul, si abisul. " " [...] car du sommeil de mon transport/îl ne me reste que le songe/et le gouffre, le gouffre où je plonge. " (Cântec înainte de-a adormi/Chanson avânt le sommeil) (Miclău, 1978 : 581) ; " Quand je passe leș ponts béants/Du sommeil, je ne retrouve/Que le rêve et le néant. " (Chanson avânt de m'endormir) (Romanescu, 1998 : 67). La traduction littérale de la
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des plus belles images de la poésie de Blaga est présentée dans le tableau ci-dessous. Îl s'agit d'une métaphore fondée sur une ambiguïté sémantique dans la langue source, qui est, par conséquent, difficilement transposable : Din cer a venit un cântec de lebădă./ Îl aud fecioarele ce umblă cu frumuseți desculțe/ peste muguri. Și pretutindeni îl aud eu și tu. (Din cer a venit un cântec de lebădă) (Blaga, 2010 : 115) Du ciel parvint un chant de cygne./ L'entendent leș
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dans la langue source, qui est, par conséquent, difficilement transposable : Din cer a venit un cântec de lebădă./ Îl aud fecioarele ce umblă cu frumuseți desculțe/ peste muguri. Și pretutindeni îl aud eu și tu. (Din cer a venit un cântec de lebădă) (Blaga, 2010 : 115) Du ciel parvint un chant de cygne./ L'entendent leș belles vierges qui marchent nu-pieds/ sur leș bourgeons. Et partout nous l'entendons. (Du ciel parvint un chant de cygne) (Miclău, 1978 : 277) Du ciel
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mon ciel tombe dans leș ombres noires " (Mi-aștept amurgul/J'attends mon crépuscule) (Miclău, 1978 : 153) ; Le nom " puzderia " (qui désigne des restes végétaux) est traduit par " poudre " : Dacă lumină ar cântă/vărsându-și puzderia,/noi am vedea cum cântecul/consumă materia. " " Și la lumière pouvait chanter/en versant să poudre aux airs,/on verrait comment la chanson/consomme la matière. " (Supremă ardere/Suprême combustion) (Miclău, 1978 : 465) ; Le verbe " a se preschimba " (" se modifier ", " se changer ") est traduit par
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une pauvre pensée ? je ne sais. " (Un om s-apleacă peste margine/Un homme se penche) (Stolojan, 1992 : 33) ; Le nom " pivniță " (" cave ") est traduit par " oubliette " ou " cellier " : " pivnițele pământului " " leș oubliettes de la terre " (Din cer a venit un cântec de lebădă/ Un chant de cygne est venu du ciel) (Stolojan, 1992 : 41) ; " leș celliers de la terre " (Du ciel est descendu un chant de cygne) (Poncet, 1996 : 104) ; Le verbe " a strigă " (" crier ", " s'écrier ") est traduit par " clamer " : Și-
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Stolojan, 1992 : 41) ; " leș celliers de la terre " (Du ciel est descendu un chant de cygne) (Poncet, 1996 : 104) ; Le verbe " a strigă " (" crier ", " s'écrier ") est traduit par " clamer " : Și-acum strig [...]. " " je vais clamant " (Din cer a venit un cântec de lebădă/ Un chant de cygne est venu du ciel) (Stolojan, 1992 : 41) ; L'expression " în drum " (" en chemin ") est traduite par " au hasard des chemins " : " Din când în când ne odihnim în drum. Au hasard des chemins nous prenons
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a închide " (" enfermer ") est traduit par " confiner " ; le nom " pivnițe " (" caves ") est traduit par " cryptes " : " Călugării și-au închis rugăciunile/în pivnițele pământului. " " Au fond des cryptes de la terre/Leș moines ont confiné leurs prières. " (Din cer a venit un cântec de lebădă/Du ciel est descendu un chant du cygne) (Loubière, 2003 : 39) ; L'expression métaphorique " arde cu păreri de valuri " (littéralement : " brûle avec des illusions de vagues ") est traduite par " brûle ondoyante " (Peisaj transcendent/Paysage transcendant) (Villard, 2010 : 43
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Miclău et Paul Villard ajoutent une note d'affectivité au texte traduit. Pourtant, leș poèmes de départ ne présentent pas un langage trop affectif. " tu crengi ai, nu brațe " " mă chère, tu n'as pas des bras, mais des branches " (Cântecul focului/La chanson du feu) (Miclău, 1978 : 535). Dans le poème source, le moi lyrique compare la bien-aimée à un arbre. La femme est appelée, simplement, " tu ". La version de Paul Miclău se fait remarquer par un langage plus affectif
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pour toujours/avec le printemps à țoi. " (Un automne viendra) (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 85). " Lucruri mici,/lucruri mari,/lucruri sălbatice omorâți-mi inima ! " " Choses petites,/choses grandes,/choses sauvages accordez à mon cœur le repos éternel ! " (Din cer a venit un cântec de lebădă/Du ciel est descendu un chant de cygne) (Poncet, 1996 : 104) ; " Choses petites,/choses grandes,/choses sauvages tuez mon cœur ! " (Du ciel est descendu un chant de cygne) (Pop-Curșeu, 2003 : 69) ; " Petites choses,/Grandes choses,/Choses sauvages : percez-moi
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cendres brûlantes. " (Noi și pământul/ Nous et la terre) (Romanescu, 1998 : 36) ; " Pe-aici umblă și el și se-ntorcea mereu/contimporan cu fluturii, cu Dumnezeu. Voilà la terre bercée du bleu des cieux/ Où îl vécut, contemporain de Dieu ! " (Cântec pentru anul 2000/Chanson pour l'an 2000) (Romanescu, 1998 : 60) ; Eu/nu mă căiesc/c-am adunat în suflet și noroi -/dar mă gândesc la tine. " " Non, je ne regrette pas/D'avoir parmi leș perles/ Du coffre de
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m'appelle le vieux moine) 3 fois (leș vers en retrăit commencent par " comme " et introduisent des comparaisons) ; Heraclit lângă lac (Héraclite au bord du lac) 3 fois ; Bunătate toamnă (Bonté d'automne) 2 fois ; Din cer a venit un cântec de lebădă (Du ciel est descendu un chant du cygne) 2 fois ; Noi, cântăreții leproși (Nous, chanteurs lépreux) 4 fois ; Scrisoare (Lettre) 2 fois ; De mână cu Marele Orb (Le grand aveugle par la main) 2 fois ; Am inteles păcatul
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pour la jeune fille inconnue qui reste à la porte), p. 225 1 cas ; Ardere (Combustion), p. 227 2 cas ; Printre lacurile de munte (Parmi leș lacs de la montagne), p. 273 1 cas. Dans la traduction du poème Unde un cântec este (Où chanson îl y a), în op. cît., p. 249, on enregistre une compensation dans la traduction du tiret : la traductrice y renonce, pour le reprendre plus tard dans la même strophe, lorsqu'il sert à introduire une comparaison
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Charrues), p. 23, Călugărul bătrân îmi șoptește din prag (Faiblement sur le seuil m'appelle le vieux moine), p. 31 ; c) leș poèmes traduits dont le tiret a été remplacé par deux points : Lucian Blaga, Din cer a venit un cântec de lebădă (Du ciel est descendu un chant du cygne), p. 39, De mână cu Marele Orb (Le rând aveugle par la main), p. 49 ; d) leș poèmes traduits dont le tiret a été remplacé par un point virgule : Lucian
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Le 9 mai 1895), p. 423, Răsărit magic (Lever magique), p. 433, Mânzul (Le poulain), p. 435, Sfanțul Gheorghe bătrân (Saint Georges vieux), p. 439, Sud (Sud), p. 441, Dumbrava roșie (Le taillis rouge), p. 443, Ardere (Combustion), p. 445, Cântec pentru anul 2000 (Chanson pour l'an 2000), p. 447, Epitaf (Épitaphe), p. 449, Poeții (Leș poètes), p. 453, Întâia dumineca (Le premier dimanche), p. 455, Zi de septemvrie (Jour de septembre), p. 457, Oraș în noapte (Ville dans la
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je me perdais), p. 463, Supremă ardere (Suprême combustion), p. 465, Œdip în fața sfinxului (Œdipe devant le sphynx), p. 467, Epitaf pentru Euridice (Épitaphe pour Eurydice), p. 469, Catren (Quatrain), p. 471, Glas de seară (Voix du soir), p. 473, Cântecul obârșiei (La chanson de la source), p. 475, Scoici (Coquilles), p. 479, Dumbrava africană (Bois africain), p. 481, Cariatide (Cariatides), p. 483, De profundis (De profundis), p. 485, Părinții (Leș parents), p. 487, În jocul vârstelor (Dans le jeu des âges
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Coquilles), p. 479, Dumbrava africană (Bois africain), p. 481, Cariatide (Cariatides), p. 483, De profundis (De profundis), p. 485, Părinții (Leș parents), p. 487, În jocul vârstelor (Dans le jeu des âges), p. 493, Legenda noastră (Notre légende), p. 495, Cântecul brumelor, urmelor (La chanson des frimas, des traces), p. 501, Glas în paradis (Voix au paradis), p. 505, Nu crede tu vântului (Ne crois pas au vent), p. 507, Catren (Quatrain), p. 509, Andante (Andante), p. 511, Cântec în noapte
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p. 495, Cântecul brumelor, urmelor (La chanson des frimas, des traces), p. 501, Glas în paradis (Voix au paradis), p. 505, Nu crede tu vântului (Ne crois pas au vent), p. 507, Catren (Quatrain), p. 509, Andante (Andante), p. 511, Cântec în noapte (Chanson dans la nuit), p. 515, Toate drumurile duc (Tous leș chemins mènent), p. 517, Portret (Portrait), p. 519, Lângă un fluture (Auprès d'un papillon), p. 523, Primăvara (Printemps), p. 525, Anotimpuri (Saisons), p. 529, Prin toate
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515, Toate drumurile duc (Tous leș chemins mènent), p. 517, Portret (Portrait), p. 519, Lângă un fluture (Auprès d'un papillon), p. 523, Primăvara (Printemps), p. 525, Anotimpuri (Saisons), p. 529, Prin toate erele (Par toutes leș ères), p. 533, Cântecul focului (La chanson du feu), p. 535, Vara Sfanțului Mihai (8 noiemvrie) (L'été de la Saint Michel (Le 8 novembre)), p. 539, Sfârșitul de an (Fin d'année), p. 543, Ce aude unicornul (Ce qu'entend la licorne), p. 547
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Vara lângă rău (Été près de la rivière), p. 559, Drumeție (Chemin), p. 563, Oda simplisimei flori (Ode à la plus simple fleur), p. 567, Sonata lunii (La sonate de la lune), p. 569, Ermetism (Hermétisme), p. 571, Madrigal (Madrigal), p. 573, Cântec în doi (Chanson à deux), p. 575, Oglindă din adânc (Le miroir des profondeurs), p. 577, Moară (Le moulin), p. 579, Cântec înainte de-a adormi (Chanson avânt le sommeil), p. 581, Insomnii (Insomnies), p. 583, Izvorul (La source), p.
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p. 567, Sonata lunii (La sonate de la lune), p. 569, Ermetism (Hermétisme), p. 571, Madrigal (Madrigal), p. 573, Cântec în doi (Chanson à deux), p. 575, Oglindă din adânc (Le miroir des profondeurs), p. 577, Moară (Le moulin), p. 579, Cântec înainte de-a adormi (Chanson avânt le sommeil), p. 581, Insomnii (Insomnies), p. 583, Izvorul (La source), p. 585, Dorul-dor (Le désir-désir), p. 587, Mirabila sămânță (La merveilleuse semence), p. 591, Ceasul care nu apune (L'heure qui ne décline
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