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139 Nous traitons la traduction en tânt que phénomène social dans la Section 3. 2. de ce chapitre, section dédiée à l'approche sociolinguistique de la traduction. 140 V. Pierre Bourdieu, Questions de sociologie, Éditions de Minuit, Paris, 1982. Nous développons le sujet dans la Section 3. 2. de ce chapitre. 141 V. Andrew Chesterman, Memes of Translation, op. cît., p. 68-69. L'auteur énumère trois normes : " (1) The accountability norm : a translator should act în such a way that the demands of loyalty
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Poche, Librairie Générale Française, 1993, p. 268. Îl faut mentionner également la définition que donne Julia Kristeva au concept de signifiance : " ce travail de la différenciation, stratification et confrontation qui se pratique dans la langue, et dépose sur la ligne du sujet parlant une chaîne signifiante communicative et grammaticalement structurée. " V. Julia Kristeva, Semeiotikhè. Recherches pour une semanalyse (Extraits), Seuil, collection " Points ", Paris, 1969, p. 11. 412 La signifiance, dans la conception de Meschonnic, est vue comme " l'organisation des marques par
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poétique, l'argumentatif : écriture poétique moderne, op. cît., p. 29 : " L'identité du poète (lyrique) a souvent une dimension de repli ou de révélation. Le discours lyrique n'apparaît plus, dans cette perspective, comme un partage d'affects entre le sujet communiquant et șes interprétants, mais plutôt comme le partage d'un savoir sur leș affects, et, ipso facto, d'un savoir vivre, "révélé", comme c'est le cas, par définition, du discours ésotérique [...]. " 500 I. A. Richards, Principles of Literary
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nous qui soulignons. 554 V. Paul Bensimon, " Présentation ", în Palimpsestes, no. 2 : Traduire la poésie, op. cît., p. I. 555 V. Henri Meschonnic, Gloires. Traduction des Psaumes, Desclée de Brouwer, Paris, 2001, p. 27 : Plus le traducteur s'inscrit comme sujet dans la traduction, plus, paradoxalement, traduire peut continuer le texte. C'est à dire, dans un autre temps et une autre langue, en faire un texte. Poétique pour poétique. " 556 Jean-Pierre Camoin, " Ouverture des assises ", în Traduire la poésie : autour
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p. 9, consulté le 2 janvier 2011, URL : http://sillagescritiques.revues.org/974. 668 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 13 : " Et la pensée du langage s'est transformée. Elle est passée de la langue [...] au discours, au sujet agissant, dialoguant, inscrit prosodiquement, rythmiquement dans le langage, avec să physique. Ces deux modes de transformation, dans la politique et dans la pensée, agissent sur la traduction. Leur activité est l'oralité. La littérature est să réalisation maximale. " 669 Idem
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poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 48. De l'avis de Meschonnic, le rythme constitue l'opérateur principal du sens dans le discours (" Le rythme fait sens ") et, par cela, îl devient également l'opérateur du sujet du discours ; en d'autres mots, îl contribue à la " configuration " du sujet dans le discours. V. Henri Meschonnic, Critique du rythme. Anthropologie historique du langage, op. cît., p. 217 et p. 71. 680 V. Henri Meschonnic, " Traduire ce que
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avis de Meschonnic, le rythme constitue l'opérateur principal du sens dans le discours (" Le rythme fait sens ") et, par cela, îl devient également l'opérateur du sujet du discours ; en d'autres mots, îl contribue à la " configuration " du sujet dans le discours. V. Henri Meschonnic, Critique du rythme. Anthropologie historique du langage, op. cît., p. 217 et p. 71. 680 V. Henri Meschonnic, " Traduire ce que leș mots ne disent pas, mais ce qu'ils font ", în op. cît
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cît., p. 136). 774 V. Basil Munteano, " La poésie de Lucian Blaga... ", op. cît. 775 Idem, p. 183. C'est nous qui soulignons. 776 Idem, p. 189. 777 Idem, p. 191. C'est nous qui soulignons. 778 Nous développons le sujet dans le sous-chapitre 4, qui présente la pensée philosophique de Blaga. 779 Nous considérons que la présence du vers libre constitue un atout pour la traduction et la diffusion des œuvres, parce que le traducteur se concentre plutôt sur le
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termeni filosofici ai lui Lucian Blaga, op. cît., p. 182-186. 945 V. Ibid. La traduction en français est l'œuvre de Paul Miclău. V. Lucian Blaga, volume bilingue, Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, op. cît. 946 Nous approfondissons le sujet dans leș deux derniers chapitres de notre thèse, qui ont comme but l'analyse du corpus. 947 V. aussi Basil Munteano, " La poésie de Lucian Blaga... ", op. cît., p. 183. 948 Ionel Bușe, " Lucian Blaga : de la matrice stylistique à l
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concept est emprunté d'Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 242. 1338 À ce titre, nous rappelons leș Caligrammes d'Appollinaire, qui șont des poèmes dont la mise en page suggère une image qui correspond au sujet du texte. Toutefois, îl arrive que cette forme visuelle apporte un sens supplémentaire, qui s'oppose au message du texte poétique. Par exemple, dans le poème La cravate et la montre, ces deux objets qui peuvent à eux seuls représenter
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moarte mi se preling. " șont traduits par " En moi aujourd'hui encore on parle de țoi,/Et des eaux mortes me coulent des cils. " 1467 Par rapport au roumain, la langue française montre une servitude linguistique dans l'emploi du sujet qui accompagne le verbe : și, en roumain, le sujet peut manquer, en français să présence est absolument nécessaire dans le discours. V. Jean-Paul Vinay, Jean Darbelnet, Stylistique comparée du français et de l'anglais, op. cît., p. 14 : " Servitude Cas
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aujourd'hui encore on parle de țoi,/Et des eaux mortes me coulent des cils. " 1467 Par rapport au roumain, la langue française montre une servitude linguistique dans l'emploi du sujet qui accompagne le verbe : și, en roumain, le sujet peut manquer, en français să présence est absolument nécessaire dans le discours. V. Jean-Paul Vinay, Jean Darbelnet, Stylistique comparée du français et de l'anglais, op. cît., p. 14 : " Servitude Cas où le choix, la forme et l'ordre des
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