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Horace, qui découvre leș poètes du canon dans leș éditions alexandrines, considère que leș thèmes et la structure des vers șont ceux qui définissent le mieux ce type de poésie. De leur côté, leș poéticiens de la Renaissance étudient dans toute son ampleur le problème du statut élocutif du poète lyrique et le convertissent en un élément fondamental de la description de classe. Quant aux théoriciens du XVIIIe siècle, ils s'attachent essentiellement à analyser l'objet de l'imitation leș affects ou
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de classe. Quant aux théoriciens du XVIIIe siècle, ils s'attachent essentiellement à analyser l'objet de l'imitation leș affects ou passions et leș placent en autre de leurs préoccupations. Comme on l'a vu, à chaque étape de son évolution, le concept de poésie lyrique sélectionne, structure et ordonne à différents niveaux d'abstraction leș traits qui le constituent comme genre. Son histoire [...] est l'histoire de ces variations discontinues qui nous montrent qu'un genre n'est pas
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et leș placent en autre de leurs préoccupations. Comme on l'a vu, à chaque étape de son évolution, le concept de poésie lyrique sélectionne, structure et ordonne à différents niveaux d'abstraction leș traits qui le constituent comme genre. Son histoire [...] est l'histoire de ces variations discontinues qui nous montrent qu'un genre n'est pas seulement un critère de classement rétrospectif mais aussi [...] une "fonction textuelle". " C'est nous qui soulignons. 453 Gustavo Guerrero, Poétique et poésie lyrique
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états, des lueurs d'une pureté și absolue que, bien chantés et bien mis en lumière, cela constitue en effet leș joyaux de l'homme ; là, îl y a symbole, îl y a création, et le moț poésie a ici son sens : c'est, en somme, la seule création humaine possible. Et și, véritablement, leș pierres précieuses dont on se pare ne manifestent pas un état d'âme, c'est indûment qu'on s'en pare... " C'est nous qui soulignons
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plus un instrument, n'est plus un moyen, îl est une manifestation, une révélation de l'être intime et du lien psychologique qui nous unit au monde et à nos semblables. " 485 Novalis, apud John Edwin Jackson, La poésie et son autre : essai sur la modernité, Paris, José Corti, 1998, p. 18. 486 Jean-Marie Gleize, La poésie : textes critiques : XIV-ème XX-ème siècle, Paris, Larousse, 1995, p. 14. 487 John Edwin Jackson, La poésie et son autre. Essai sur la modernité, op.
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John Edwin Jackson, La poésie et son autre : essai sur la modernité, Paris, José Corti, 1998, p. 18. 486 Jean-Marie Gleize, La poésie : textes critiques : XIV-ème XX-ème siècle, Paris, Larousse, 1995, p. 14. 487 John Edwin Jackson, La poésie et son autre. Essai sur la modernité, op. cît., p. 34. C'est nous qui soulignons. 488 Arthur Rimbaud, Œuvres, Dunod, " Classiques Garnier ", Paris, 1997, p. 228. 489 V. Pierre-Jean Jouve, Apologie du poète, Le temps qu'il faut, Paris, 1982, p.
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et Miguel Veyrat ", în Anales de Filología Francesa, no, 12, 2003-2004, p. 304, consulté le 2 avril 2011, URL : http://dialnet.unirioja.es/servlet/listaarticulos?tipo busqueda=EJEMPLAR&revista busqueda=1788&clave busqueda=135950: " L'œuvre poétique ne peut être interrogée que depuis son avènement à la singularité, à son originalité d'être une Voix parmi des Voix. " 531 Erol Kayra, " Le langage, la poésie et la traduction poétique ou une approche scientifique de la traduction poétique ", în op. cît., p. 255 : " [...] la traduction poétique
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Filología Francesa, no, 12, 2003-2004, p. 304, consulté le 2 avril 2011, URL : http://dialnet.unirioja.es/servlet/listaarticulos?tipo busqueda=EJEMPLAR&revista busqueda=1788&clave busqueda=135950: " L'œuvre poétique ne peut être interrogée que depuis son avènement à la singularité, à son originalité d'être une Voix parmi des Voix. " 531 Erol Kayra, " Le langage, la poésie et la traduction poétique ou une approche scientifique de la traduction poétique ", în op. cît., p. 255 : " [...] la traduction poétique n'est pas une simple opération
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rapport strict entre la poésie et le langage fait de la poésie un art du langage, et du traducteur un bon technicien du langage, mais conscient de l'effet poétique qui est au fond l'œuvre commune du sens et du son. " 532 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, la Lettre volée, Collection Palimpsestes, Bruxelles, 2003, p. 5. C'est nous qui soulignons. 533 V. K. Richard Baush, Josef Klegraf, Wolfram Wilss, The Science of Translation : An
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C'est nous qui soulignons. 558 V. Henri Meschonnic, Au commencement. Traduction de la Genèse, Desclée de Brouwer, Paris, 2002, p. 17 : " Tânt qu'on ne lit pas le rythme d'un texte, un texte, un texte dans, avec et par son rythme, on ne le lit pas, on ne l'a pas lu. " 559 Maurice Blanchot, " Reprises ", în L'Amitié, Gallimard, Paris, 1971, p. 69-73. C'est nous qui soulignons. 560 Pour illustrer l'" invisibilité " du traducteur, qui était souvent placé
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la plupart des traducteurs échouent est la reproduction de la charge émotionnelle. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 591 V. Aron Kibédi Varga, Leș constantes du poème : analyse du langage poétique, op. cît., p. 4-5. 592 V. Jacques Bouchard, " Le son, le sens et le silence en traduction poétique ou comment recréer Embiricos ", în Liberté, vol. 35, no. 1, (205) 1993, p. 149, consulté le 2 février 2011, URL : http://www.erudit.org/culture/liberte 1026896/liberte 1035322/31477ac.pdf : " Pourtant
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no. 1, (205) 1993, p. 149, consulté le 2 février 2011, URL : http://www.erudit.org/culture/liberte 1026896/liberte 1035322/31477ac.pdf : " Pourtant, la difficulté majeure de la poésie moderne pour tout lecteur, a fortiori pour tout traducteur, réside en son obscurité intrinsèque. " C'est nous qui soulignons. 593 Nous présentons la problématique de la " voix du texte " dans la Section 2. 5. 2. de ce chapitre, section destinée à la traduction du rythme. 594 Présentant leș difficultés de traduction engendrées par la
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où chaque ligne, chaque phrase peut dépasser l'épreuve de la délibération et du choix délibéré, îl est possible [...] d'atteindre l'ultimatum que je me suiș hasardé de proposer comme l'épreuve infaillible d'un style sans faute ; à savoir : son intraduisibilité dans leș mots de la même langue, sans porter atteinte au sens ". Notre traduction. 603 Yves Bonnefoy, " La traduction de la poésie. Une conférence d'Yves Bonnefoy à l'ATLF (27 octobre 1975) ", în Bulletin d'information des traducteurs littéraires de la
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La traduction de la poésie. Une conférence d'Yves Bonnefoy à l'ATLF (27 octobre 1975) ", în Bulletin d'information des traducteurs littéraires de la France, janvier 1976, no. 7. Paul Celan, l'un des plus grands traducteurs de poésie, nie à son tour le bilinguisme de celle-ci : " Je ne crois pas au bilinguisme de la poésie. [...] La poésie c'est le langage dans son unicité fatale. " V. Paul Celan, cité par Alexis Nouss, " Dans la ruine de Babel : poésie et traduction chez Paul
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littéraires de la France, janvier 1976, no. 7. Paul Celan, l'un des plus grands traducteurs de poésie, nie à son tour le bilinguisme de celle-ci : " Je ne crois pas au bilinguisme de la poésie. [...] La poésie c'est le langage dans son unicité fatale. " V. Paul Celan, cité par Alexis Nouss, " Dans la ruine de Babel : poésie et traduction chez Paul Celan ", în op. cît., p. 31. C'est nous qui soulignons. 604 V. Român Jakobson, Essai de linguistique générale, op. cît
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ce critère. Elle a un sens, et pourtant elle n'est pas paraphrasable. C'est nous qui soulignons. 614 Idem, p. 130. C'est nous qui soulignons. V. aussi Idem, p. 129-130 : " La poéticité du poème est le produit de son sens. [...] Le critère du sens c'est la traductibilité et le langage poétique est tout à la fois inintelligible et intraduisible. " 615 V. Idem, p. 131. 616 Idem, p. 37-38. 617 Gérard Genette, Mimologiques. Voyages en Cratylie, op. cît., p.
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Parme, Poésie et traduction, op. cît., p. 1 : " Tout porterait à nous convaincre que la "traduction" ne serait, en définitive, qu'un attentat prémédité contre la lettre et l'esprit d'un texte, et qui provoquerait l'irrespect abusif de son "fond" et de șa "forme". Et cet irrespect semble, hélas se manifester surtout dans le domaine de la Poésie. " 640 Lin Chu, " Traduire l'intraduisible ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique
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poétique ne doit pas constituer un obstacle à la traduction, elle étant marquée par la relativité: " Le fixisme d'une forme poétique est une vue d'esprit. [...] L'œuvre dure tânt qu'elle est capable de paraître tout autre que son auteur l'avait faite ". V. Paul Valéry, Țel Quel I, dans Œuvres complètes, tome ÎI, op. cît., p. 561. 657 Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 258. 658 V. par exemple Yves Bonnefoy, " Traduire la poésie (I) ", în
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agissent sur la traduction. Leur activité est l'oralité. La littérature est să réalisation maximale. " 669 Idem, p. 11 : " Je travaille à faire entendre le conținu, qui cache le discontinu du signe. Le conținu rythme syntaxe prosodie, qui détermine à son tour le conținu langage poème éthique politique. " C'est nous qui soulignons. 670 V. Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 23 : " Poème et traduction sont-ils d'ailleurs autre chose que dialogues entre
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ne franchissent pas leș bornes du monde esthétique du poète. " Idem, p. 23. 741 Idem, p. 26. 742 V. Jacques Derrida, Schibboleth pour Paul Celan, Éditions Galilée, Paris, 1986, p. 88 : " le poème lui-même est déjà un țel événement herméneutique, son écriture relève de l'herméneuien. " C'est nous qui soulignons. 743 Efim Etkind, Un Art en crise : essai de poétique de la traduction poétique, op. cît., p. 255. C'est nous qui soulignons. 744 Érik Vigneault, " Herméneutique et traduction poétique : quelques
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p. 81, consulté le 12 janvier 2010, URL : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/lfr 0023-8368 1981 num 51 1 5099: " Tout lecteur, critique, théoricien, traducteur interprète une œuvre littéraire. Mais c'est le traducteur qui se situe à un niveau différent, car son interprétation aboutit à la re-création. La traduction permet d'interpréter l'œuvre en tânt qu'ensemble et de dévoiler la subtile texture de șes différents éléments constitutifs. Au niveau stylistique, la traduction continue à influencer même leș œuvres autonomes du
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la traduction et la diffusion des œuvres, parce que le traducteur se concentre plutôt sur le signifié poétique et ne sent plus la contrainte de la forme, qu'il éprouve dans le cas des poésies à rime, mètre et mesure fixes. Son effort est donc orienté vers la complexité sémantique du texte source. Un poème à forme classique, comme Glossă d'Eminescu, est presqu'impossible à transposer en langue cible : le traducteur se sent accablé par la rime et la mesure des
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lor laudă somnului. ", în Lucian Blaga, Operă poetica, op. cît., p. 150). 797 Mircea Vaida, Pe urmele lui Lucian Blaga, op. cît., p. 18-24 : " Le village natal et șes alentours constitueront, dès le début, ce que Blaga même définissait, dans son originale théorie de l'"espace mioritique", comme l'"horizon spécifique". [...] Le village reçoit progressivement, dans l'évolution de la lyrique et de la pensée de Lucian Blaga, des attributs monadiques, d'univers fermé, métaphysique, point inaltérable de résistance dans le temps, cellule
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natal, "aux sonorités de larme" et, implicitement, dans une acception générale, le village-monade, devient, dans la dominante de l'horizon inconscient du poète et du philosophe, le cercle magnétique dans lequel vivent leș lourdes valences de șa vie et de son œuvre. " Notre traduction. 799 V. Lucian Blaga, Cunoașterea luciferica (La connaissance luciférienne), în Trilogia cunoașterii (Trilogie de la connaissance), Editura Regală pentru Literatură și Arta, București, 1943. Le concept seră développé plus tard dans ce chapitre. 800 Lucian Blaga, Autoportret (Autoportrait
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București, 1943. Le concept seră développé plus tard dans ce chapitre. 800 Lucian Blaga, Autoportret (Autoportrait), traduction de Sanda Stolojan, în Lucian Blaga, L' Étoile la plus triste, op. cît., p. 109 : " Lucian Blaga est muet comme un cygne./ Dans son pays/la neige des créatures tient lieu de parole./ Son âme interroge silencieuse,/séculaire est să quête,/dans le temps sans fin/jusqu'aux frontières ultimes. " (Texte source : " Lucian Blaga e mut că o lebădă./ În patria să/Zăpadă făpturii
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