3,704 matches
-
chapitre. 800 Lucian Blaga, Autoportret (Autoportrait), traduction de Sanda Stolojan, în Lucian Blaga, L' Étoile la plus triste, op. cît., p. 109 : " Lucian Blaga est muet comme un cygne./ Dans son pays/la neige des créatures tient lieu de parole./ Son âme interroge silencieuse,/séculaire est să quête,/dans le temps sans fin/jusqu'aux frontières ultimes. " (Texte source : " Lucian Blaga e mut că o lebădă./ În patria să/Zăpadă făpturii îi ține loc de cuvânt./ Sufletul lui e în căutare
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
Irina Petrescu, " Présentation de Lucian Blaga ", în Lucian Blaga " Le Grand Passage ", suivi de Nichita Stănescu " Une vision des sentiments ", Autres Temps, Marseille, 2003, p. 37. 804 Mircea Vaida, Pe urmele lui Lucian Blaga, op. cît., p. 21 : Enfermé dans son obsession, fidèle à de chimériques obstinations d'origine poétique, partout, tout ce que touche Blaga se transforme en poésie. " Notre traduction. 805 Jean Poncet, " Avant-propos en forme de biographie ", în Jean Poncet (dir.), Lucian Blaga ou le chant..., op. cît
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
insoupçonnées, réunit leș colloques internationaux Lucian Blaga, mai 1995 mai 1996, organisés par le Centre Culturel Roumain de Paris, supplément à " Cahiers Bleus ", collection " Leș colloques internationaux Lucian Blaga ", Troyes, 1996, p. 56. 811 La décision de Blaga d'écrire son œuvre seulement en roumain explique, selon certains de șes exégètes, le fait que cette œuvre est méconnue en Europe. V. Edgar Papu, " Galaxia Blaga-Brâncuși ", în Din clasicii noștri. Contribuții la ideea unui protocronism românesc, Editura Eminescu, București, 1977, p. 158
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
le titre Pierres pour mon temple (1919). V. la présentation monographique. 874 Jean Poncet, " Oser traduire Blaga ", în Leș marches insoupçonnées, op. cît., p. 59. 875 Îl y a des exégètes de Blaga qui considèrent qu'entre să poésie et son système philosophique îl y a une différence de valeur. V. Mircea Vaida, Lucian Blaga. Afinități și izvoare, Editura Minerva, București, 1975 : " Lucrările sale filosofice intersează, în afară importanței pur istorice în cronologia gândirii românești, mai ales în măsura în care ele îl relevă
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
conferă organicitatea și dinamica evoluției. Nous savons bien que Lucian Blaga n'a pas été seulement poète. Îl est le premier écrivain roumain qui ait atteint le niveau supérieur dans deux domaines de la culture : poésie et philosophie. [...] Ces régions de son œuvre communiquent, bien sûr, entre elles, du point de vue de leur substance et même du point de vue stylistique, parce qu'elles ont une souche ou une veine commune. Cela n'affecte pourtant pas leur autonomie, de façon que
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
des formules comme "le poète-philosophe" ou "le philosophe-poète" ne fassent que porter atteinte à l'interprétation correcte de l'œuvre du poète et de l'œuvre du philosophe. Îl faut donc analyser la poésie de Lucian Blaga en soi-même, observer son unicité et leș fondements qui lui confèrent l'organicité et la dynamique de l'évolution. " Notre traduction.) 887 Dans son Panoramă..., Basil Munteano parle de la création de Blaga comme d'une œuvre générée par le mystère cosmique. Le mystère est
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
du poète et de l'œuvre du philosophe. Îl faut donc analyser la poésie de Lucian Blaga en soi-même, observer son unicité et leș fondements qui lui confèrent l'organicité et la dynamique de l'évolution. " Notre traduction.) 887 Dans son Panoramă..., Basil Munteano parle de la création de Blaga comme d'une œuvre générée par le mystère cosmique. Le mystère est, en même temps, son unique motivation : " Une poésie cosmique : chaque geste du poète se répercute dans l'infini et réveille
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
fondements qui lui confèrent l'organicité et la dynamique de l'évolution. " Notre traduction.) 887 Dans son Panoramă..., Basil Munteano parle de la création de Blaga comme d'une œuvre générée par le mystère cosmique. Le mystère est, en même temps, son unique motivation : " Une poésie cosmique : chaque geste du poète se répercute dans l'infini et réveille des échos d'un autre monde. Dès le premier vers, l'esprit se libère de șes attaches matérielles, abandonne șes fonctions coutumières et s
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
limbajul%20inconstientului/schita a filosofiei lui blaga.pdf. 927 V. Joël Figari, " Lucian Blaga ou le dernier système philosophique ", consulté le 28 juillet 2011, URL: http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/articles.php?lng=fr&pg=53. 928 V. Ibid. Blaga avance cette idée dès son poème programmatique Eu nu strivesc corola de minuni a lumii (Je n'écrase pas la corolle de merveilles du monde), qui ouvre son premier recueil, Poèmes de la lumière. 929 V. Lucian Blaga, Trilogia culturii (Orizont și stil. Spațiul mioritic. Geneză
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
ac-grenoble.fr/PhiloSophie/articles.php?lng=fr&pg=53. 928 V. Ibid. Blaga avance cette idée dès son poème programmatique Eu nu strivesc corola de minuni a lumii (Je n'écrase pas la corolle de merveilles du monde), qui ouvre son premier recueil, Poèmes de la lumière. 929 V. Lucian Blaga, Trilogia culturii (Orizont și stil. Spațiul mioritic. Geneză metaforei și sensul culturii), cuvânt înainte de Dumitru Ghișe, Editura pentru Literatură Universală, București, 1969. 930 V. Jean Poncet, " Oser traduire Blaga ", în Leș
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
est répandue jusqu'au-delà des Carpates, et qui dit que bientôt paraîtront quelques traductions qui t'appartiennent. " Notre traduction. 963 En ce qui concerne l'anglais, on apprend des données biographiques que Blaga ne le maîtrisait pas très bien ; dans son travail îl était aidé par să femme, Cornelia, ou par Flori Gavrilă, maître de conférences d'anglais. V. le témoignage de Blaga dans Ion Bălu, Viața lui Lucian Blaga, op. cît., vol. 4, p. 365 : " De multe ori ne consfătuiam
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
către Orfeu. [...] O poezie a sensibilității metafizice, a obscurului, si aceasta în așa măsură că versurile rilkiene au fecundat într-un fel, cum în timpul vieții poetului încă nu se putea bănui, filosofia modernă. La poésie de Rilke reste, en effet, son et musique, mais elle s'approfondit toujours, du Livre d'heures jusqu'aux Élégies de Duino et aux Sonnets à Orphée. [...] Une poésie de la sensibilité métaphysique, de l'obscur, et cela dans une telle mesure que leș vers de Rilke
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
partiellement à la va-vite, souvent hardies. Coșbuc a été au dessus de soi-même en traduisant Dante, mais sans de vastes échos. Ștefan O. Iosif a traduit beaucoup et honnêtement, mais îl a choisi parfois une poésie trop grave pour son pouvoir. " Notre traduction.) 988 Ibid : " Ces poètes ne nous ont pas donné la traduction chef d'œuvre. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 989 Ibid : " De cette manière, nous sommes arrivés à la situation déplorable où "la traduction" est
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
pură a obiectului sau. Asemenea posibilități sunt date doar în lumea mecanică și fizica, dar nu în lumea complexă a fenomenelor spirituale. Un poète, traduisant un autre poète, n'a aucunement la possibilité de se transformer en miroir pur de son objet. De telles possibilités existent seulement dans l'univers mécanique et physique, et non dans l'univers complexe des phénomènes spirituels. ") 1011 Ibid : " Une traduction poétique valable en soi et par soi est, par toutes șes conditions, objectives et subjectives
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
său în literatura universală. " (" Mais abordons aussi certaines questions de technique littéraire. [...] J'ai rencontré de nombreux problèmes de technique littéraire en traduisant Faust. L'œuvre cosmologique de Goethe est une synthèse de genres et de formes poétiques, unique dans son style dans la littérature universelle. " Notre traduction.) 1018 Ibid : " Chaque fois que je me suiș retrouvé devant des fragments caractérisés premièrement par leur substance poétique, j'ai essayé de rendre dans la manière la plus fidèle possible cette même substance
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
traduction " correcte ", qui respecte la lettre du texte source stricto sensu, sans en saisir leș effets subtils ou leș implications plus profondes. 1027 Idem, p. 124-125 : " Je ne peux pas m'imaginer un traducteur de poésie qui n'aime pas son œuvre comme une création originale. Ainsi, le traducteur doit se mesurer avec le texte source. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 1028 Idem, p. 124 : " La traduction, quelque réussie qu'elle soit, reste le plus souvent inférieure au texte
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
1029 Ibid : " L'expérience que j'ai eue en traduisant des poèmes plus vastes, parmi lesquels Faust, me pousse à croire que la tentative de traduire une œuvre poétique plus ample a sans doute d'autres chances de réussite. Dans son l'effort de traduction d'œuvres poétiques de grandes dimensions, le traducteur a la possibilité de se mesurer avec le texte source. Dans un poème plus vaste, le traducteur peut trouver des situations où, grace à la langue dans laquelle
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
World War Two ", în op. cît., p. 851: " Blaga est le traducteur le plus important de cette période, et să participation au projet național de traduction a apporté au projet respectif une grande crédibilité, et a permis la réaffirmation de son importance. Blaga représentait une autorité culturelle incontestable dans le projet de traduction des œuvres russes, même s'il a traduit seulement quelques poèmes à partir de cette langue. La traduction la plus importante de Blaga à cette époque a été
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
Bukarest, 1970, 188 p. 1052 V. Lucian Blaga, Nouăzeci de poezii Novanta liriche, traduit par Mariano Baffi, avant-propos par Edgar Papu, Minerva, Bucarest, 1971, 296 p. Mariano Baffi a réuni șes réflexions sur la traduction de la poésie de Blaga dans son article " La poesia di Lucian Blaga : Impressioni di un traduttore ", în La România alla ricerca di Romă, Nagard, Milano, 1984, p. 202-224. 1053 V. Lucian Blaga, În marea trecere (En el gran correr) : Poeme, traduction et avant-propos par Darie Novăcescu
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
Martinet, Elemente de lingvistică generală, Editura Științifică, București, 1970 ; Tzvetan Todorov, Poetica. Gramatică Decameronului, Editura Univers, București, 1975. 1102 V. Paul Miclău, Signes poétiques, Editura Didactica și Pedagogica, București, 1983. Selon Marină Mureșanu Ionescu, cet ouvrage était déjà annoncé par son activité de linguiste, pédagogue et traducteur de poésie : " Par ailleurs, le livre est aussi un bilan personnel de l'auteur, qui se relève ici dans leș trois hypostases : le linguiste, connu des ouvrages antérieurs Le signe linguistique, 1970, La sémiotique
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
a fait que s'amplifier depuis. Parce que să pensée, comme la mienne, repose sur un fond de mysticisme. Parce qu'elle est d'un constant va-et-vient entre le réel terrestre et des intuitions célestes. Le plus souvent, elle prend son essor depuis la terre, dans l'expérience quotidienne du village par exemple, pour s'élever vers un sentiment cosmique d'éternité. " C'est nous qui soulignons. 1217 Ibid. C'est nous qui soulignons. 1218 Ibid. Pour Jean Poncet, tout comme
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
George Astalos parle de la préoccupation commune de ces deux écrivains pour le style, à des époques et dans des espaces culturels différents : " La tentative de présenter Lucian Blaga au public français conduit à un parallèle, fût-il fulgurant, entre lui et son homologue d'une petite vingtaine d'années plus jeune, Emil Cioran, dont la majorité écrasante de l'œuvre fut conçue en France. Ce parallèle est d'autant plus justifié que tânt Blaga que Cioran se șont penchés, en leur temps
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
vie de l'esprit, îl arrive un moment où l'écriture", dit Cioran, "s'érigeant en principe autonome, devient destin. C'est alors que le Verbe, tânt dans leș spéculations philosophiques que dans leș productions littéraires, dévoile să vigueur et son néant. " On s'est arrêté sur ces considérations de Cioran parce que, mieux que cela, on ne pourrait point cerner la fugue de la pensée et de la création littéraire de Blaga. Une fugue vers la richesse "cosmologique" de la diversité. " V. George
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
e necesar, e provocat, cerut parcă de logică poetica a textului. " V. Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 155. (" L'hiatus est la marque d'une unité et d'une liaison supralinguistique. L'espace blanc, dans son essence, n'apparaît pas comme aberrant, bien au contraire : îl est nécessaire, provoqué, îl semble être demandé par la logique même du texte. " Notre traduction.) 1336 Nous avons emprunté de Meschonnic le terme " intratypographique ", mais nous l'avons adapté aux
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
évidents. La tendance à simplifier la signifiance du poème par la suppression des éléments formels ou sémantiques se manifeste à maintes reprises dans la traduction de Paul Villard, ce qui nous a déterminée à déclarer qu'elle fait pârtie de son style traductif. Un exemple supplémentaire : leș vers " mi-am pipăit/încet,/încet/trecutul că un orb " șont traduits par " j'ai tâté/doucement/mon passé comme un aveugle " (Lucian Blaga, Leagănul (Le berceau), în Pașii profetului, édition trilingue, préface par
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]