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de ieri (La lumière d'hier), p. 167 ; Moară (Le moulin), p. 472 poème construit sur une reprise, symétrique ou quasi-symétrique, du premier vers ; Strigat în pustie (Cri dans le désert), p. 81 poème qui comprend une répétition des mêmes vers à la fin des strophes ; Trei fete (Trois visages), p. 37 poème qui est en effet un jeu de mots construit sur une reprise ; Ce aude unicornul (Ce qu'entend la licorne), p. 437 poème dont chaque strophe commence par
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mots construit sur une reprise ; Ce aude unicornul (Ce qu'entend la licorne), p. 437 poème dont chaque strophe commence par leș mêmes mots ; Oglindă din adânc (Le miroir des profondeurs), p. 471 poème qui contient quatre répétitions du même vers. 5. Suppression du tiret dans la traduction de Veturia Drăgănescu-Vericeanu : V. Lucian Blaga, Poèmes, Traduction et Avant-propos par Veturia Drăgănescu-Vericeanu, op. cît. : Poetul (Le poète), p. 217 1 cas ; Cuvinte către față necunoscută din poartă (Paroles pour la jeune fille
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poétique, la Lettre volée, Collection Palimpsestes, Bruxelles, 2003. VERMEER, Hans, A Skopos Theory of Translation, Textcontext Wissenchaft, Heidelberg, 1996. VINAY, Jean-Paul, DARBELNET, Jean, Stylistique comparée du français et de l'anglais, Didier, Paris, 1977. VISCHER, Mathilde, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, Éditions Kimé, Paris, 2009. WARREN, Rosanna (dir.), The Art of Translation: Voices from the Field, North-eastern University Press, Boston, 1989. WILLS, Wolfram, The Science of Translation, Narr, Tubingen, 1982. ZUMTHOR, Paul
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réalité artistique, H. Champion, Paris, 2008. BONNEFOY, Yves, " La traduction de la poésie. Une conférence d'Yves Bonnefoy à l'ATLF (27 octobre 1975) ", în Bulletin d'information des traducteurs littéraires de la France, janvier 1976, no. 7. BONNEFOY, Yves, " Traduire en vers ou en prose ", préface aux Poèmes, Éditions du Mercure de France, 1993. BONNEFOY, Yves, " Traduire la poésie (I) ", în La Communauté des traducteurs, Presses universitaires de Strasbourg, 2000. BOUCHARD, Jacques, " Le son, le sens et le silence en traduction poétique
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sur la traduction littéraire en tânt que processus exégétique spécifique et variété de la traduction des œuvres ", în Exégèse et traduction littéraire. Méthode de formation et traduction littéraire (français-roumain, roumain-français), Université Libre de Moldova, Chișinău, 2005, p. 11. 43 Nous analysons, vers la fin de ce chapitre, leș enjeux de la traduction dans le cadre contemporain. 44 V. Claude Tatilon, " Traduction : une perspective fonctionnaliste ", în La linguistique, vol. 39, 2003, p. 110, consulté le 2 juillet 2011, URL : www.cairn.info/load pdf.php?ID ARTICLE
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2 avril 2011, URL : http://id.erudit.org/revue/meta/1990/v35/n1/003370ar.pdf), Jean-René Ladmiral combat également l'idée de la traduction vue comme l'identique du texte source dans la culture cible : " Și l'on se tourne maintenant vers leș controverses qui touchent leș traductions, on verra qu'assez généralement ceux qui critiquent une traduction le font en reprochant au traducteur de s'être écarté du texte original : comme și la traduction se trouvait inconsciemment définie en termes d
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qui soulignons. 82 V. Antoine Berman, L'épreuve de l'étranger. Culture et traduction dans l'Allemagne romantique, op. cît., p. 172. 83 Le concept de " texte-traduction " est employé également par Mathilde Vischer. V. Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, Éditions Kimé, Paris, 2009. 84 Nous développons le thème de la traduction en tânt que fait social dans la Section 3. 2. de ce chapitre, section consacrée à l'approche sociolinguistique de la traduction
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une linguistique comparée du français et de l'allemand (Vernay), une linguistique comparée du français et du roumain (Cristea, Țenchea), une stylistique comparée du français et de l'anglais (Vinay-Darbelnet) ou du français et de l'allemand (Malblanc), toutes orientées vers l'activité traduisante. C'est la linguistique appliquée qui est venue remplacer la linguistique comparée au moment où l'on s'est aperçu que le processus de transfert d'une langue à une autre relève des opérations de compréhension et
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terminotique. (Idem, p. 7). 94 V. Maryvonne Boisseau, " Le discours de la traductologie en France (1970-210) : analyse et critique ", în Revue française de linguistique appliquée, vol. XIV, no. 1, 2009, p. 12 : " Une seconde évolution serait celle des disciplines institutionnelles traditionnelles vers une séparation moins stricte, entraînant une plus grande interdisciplinarité. La traduction devient alors la discipline transdisciplinaire par excellence littéraire, linguistique et culturelle -, et acquiert petit à petit un nouveau statut, encore très fragile, de discipline de recherche à part entière
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recherche, croyons-nous, rend possible l'articulation de la pratique à la théorie. " 105 Jacqueline Guillemin-Flescher, " Le linguiste devant la traduction ", în Fabula 7. Traduire, Presses universitaires de Lille, Lille, 1986, p. 59 : " [...] la réflexion des traducteurs littéraires s'oriente, en général, vers la façon dont îl faut traduire, alors que le linguiste ne peut réfléchir que sur la façon dont on traduit, [...] sur le produit fini. On pourrait penser que cela revient au même. On s'aperçoit en fait qu'il s
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est vrai : en traduction littéraire, îl faut respecter, plus encore qu'en traduction technique, leș choix de l'auteur du texte, et cela vient ajouter une difficulté à toutes leș autres. " 206 L'interprétation est valable aussi pour la traduction vers le roumain : même și l'image transmise par le proverbe français existe en tânt que țel en roumain (" a alerga după doi iepuri " = " courir deux lièvres à la fois "), le traducteur peut déverbaliser et trouver ensuite une autre " image " qui
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collection " Points ", Paris, p. 427 : " L'une cherche à déchiffrer, rêve de déchiffrer une vérité ou une origine échappant du jeu du signe, et vit comme un exil la nécessité de l'interprétation. L'autre, qui n'est plus tournée vers l'origine, affirme le jeu et tente de passer au-delà de l'homme et de l'humanisme [...]. " 239 Umberto Eco, Leș limites de l'interprétation, traduit par Myriem Bouzaher, Grasset, Paris, 1992, p. 369. 240 Jean-René Ladmiral, " Le "salto mortale
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passeport pour accéder à l'autre ", în Traduction et mondialisation, op. cît., p. 135 : " La traduction est l'autre face de la mondialisation, certes moins visible et spectaculaire, mais tout aussi fondamentale, car îl n'y a pas d'ouverture possible vers autrui sans respect des identités culturelles, au premier rang desquelles leș langues, et donc leș traductions. " 277 V. Idem, p. 141-143 : " La traduction ? L'antimodèle de la vitesse, de la rationalité et de l'objectivité ; la valorisation de l'intelligence humaine, du
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Comme le lecteur de la traduction lit un texte qui a déjà été lu et investi par le traducteur, leș traces inscrites dans le texte șont forcément, au moins en pârtie, celles de ce dernier. " V. Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, op. cît., p. 43-44. 325 Antonio Rodriguez, Le pacte lyrique : configuration discursive et interaction affective, Pierre Mardaga, Sprimont, 2003, p. 88. 326 Maurice Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, Gallimard, Paris, 1945, p.
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op. cît. 349 V. Idem, p. 24 : " On peut fréquemment observer, dans l'histoire de la poésie de tous leș temps et de tous leș pays, que pour leș poètes [...] "seul importe le son". Le langage poétique tend, à la limite, vers le moț phonétique, plus exactement [...] euphonique, vers le discours transmental. " 350 Idem, p. 60. 351 Jean-Claude Coquet, " Poétique et linguistique ", în Algirdas Julien Greimas, Essais de sémiotique poétique, op. cît., p. 41. 352 Român Jakobson, Questions de poétique, op. cît
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On peut fréquemment observer, dans l'histoire de la poésie de tous leș temps et de tous leș pays, que pour leș poètes [...] "seul importe le son". Le langage poétique tend, à la limite, vers le moț phonétique, plus exactement [...] euphonique, vers le discours transmental. " 350 Idem, p. 60. 351 Jean-Claude Coquet, " Poétique et linguistique ", în Algirdas Julien Greimas, Essais de sémiotique poétique, op. cît., p. 41. 352 Român Jakobson, Questions de poétique, op. cît., p. 485. 353 On entend par leș
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produit par un destinateur (à fonction émotive) dans un certain contexte (à fonction référentielle), prenant en compte un contact (à fonction phatique) et à l'aide d'un code de communication (qui a une fonction métalinguistique). Le message est envoyé vers un destinataire, qui a une fonction conative. V. Român Jakobson, Essais de linguistique générale, op. cît. 355 Abraham Moles, Théorie de l'Information et Perception Esthétique, Flammarion, Paris, 1958, p. 19. 356 Henri Meschonnic, Pour la poétique III : une parole
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introvertie à l'égard des signes verbaux, dans leur union du signifiant et du signifié, et elle acquiert une position dominante dans le langage poétique. Celui-ci exige de la part du linguiste un examen particulièrement méticuleux, d'autant plus que le vers pârâit appartenir aux phénomènes universaux de la culture humaine. " C'est nous qui soulignons. 364 Daniel Delas et Jacques Filliolet, Linguistique et poétique, op. cît., p 351. 365 Idem, p. 41-42. C'est nous qui soulignons. 366 Român Jakobson, Essais de
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397 À notre avis, cette approche ne tient pas compte d'autres genres littéraires, comme le poème en prose, qui pourrait être construit, lui aussi, selon des contraintes formelles (la rime irrégulière ou le rythme intérieur), ou leș poèmes à vers libre. (C'est le cas des poèmes de Blaga, qui, apparemment, șont des poèmes à vers libre, mais qui conservent, comme nous le montrons plus loin, certaines constantes prosodiques, comme la rime, le rythme ou la mesure, qui leur confèrent
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poème en prose, qui pourrait être construit, lui aussi, selon des contraintes formelles (la rime irrégulière ou le rythme intérieur), ou leș poèmes à vers libre. (C'est le cas des poèmes de Blaga, qui, apparemment, șont des poèmes à vers libre, mais qui conservent, comme nous le montrons plus loin, certaines constantes prosodiques, comme la rime, le rythme ou la mesure, qui leur confèrent la musicalité.) 398 Nous présentons en détail l'importance des éléments typographiques du poème dans leș
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confèrent la musicalité.) 398 Nous présentons en détail l'importance des éléments typographiques du poème dans leș deux derniers chapitres consacrés à l'analyse des traductions. 399 V. Român Jakobson, La charpente phonique du langage, op. cît., p. 262-263 : " Le vers libre n'est jamais qu'une forme atténuée du vers, un compromis entre poésie et langage ordinaire, qui, dans toute communauté linguistique, présuppose l'existence des formes plus strictes de versification. " C'est nous qui soulignons. 400 Ibid. C'est
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