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des éléments typographiques du poème dans leș deux derniers chapitres consacrés à l'analyse des traductions. 399 V. Român Jakobson, La charpente phonique du langage, op. cît., p. 262-263 : " Le vers libre n'est jamais qu'une forme atténuée du vers, un compromis entre poésie et langage ordinaire, qui, dans toute communauté linguistique, présuppose l'existence des formes plus strictes de versification. " C'est nous qui soulignons. 400 Ibid. C'est nous qui soulignons. 401 Jean Cohen, Structure du langage poétique
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de versification. " C'est nous qui soulignons. 400 Ibid. C'est nous qui soulignons. 401 Jean Cohen, Structure du langage poétique, op. cît., p. 47. C'est nous qui soulignons. 402 En ce sens, Jean Cohen rappelle la critique des vers de Baudelaire faite par Valéry : " Ainsi Valéry reprochait à Baudelaire d'avoir enterré "să servante au grand cœur" sous une "humble pelouse" pour rimer avec "jalouse", préférant ainsi "la rime à la raison". " V. Idem, p. 11. 403 Abraham Moles
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Jésus-Christ, Platon fait la liaison intime entre mots et musique, le trăit le plus caractéristique de la poésie à l'Âge lyrique. Horace, qui découvre leș poètes du canon dans leș éditions alexandrines, considère que leș thèmes et la structure des vers șont ceux qui définissent le mieux ce type de poésie. De leur côté, leș poéticiens de la Renaissance étudient dans toute son ampleur le problème du statut élocutif du poète lyrique et le convertissent en un élément fondamental de la description de
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qu'elle a eu des limites, elle en sort. " 493 Idem, p. 61. 494 V. Michel Camus, Transpoétique : la main cachée entre poésie et science, op. cît., p. 42 : " [...] on pourrait appeler transpoétique la voie transfiguratrice du poète sourcier orientée vers l'autoconnaissance et l'unité de la connaissance. Visée qui traverse et dépasse la poésie. [...] Le poète sourcier tend à réconcilier leș sœurs ennemies de la poésie et de la philosophie. C'est nous qui soulignons. 495 V. Michel Camus, " L'essentiel ", în
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par le Centre Culturel Roumain de Paris, Troyes, supplément à " Cahiers Bleus ", collection " Leș colloques internationaux Lucian Blaga ", 1996. 496 La notion de " sourcier ", employée par Michel Camus, diffère de l'acception consacrée en traductologie, signifiant " poète qui s'oriente vers l'inaccessible source de la vie, vers l'unité de la connaissance ". 497 V. Lucian Blaga, Fum căzut (Fumée basse), în Opera poetica, Humanitas, Bucarest, 2010, p. 137. 498 Michel Camus, Transpoétique : la main cachée entre poésie et science, op. cît., p.
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Paris, Troyes, supplément à " Cahiers Bleus ", collection " Leș colloques internationaux Lucian Blaga ", 1996. 496 La notion de " sourcier ", employée par Michel Camus, diffère de l'acception consacrée en traductologie, signifiant " poète qui s'oriente vers l'inaccessible source de la vie, vers l'unité de la connaissance ". 497 V. Lucian Blaga, Fum căzut (Fumée basse), în Opera poetica, Humanitas, Bucarest, 2010, p. 137. 498 Michel Camus, Transpoétique : la main cachée entre poésie et science, op. cît., p. 42. C'est nous qui soulignons
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soit-elle. " C'est aussi le cas de Paul Miclău et de Jean Poncet, traducteurs de l'œuvre de Blaga, comme nous le montrons au Chapitre IV de notre thèse. V. également, à ce titre, Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, op. cît. 543 Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, p. 9-11. C'est nous qui
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qui, selon Meschonnic, dans le cas de la mauvaise poésie, se voudrait strophe (V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 266.) Par " signifiant " nous comprenons leș éléments prosodiques, qui relèvent de la présentation proprement dite du poème (rime, mesure des vers, rythme), leș sonorités (effets phoniques, allitérations, assonances, etc.), mais aussi leș particularités d'ordre visuel. Ces traits peuvent constituer des difficultés redoutables, surtout și le traducteur a l'ambition d'obtenir en langue cible le même effet que dans la
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par conséquent avoir une signification tout à fait différente et produire l'opposé d'une interprétation fidèle. Une solution est de rechercher un équivalent culturel (țel que le pentamètre iambique en Anglais pour leș Alexandrins Français) ou un équivalent temporel (vers moderne libre pour leș formes de vers classiques du passé). " C'est nous qui soulignons. 654 Jacques Garelli, Rythmes et mondes, Million, Grenoble, 1991, p. 133. 655 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît
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fait différente et produire l'opposé d'une interprétation fidèle. Une solution est de rechercher un équivalent culturel (țel que le pentamètre iambique en Anglais pour leș Alexandrins Français) ou un équivalent temporel (vers moderne libre pour leș formes de vers classiques du passé). " C'est nous qui soulignons. 654 Jacques Garelli, Rythmes et mondes, Million, Grenoble, 1991, p. 133. 655 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît, p. 7. C'est nous qui soulignons
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et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 95-96. C'est nous qui soulignons. 666 V. Henri Meschonnic, Au commencement. Traduction de la Genèse, op. cît., p. 81. 667 Yves Bonnefoy, " Traduire en vers ou en prose ", préface aux Poèmes, Éditions du Mercure de France, 1993, p. 8. C'est nous qui soulignons. La voix poétique a connu să légitimation dans la société moderne, par exemple avec l'apparition des " talk-poems ", qui montrent que
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la joue du métricien métronome... Allez leș métriciens, îl vous suffit d'un poème pour perdre pied... " 684 Idem, p. 131. C'est nous qui soulignons. 685 La terminologie émane de Mathilde Vischer. V. Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, op. cît., p. 34-35. 686 Alexandre Eyries, " Henri Meschonnic ou la saveur de l'écoute ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique
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Le texte biblique hébreu est donc une rythmique sémantique du conținu. Or nous pensons le langage dans leș termes du dualisme grec, du sémiotique. Dans leș termes d'une hétérogénéité radicale et d'une opposition binaire, et confuse, entre le vers et la prose, entre la poésie et la prose. " V. Henri Meschonnic, " Embibler, taamiser le traduire ", în Leș enjeux de la traduction littéraire, textes réunis et présentés par Jacqueline Michel, avec la collaboration de Marléna Braester et Isabelle Dotan, Publisud, Paris
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survivance résistante et dégradée d'une métaphysique. " C'est nous qui soulignons. 690 Cette opinion est formulée aussi par Valéry : " Je m'assurais que la pensée n'est qu'accessoire en poésie et que le principal d'une œuvre en vers, que l'emploi même des vers proclame, c'est le tout, la puissance résultante des effets composés de tous leș attributs du langage. " V. Paul Valéry, " Variations sur leș Bucoliques ", în Œuvres complètes, tome ÎI, op. cît., p. 216. 691
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métaphysique. " C'est nous qui soulignons. 690 Cette opinion est formulée aussi par Valéry : " Je m'assurais que la pensée n'est qu'accessoire en poésie et que le principal d'une œuvre en vers, que l'emploi même des vers proclame, c'est le tout, la puissance résultante des effets composés de tous leș attributs du langage. " V. Paul Valéry, " Variations sur leș Bucoliques ", în Œuvres complètes, tome ÎI, op. cît., p. 216. 691 Geneviève Roux-Faucard, Traduction et retraduction du
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ce qui est rare), la poésie se fane et meurt ; leș poètes l'ont toujours déploré. " 715 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 264 : " En apparence, îl n'y a que deux partis à prendre, devant des vers à traduire, celui de traduire en vers, celui de traduire en prose. Mais îl faut voir ce qu'on entend par des vers, et ce qu'on entend par la prose. Et leur rapport à ce qu'on entend par
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fane et meurt ; leș poètes l'ont toujours déploré. " 715 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 264 : " En apparence, îl n'y a que deux partis à prendre, devant des vers à traduire, celui de traduire en vers, celui de traduire en prose. Mais îl faut voir ce qu'on entend par des vers, et ce qu'on entend par la prose. Et leur rapport à ce qu'on entend par un poème. " C'est nous qui soulignons
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op. cît., p. 264 : " En apparence, îl n'y a que deux partis à prendre, devant des vers à traduire, celui de traduire en vers, celui de traduire en prose. Mais îl faut voir ce qu'on entend par des vers, et ce qu'on entend par la prose. Et leur rapport à ce qu'on entend par un poème. " C'est nous qui soulignons. 716 V. Efim Etkind, Un Art en crise: essai de poétique de la traduction poétique, op. cît
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consulté le 2 février 2011, URL : http://www.erudit.org/revue/ttr/1999/v12/n2/037378ar.pdf. 745 Idem, p. 187. C'est nous qui soulignons. 746 L'expression émane de Mathilde Vischer. V. Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, op. cît., p. 237. V. aussi Yves Bonnefoy, La communauté des traducteurs, Presses Universitaires de Strasbourg, Strasbourg, 2000, p. 78. À la question " Faut-il être poète pour traduire la poésie ? ", Yves
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773 V. Lucian Blaga, Somn (Sommeil), traduction de Sanda Stolojan, în Lucian Blaga, L' Étoile la plus triste, éd. Orphée, La Différence, 1992, p. 59 : " Dans mon sommeil le sang me quitte/comme une vague/qui se retire/et reflue vers leș ancêtres. " (Texte source : " În somn sângele meu că un val/se trage din mine/înapoi în părinți. ", în Lucian Blaga, Operă poetica, op. cît., p. 136). 774 V. Basil Munteano, " La poésie de Lucian Blaga... ", op. cît. 775 Idem
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est nous qui soulignons. 776 Idem, p. 189. 777 Idem, p. 191. C'est nous qui soulignons. 778 Nous développons le sujet dans le sous-chapitre 4, qui présente la pensée philosophique de Blaga. 779 Nous considérons que la présence du vers libre constitue un atout pour la traduction et la diffusion des œuvres, parce que le traducteur se concentre plutôt sur le signifié poétique et ne sent plus la contrainte de la forme, qu'il éprouve dans le cas des poésies à
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des œuvres, parce que le traducteur se concentre plutôt sur le signifié poétique et ne sent plus la contrainte de la forme, qu'il éprouve dans le cas des poésies à rime, mètre et mesure fixes. Son effort est donc orienté vers la complexité sémantique du texte source. Un poème à forme classique, comme Glossă d'Eminescu, est presqu'impossible à transposer en langue cible : le traducteur se sent accablé par la rime et la mesure des vers car, en théorie, îl
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effort est donc orienté vers la complexité sémantique du texte source. Un poème à forme classique, comme Glossă d'Eminescu, est presqu'impossible à transposer en langue cible : le traducteur se sent accablé par la rime et la mesure des vers car, en théorie, îl devrait adapter le contenu sémantique à une forme fixe correspondante en langue cible. La présence des vers libres et d'une prosodie moins rigide dans la poésie roumaine, à commencer avec la première moitié du vingtième
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presqu'impossible à transposer en langue cible : le traducteur se sent accablé par la rime et la mesure des vers car, en théorie, îl devrait adapter le contenu sémantique à une forme fixe correspondante en langue cible. La présence des vers libres et d'une prosodie moins rigide dans la poésie roumaine, à commencer avec la première moitié du vingtième siècle, expliquerait peut-être pourquoi la traduction des poèmes de Blaga a été bien accueillie en France, tandis que, malheureusement, la traduction
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op. cît., p. 17-30: " Comme toute monade, le village de Blaga est hermétiquement scellé, îl émane des énergies : par la poétisation, îl devient une réalité psychique fermée, ayant șes propres lois. [...] Le foyer est l'étoile polaire, le point fixe vers lequel se dirigent leș pas du poète, le pays qui l'appelle comme un destin. [...] Le village natal, "aux sonorités de larme" et, implicitement, dans une acception générale, le village-monade, devient, dans la dominante de l'horizon inconscient du poète
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