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Au fil du grand parcours), traduit du roumain et Avant-propos par Philippe Loubière, op. cît., p. 61. 1418 V. Lucian Blaga, În timp (Le long du temps), în Poèmes, Traduction et Avant-propos par Veturia Drăgănescu-Vericeanu, op. cît., p. 237. Leș vers " Faptele ce ar putea pentru mine mărturie să stea/în grădina, în lumina. " prennent la forme d'une interrogation en traduction : " Ceux [leș faits] qui pour moi seraient *temoins/dans le jardin, dans la lumière ? " À remarquer aussi l'erreur
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225, 267, 395, 403, 427, 445, 501 et respectivement 523. 1430 V. à titre d'exemple, Lucian Blaga, Cântecul somnului (La chanson du sommeil), în Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, traduction de Paul Miclău, op. cît., p. 477. Le vers " Le sommeil est bien doux ", traduction littérale du vers " Plăcut e somnul ", est à retrouver trois fois dans la traduction, respectant le découpage du poème de départ. 1431 V. par exemple Lucian Blaga, Lumina (La lumière), în Poemele luminii/Leș
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523. 1430 V. à titre d'exemple, Lucian Blaga, Cântecul somnului (La chanson du sommeil), în Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, traduction de Paul Miclău, op. cît., p. 477. Le vers " Le sommeil est bien doux ", traduction littérale du vers " Plăcut e somnul ", est à retrouver trois fois dans la traduction, respectant le découpage du poème de départ. 1431 V. par exemple Lucian Blaga, Lumina (La lumière), în Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, traduction de Paul Miclău, op. cît
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elle interprète librement le texte de Blaga. V. aussi Lucian Blaga, Ioan se sfâșie în pustie (Jean se lamente dans le désert), în L'étoile la plus triste, traduction de Sanda Stolojan, op. cît., p. 77 : Sanda Stolojan traduit le vers " Tu poate și astăzi o mai aștepți. " par une question " Se peut-il que tu l'attends encore ? " 1437 Le nom " Être ", qui commence par une majuscule, acquiert une signification hautement philosophique et peut évoquer, par exemple, le concept de " Dasein
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Stylistique comparée du français et de l'anglais, op. cît., p. 12. 1439 V. Lucian Blaga, Taină inițiatului (Le secret de l'initié), în Jean Poncet (dir.), Lucian Blaga ou le chant..., op. cît., p. 110. Jean Poncet traduit leș vers " Omule, ți-aș spune mai mult,/dar e-n zadar [...]. " par " Homme, je t'en dirais davantage,/mais à quoi bon ? [...]. " À remarquer aussi que le traducteur préserve dans son texte-traduction le tiret du texte d'origine, tout inédit qu
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du texte d'origine, tout inédit qu'il puisse paraître au lectorat français. 1440 V. aussi Lucian Blaga, Inscripție, în Opera poetica, op. cît., p. 257. Ce poème est construit entièrement sur cinq reprises de contenu, c'est-à-dire sur des vers en miroir. Nous citons ci-dessous leș deux premières reprises de contenu : " Drumurile, pe care nu umblam,/drumurile, ce rămân în noi,/ne duc și ele, fără număr, undeva./ Cuvintele, pe care nu le rostim,/cuvintele, ce rămân în noi,/descoperă
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noi,/ne duc și ele, fără număr, undeva./ Cuvintele, pe care nu le rostim,/cuvintele, ce rămân în noi,/descoperă și ele, fără de margini, făptura. " La traduction littérale est la plus appropriée dans cette situation, parce qu'elle préserve leș vers en miroir, cette particularité stylistique de Blaga : " Leș chemins que nous n'empruntons pas,/leș chemins qui demeurent en nous,/eux aussi, innombrables, nous mènent quelque part./ Leș paroles que nous ne prononçons pas,/leș paroles qui demeurent en nous
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6. 1442 V. Lucian Blaga, Canele din Pompei (Le chien de Pompéi), traduit par Alain Caumette, în Poeme alese, op. cît., p. 239. On peut lire " Venant jadis sur moi, par *laporte [...]. " En plus, le traducteur fait commencer parfois des vers qui ne représentent pas des débuts de phrases par une majuscule, fait qui montre qu'il n'a pas un style traductif propre, et qui indique également un mauvais travail de relecture. 1443 Paula Romanescu supprime souvent leș guillemets qui
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par Paula Romanescu, op. cît., p. 38. Par contre, dans la traduction du poème Lumină raiului (La lumière du paradis), în op. cît., p. 51, la traductrice préfère insérer des guillemets pour marquer une question rhétorique du moi lyrique : leș vers " Ca un eretic stau pe gânduri și mă-ntreb :/ De unde-și are raiul -/lumina ? " șont traduits par " Plongé dans mes rêveries païennes je me demande : "Le Paradis, d'où tient-il să lumière ?" " 1444 Un emploi des tirets similaire au style
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emploi des tirets similaire au style de Blaga peut être identifié dans la traduction du poème Dați-mi un trup voi munților (Vous leș montagnes, donnez-moi un corps !), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 65. Leș vers " Dați-mi un trup/voi munților,/marilor [...] !" șont traduits par " Vous leș montagnes, donnez-moi un corps !/Vous leș mers, en donnez-moi un autre ! " On remarque, entre autres, l'interprétation que donne la traductrice aux vers de Blaga : le moi lyrique
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op. cît., p. 65. Leș vers " Dați-mi un trup/voi munților,/marilor [...] !" șont traduits par " Vous leș montagnes, donnez-moi un corps !/Vous leș mers, en donnez-moi un autre ! " On remarque, entre autres, l'interprétation que donne la traductrice aux vers de Blaga : le moi lyrique demande, dans le texte-traduction, un corps aux montagnes et un autre aux mers. Pourtant, comme le titre le dit explicitement, le moi lyrique désire, suivant son élan expressionniste, un seul corps, plus grand, pour qu
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în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 59. 1454 V. Lucian Blaga, Psalm (Psaume), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 49-50. 1455 Même situation dans la traduction du poème Stalactita (La stalactite) : leș vers en miroir " Lin,/lin,/lin picuri de lumină [...] cad necontenit [...]. " șont traduits par " Et une à une,/Tout doucement,/Des gouttes de lumière [...]/Tombent sans arrêt [...]. " La traductrice omet la répétition de l'adverbe " doucement ", recrée le sens source et
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lin picuri de lumină [...] cad necontenit [...]. " șont traduits par " Et une à une,/Tout doucement,/Des gouttes de lumière [...]/Tombent sans arrêt [...]. " La traductrice omet la répétition de l'adverbe " doucement ", recrée le sens source et, par cela, supprime leș vers en miroir. V. Lucian Blaga, Stalactita (La stalactite), în 65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, op. cît., p. 26. V. aussi Lucian Blaga, Din părul tău (De țes cheveux), Idem, p. 34. 1456 Lucian Blaga, Vreau să joc! (Je veux
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trecere (Au fil du grand parcours), traduit du roumain et Avant-propos par Philippe Loubière, op. cît., p. 51. Le traducteur choisit d'insérer une virgule au lieu d'un point final, pour que le texte cible soit plus cohérent. Leș vers " În mine se mai vorbește și astăzi despre tine./ Din gene, ape moarte mi se preling. " șont traduits par " En moi aujourd'hui encore on parle de țoi,/Et des eaux mortes me coulent des cils. " 1467 Par rapport au
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majuscules à d'autres occasions aussi, même și dans le texte source leș mots respectifs commencent par une minuscule. Îl décide par exemple de faire commencer par une majuscule le pronom " Elle " désignant la Vierge lors de l'Annonciation : leș vers " [...] cu ciocul întins peste ea/o pasare, plutind, a scuturat o floare. " șont traduits par " Un oiseau, le bec droit vers Elle,/A, en voletant, troublé une fleur. " V. Lucian Blaga, În amintirea țăranului zugrav (En souvenir du paysan peintre
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par exemple de faire commencer par une majuscule le pronom " Elle " désignant la Vierge lors de l'Annonciation : leș vers " [...] cu ciocul întins peste ea/o pasare, plutind, a scuturat o floare. " șont traduits par " Un oiseau, le bec droit vers Elle,/A, en voletant, troublé une fleur. " V. Lucian Blaga, În amintirea țăranului zugrav (En souvenir du paysan peintre d'icônes), în În marea trecere (Au fil du grand parcours), traduit du roumain et Avant-propos par Philippe Loubière, op. cît
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În marea trecere (Au fil du grand parcours), traduit du roumain et Avant-propos par Philippe Loubière, op. cît., p. 25. Même situation dans la traduction du syntagme à connotations bibliques " fiul omului " (" le fils de l'homme "), désignant Jésus. Leș vers " În curând fiul omului va căuta un loc/unde să-și culce capul [...]. " șont traduits par " Bientôt le Fils de l'homme cherchera un lieu/ Où reposer Să tête [...]. " V. Lucian Blaga, Bunăvestire (Annonciation), în În marea trecere (Au fil
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Loubière, op. cît., p. 63. 1469 Philippe Loubière fait commencer par une majuscule leș pronoms qui désignent Dieu dans le discours poétique de Blaga, même și ces pronoms commencent par une minuscule dans le texte source. V. par exemple leș vers " [...] la rădăcinile tale mă-ngrop,/Dumnezeule, pom blestemat. " qui șont traduits par " À Țes racines je m'inhume,/Seigneur, arbre maudit. " (Lucian Blaga, Cuvantul din urmă (Le moț de la fin), în În marea trecere (Au fil du grand parcours), traduit
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Ciopraga, traduction en français par Paul Villard, op. cît., p. 55. V. aussi Lucian Blaga, Iezerul (Le lac alpin), în La curțile dorului, édition multilingue, préface par George Călinescu, traduction en français par Paul Villard, op. cît., p. 49. Le vers " Caută lung Ochiul spre Nord și spre vârste " est traduit par " L'œil regarde longuement vers le Nord, vers leș âges ". Le nom " l'Œil " désigne dans ce contexte l'étang de montagne, une sorte d'œil magique, fait illustré
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Le lac alpin), în La curțile dorului, édition multilingue, préface par George Călinescu, traduction en français par Paul Villard, op. cît., p. 49. Le vers " Caută lung Ochiul spre Nord și spre vârste " est traduit par " L'œil regarde longuement vers le Nord, vers leș âges ". Le nom " l'Œil " désigne dans ce contexte l'étang de montagne, une sorte d'œil magique, fait illustré par le titre du poème et par leș deux premiers vers : " În pâlnia muntelui iezerul netulburat
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în La curțile dorului, édition multilingue, préface par George Călinescu, traduction en français par Paul Villard, op. cît., p. 49. Le vers " Caută lung Ochiul spre Nord și spre vârste " est traduit par " L'œil regarde longuement vers le Nord, vers leș âges ". Le nom " l'Œil " désigne dans ce contexte l'étang de montagne, une sorte d'œil magique, fait illustré par le titre du poème et par leș deux premiers vers : " În pâlnia muntelui iezerul netulburat/că un ochi
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par " L'œil regarde longuement vers le Nord, vers leș âges ". Le nom " l'Œil " désigne dans ce contexte l'étang de montagne, une sorte d'œil magique, fait illustré par le titre du poème et par leș deux premiers vers : " În pâlnia muntelui iezerul netulburat/că un ochi al lumii, ascuns, s-a deschis. " (" Dans la doline de la montagne le lac tranquille/comme un œil du monde, caché, s'est ouvert. ") Supprimer la majuscule en traduction constitue, à notre sens
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limitait pas să technique à ces formes traditionnelles, c'est-à-dire aux mètres qui lui étaient fournis comme modèle par leș poètes du Luceafărul et une série d'auteurs antérieurs. À peine âgé de 15 ans, îl s'intéressait déjà au vers libre. " 1490 Lucian Blaga, Hronicul și cântecul vârestelor, Editura Hyperion, Chișinău, 1993, p. 264. C'est nous qui soulignons. Pendant le printemps de l'année 1910, une nouvelle vague lyrique m'emporta doucement. J'ai envoyé un poème en vers
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vers libre. " 1490 Lucian Blaga, Hronicul și cântecul vârestelor, Editura Hyperion, Chișinău, 1993, p. 264. C'est nous qui soulignons. Pendant le printemps de l'année 1910, une nouvelle vague lyrique m'emporta doucement. J'ai envoyé un poème en vers libres, blancs, à la rédaction de la revue Luceafărul. Mă tentative littéraire ne șut pas trouver une place dans leș pages de la revue ; j'ai obtenu par contre une réponse assez favorable de la part de la rédaction. On m'encourageait de continuer
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pages de la revue ; j'ai obtenu par contre une réponse assez favorable de la part de la rédaction. On m'encourageait de continuer à écrire, mais on me reprochait, pour la première fois dans mă vie, le péché d'avoir écrit des vers sans rime. Pourtant, par mon péché je préfigurais, dès cette époque, une forme. " Notre traduction. 1491 V. Dumitru Micu, Lirica lui Lucian Blaga, op. cît., p. 11 : Tânărul mesager liric al Transilvaniei eliberate spărgea marginile versului cu o cutezanța fără
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