5,138 matches
-
poétique ; que cette domination soit absolue ou limitée, la poésie, par définition, est intraduisible. Seule est possible la transposition créatrice. " C'est nous qui soulignons. 605 V. Philippe Lacoue-Labarthe, La poésie comme expérience, Christian Bourgois, Paris, 1986, p. 26-27. 606 Henri Meschonnic, Pour la poétique V : Poésie sans réponse, op. cît., p. 73. V. aussi Henri Meschonnic, Célébration de la poésie, Éditions Verdier, Paris, 2001. 607 Joseph Brodsky, apud Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Le rêve et la ruse dans
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
est possible la transposition créatrice. " C'est nous qui soulignons. 605 V. Philippe Lacoue-Labarthe, La poésie comme expérience, Christian Bourgois, Paris, 1986, p. 26-27. 606 Henri Meschonnic, Pour la poétique V : Poésie sans réponse, op. cît., p. 73. V. aussi Henri Meschonnic, Célébration de la poésie, Éditions Verdier, Paris, 2001. 607 Joseph Brodsky, apud Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 11 : " la poésie
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
est ce qui est perdu dans la traduction " vs. " la poésie est ce qui est gagné dans la traduction ". Notre traduction. 608 Philippe Lacoue-Labarthe, La poésie comme expérience, op. cît., p. 25. C'est nous qui soulignons. 609 V. aussi Henri Meschonnic, Pour la poétique V: Poésie sans réponse, op. cît., p. 18 : " Par là tout poème est question, et non réponse. [...] Le poème de chaque jour fait sortir de ce qui le continue le recommencement qui l'arrache à la répétition
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
Idem, p. 78. C'est nous qui soulignons. 620 André Maurois, " De la traduction des poèmes ", în Opéra, no. 153, 1948. C'est nous qui soulignons. 621 Edmond Cary, La traduction dans le monde moderne, op. cît., p. 87. 622 V. Henri Meschonnic, Pour la poétique V : Poésie sans réponse, op. cît., p. 17 : " Parce qu'il [le poème] est cette pratique de la contradiction, et non une identité ; un second et un troisième poème ne refont un premier. " C'est nous qui
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
une identité ; un second et un troisième poème ne refont un premier. " C'est nous qui soulignons. 623 Efim Etkind, Un Art en crise : essai de poétique de la traduction poétique, op. cît., p. 17. C'est nous qui soulignons. 624 Henri Meschonnic, Pour la poétique V : Poésie sans réponse, op. cît., p. 17. C'est nous qui soulignons. 625 V. aussi E. A. Nida, cité par Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op. cît., p.
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
de poétique de la traduction poétique, op. cît., p. 17. C'est nous qui soulignons. 624 Henri Meschonnic, Pour la poétique V : Poésie sans réponse, op. cît., p. 17. C'est nous qui soulignons. 625 V. aussi E. A. Nida, cité par Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op. cît., p. 334: " Le langage poétique est la violation systématique de la norme linguistique, ou peut-être plus justement la surimposition d'un ensemble de contraintes sur un autre
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
626 Paul Ricœur, " Le paradigme de la traduction ", în Sur la traduction, op. cît., p. 24 et 29. C'est nous qui soulignons. 627 V. Idem, p. 25-26 et 33. 628 Idem, p. 27. C'est nous qui soulignons. 629 V. Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op. cît., p. 309: " L'intraduisible est social et historique, non métaphysique [...]. Tânt que le moment de la traduction-texte n'est pas venu, [...] l'intraduisible passe comme une nature
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
forme dans la traduction poétique, pour faire une différence nette entre leș éléments qui créent le signifiant poétique et leș faux éléments formels, comme le " bloc typographique " qui, selon Meschonnic, dans le cas de la mauvaise poésie, se voudrait strophe (V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 266.) Par " signifiant " nous comprenons leș éléments prosodiques, qui relèvent de la présentation proprement dite du poème (rime, mesure des vers, rythme), leș sonorités (effets phoniques, allitérations, assonances, etc.), mais aussi leș particularités d
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
poétique est une vue d'esprit. [...] L'œuvre dure tânt qu'elle est capable de paraître tout autre que son auteur l'avait faite ". V. Paul Valéry, Țel Quel I, dans Œuvres complètes, tome ÎI, op. cît., p. 561. 657 Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 258. 658 V. par exemple Yves Bonnefoy, " Traduire la poésie (I) ", în La Communauté des traducteurs, Presses universitaires de Strasbourg, 2000, p. 51-52 : " Îl n'y a pas de raison [...] de s'imposer
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
de Roger Caillois, Gallimard, Paris, 1978, p, 310. 661 André Gide, " Lettre-préface de 1946 ", dans Shakespeare, Œuvres complètes ÎI, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1959, p. 1542-1543. 662 Jean Rohou, Leș études littéraires, Nathan, Paris, 1993, p. 58. 663 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît. 664 Idem, p. 177. 665 Alexandre Eyries, " Henri Meschonnic ou la saveur de l'écoute ", în Béatrice Bonhomme, Micéala Symington (dir.), Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
dans Shakespeare, Œuvres complètes ÎI, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1959, p. 1542-1543. 662 Jean Rohou, Leș études littéraires, Nathan, Paris, 1993, p. 58. 663 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît. 664 Idem, p. 177. 665 Alexandre Eyries, " Henri Meschonnic ou la saveur de l'écoute ", în Béatrice Bonhomme, Micéala Symington (dir.), Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 95-96. C'est nous qui soulignons. 666 V. Henri
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
Henri Meschonnic ou la saveur de l'écoute ", în Béatrice Bonhomme, Micéala Symington (dir.), Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 95-96. C'est nous qui soulignons. 666 V. Henri Meschonnic, Au commencement. Traduction de la Genèse, op. cît., p. 81. 667 Yves Bonnefoy, " Traduire en vers ou en prose ", préface aux Poèmes, Éditions du Mercure de France, 1993, p. 8. C'est nous qui soulignons. La voix poétique a connu
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
à jouer, celui " de remémoration, d'enregistrement et de déchiffrement ". V. Hélène Aji, " Discours poétique et poétique du discours ", în Sillages critiques, no. 7, 2005, p. 9, consulté le 2 janvier 2011, URL : http://sillagescritiques.revues.org/974. 668 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 13 : " Et la pensée du langage s'est transformée. Elle est passée de la langue [...] au discours, au sujet agissant, dialoguant, inscrit prosodiquement, rythmiquement dans le langage, avec să physique. Ces deux modes de
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
grande pârtie de la poésie actuelle, du fait qu'elle part du principe que tout texte est une entité hétérogène considérée comme un dialogue réel, qui n'existe que dans l'immédiateté de la relation entre un Je et un Tu. " 676 Henri Meschonnic, Leș Noms. Traduction de l'Exode, Desclée de Brouwer, Paris, 2003, p. 15. C'est nous qui soulignons. 677 Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 46. 678 V. Henri Meschonnic
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
676 Henri Meschonnic, Leș Noms. Traduction de l'Exode, Desclée de Brouwer, Paris, 2003, p. 15. C'est nous qui soulignons. 677 Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 46. 678 V. Henri Meschonnic, " Traduire ce que leș mots ne disent pas, mais ce qu'ils font ", în op. cît. 679 Roger Sauter, " La signifiance en poésie est-elle traduisible ? ", dans Poésie, traduction, retraduction, op. cît., p. 48. De l'avis de Meschonnic, le
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
constitue l'opérateur principal du sens dans le discours (" Le rythme fait sens ") et, par cela, îl devient également l'opérateur du sujet du discours ; en d'autres mots, îl contribue à la " configuration " du sujet dans le discours. V. Henri Meschonnic, Critique du rythme. Anthropologie historique du langage, op. cît., p. 217 et p. 71. 680 V. Henri Meschonnic, " Traduire ce que leș mots ne disent pas, mais ce qu'ils font ", în op. cît., p. 515 : " Îl s'agit
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
également l'opérateur du sujet du discours ; en d'autres mots, îl contribue à la " configuration " du sujet dans le discours. V. Henri Meschonnic, Critique du rythme. Anthropologie historique du langage, op. cît., p. 217 et p. 71. 680 V. Henri Meschonnic, " Traduire ce que leș mots ne disent pas, mais ce qu'ils font ", în op. cît., p. 515 : " Îl s'agit de reconnaître que ce qui définit spécifiquement chaque fois la chose littéraire, c'est le récitatif. " C'est
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
agit de reconnaître que ce qui définit spécifiquement chaque fois la chose littéraire, c'est le récitatif. " C'est nous qui soulignons. 681 Aron Kibédi Varga, Leș constantes du poème : analyse du langage poétique, op. cît., p. 18. 682 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 97 : Le rythme met en question la régie du signe, le primat du sens. [...] Îl s'agit de montrer que le rythme, comme donnée immédiate et fondamentale du langage, et non plus dans
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
que le rythme, comme donnée immédiate et fondamentale du langage, et non plus dans să limitation formelle et traditionnelle, renouvelle la traduction et constitue un critère pour l'historicité des traductions, leur valeur. Leur poétique et leur poéticité. " 683 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 2 : " Parce que le rythme n'est plus, même și certains délettrés ne s'en șont pas aperçus, l'alternance du pan-pan sur la joue du métricien métronome... Allez leș métriciens, îl
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
684 Idem, p. 131. C'est nous qui soulignons. 685 La terminologie émane de Mathilde Vischer. V. Mathilde Vischer, La traduction, du style vers la poétique : Philippe Jaccottet et Fabio Pusterla en dialogue, op. cît., p. 34-35. 686 Alexandre Eyries, " Henri Meschonnic ou la saveur de l'écoute ", în Le rêve et la ruse dans la traduction de poésie : interrogation philosophique et réalité artistique, op. cît., p. 94. 687 Pour Meschonnic, traduire le rythme signifie aller au-delà de la sémiotique : " Le texte
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
Or nous pensons le langage dans leș termes du dualisme grec, du sémiotique. Dans leș termes d'une hétérogénéité radicale et d'une opposition binaire, et confuse, entre le vers et la prose, entre la poésie et la prose. " V. Henri Meschonnic, " Embibler, taamiser le traduire ", în Leș enjeux de la traduction littéraire, textes réunis et présentés par Jacqueline Michel, avec la collaboration de Marléna Braester et Isabelle Dotan, Publisud, Paris, 2004, p. 5-6. 688 Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
la poésie et la prose. " V. Henri Meschonnic, " Embibler, taamiser le traduire ", în Leș enjeux de la traduction littéraire, textes réunis et présentés par Jacqueline Michel, avec la collaboration de Marléna Braester et Isabelle Dotan, Publisud, Paris, 2004, p. 5-6. 688 Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 259. C'est nous qui soulignons. 689 V. Henri Meschonnic, Le signe et le poème, Gallimard, Paris, 1975, p. 15 : " La linguistique a rejeté la notion de sens comme propriété du moț le
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
traduction littéraire, textes réunis et présentés par Jacqueline Michel, avec la collaboration de Marléna Braester et Isabelle Dotan, Publisud, Paris, 2004, p. 5-6. 688 Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 259. C'est nous qui soulignons. 689 V. Henri Meschonnic, Le signe et le poème, Gallimard, Paris, 1975, p. 15 : " La linguistique a rejeté la notion de sens comme propriété du moț le sens propre. [...] Depuis Benveniste, îl y a une signifiance, qui est le mode de signifier. Le
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
nous qui soulignons. 698 L'impératif de traduire la signifiance est formulé aussi par Meschonnic, qui déclare que " du coup, le primat est celui de la signifiance, du texte comme mouvement au mouvement du sens par le travail des signifiants ". V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 177. 699 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 9-10. 700 Jacques Garelli, Rythmes et mondes, op. cît., p. 12. 701 Fernand Verhesen, À la lisière
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
Etkind, Un Art en crise: essai de poétique de la traduction poétique, op. cît., p. XVIII : " Traduite en prose, même en belle prose (ce qui est rare), la poésie se fane et meurt ; leș poètes l'ont toujours déploré. " 715 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 264 : " En apparence, îl n'y a que deux partis à prendre, devant des vers à traduire, celui de traduire en vers, celui de traduire en prose. Mais îl faut voir ce qu
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]