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din prag connaît leș versions suivantes en français : Le vieux moine me murmure sur le seuil (Miclău, 1978 : 271) ; Le vieux moine, me parlant baș de son seuil (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 137) ; Le vieux moine sur le seuil me parle tout baș (Stolojan, 1992 : 37) ; Le vieil ermite me parle tout baș sur son seuil (Pop-Curșeu, 2003 : 61) ; Faiblement sur le seuil m'appelle le vieux moine (Loubière, 2003 : 31) ; Le vieux moine me parle à mi-voix depuis le pas de la porte
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
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de la terre. " (Călugărul bătrân îmi șoptește din prag/Le vieux moine me murmure sur le seuil) (Miclău, 1978 : 273) ; " Fais-moi baptême avec de la terre. " (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 137) ; " Baptise-moi dans la poussière. " (Le vieux moine sur le seuil me parle tout baș) (Stolojan, 1992 : 37) ; " Baptise-moi avec de la terre. " (Le vieil ermite me parle tout baș sur son seuil) (Pop-Curșeu, 2003 : 61) ; " Baptise-moi de terre. " (Faiblement sur le seuil m'appelle le vieux moine) (Loubière, 2003 : 31) " Baptise-moi avec de la terre. " (Le
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1978 : 271) ; " [...] dis-moi și le crépuscule est encore loin ? Car je voudrais rendre l'âme/en même temps que leș serpents écrasés à l'aube/par leș bergers avec leurs gourdins. " (Le vieux moine sur le seuil me parle tout baș) (Stolojan, 1992 : 37) ; " [...] combien de temps reste-t-il jusqu'au coucher du soleil ?/ Je veux rendre l'âme/en même temps que leș serpents écrasés à l'aube/par leș lourds bâtons des bergers. " (Le vieil ermite me parle tout baș
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Le vieil ermite me parle tout baș sur son seuil) (Pop-Curșeu, 2003 : 61). Cette référence culturelle peut rester incompréhensible même pour le lecteur roumain contemporain. Pour expliciter l'apparente " contradiction ", Philippe Loubière accompagne leș vers traduits par une note de baș de page : " Faut-il encore beaucoup d'ici au crépuscule ?/ Je veux rendre le souffle/En même temps que leș serpents brisés à l'aube/ Par leș bâtons des bergers.* " (Faiblement sur le seuil m'appelle le vieux moine) (Loubière, 2003
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Pan à la nymphe) (Poncet, 1996 : 80). Paul Miclău traduit le syntagme " strai de broască " par " algues ", conservant ainsi le sens de départ. Veturia Drăgănescu-Vericeanu crée une métaphore, " des voiles de grenouille ", mais introduit en même temps une note de baș de page, dans laquelle elle explique qu'il s'agit de la *" confèvre " (à remarquer la mauvaise orthographe). La recréation de la métaphore et l'explication en baș de page șont des choix contradictoires qui rendent la compréhension difficile. Quant à Jean
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lac/ Héraclite au bord du lac) (Poncet, 1996 : 102) ; " Leș douleurs aspirent/au secret profond de la poussière. " (Héraclite au bord du lac) (Pop-Curșeu, 2003 : 65). La version de Jean Poncet contient un changement sémantique : au lieu de parler du " secret baș de la terre ", le traducteur parle du " secret enfoui sous la terre ". La version de Ștefana et Ioan Pop-Curșeu est plus conforme au message de départ ; pourtant, le nom " țărâna " est traduit par " poussière ". " Zăbovește prin rostul/grădinilor pajul. " " Le page
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sommes en été. Un été qui touche/à să fin, tous deux sur la crête, au partage des eaux./ Pensées folâtres je caresse leș cheveux de la terre./ Nous nous penchons sur un éboulis difficile. Au-dessus, le bleu inaccompli.// Regarde en baș ! Regarde longuement mais ne disons rien./ Notre voix pourrait venir à trembler./ De la porte des cieux jusqu'au fond de la vallée/l'eau vieillit, ô, comme elle vieillit vite. L'heure aussi. " (Texte source : " Tu esti în vară, eu sunt
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faits] qui pour moi seraient *temoins/dans le jardin, dans la lumière ? " À remarquer aussi l'erreur de frappe dans le cas du nom " témoins ". 1419 V. Lucian Blaga, Călugărul bătrân îmi șoptește din prag (Le vieux moine, me parlant baș de son seuil), în Poèmes, Traduction et Avant-propos par Veturia Drăgănescu-Vericeanu, op. cît., p. 137. À observer aussi la présence de la virgule dans le titre même, justifiée par le gérondif " parlant ", qui alourdit inutilement le message que le titre veut
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