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65 poèmes, traduit par Paula Romanescu, Éditions Helicon, Timișoara, 1995 (deuxième édition : 1998). → 7) Lucian Blaga, Poeme alese/Poèmes choisis, volume collectif, traductions par Aurel George Boeșteanu, Mireille Bonnet, Alain Caumette, Veturia Drăgănescu-Vericeanu, Paul Miclău, Paula Romanescu, Claude Sernet, préface par Eugen Simion, sélection des poèmes par Ion Acsan, Éditions Grâi și Suflet, Bucarest, 1998 (édition bilingue). → 8) Lucian Blaga " Le Grand Passage ", suivi de Nichita Stănescu " Une vision des sentiments ", Autres Temps, Marseille, 2003 (édition bilingue). La traduction des poèmes
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leș suivants : → Anthologie de la poésie roumaine, sous la direction d'Alain Bosquet, Éditions du Seuil, Paris, 1968 (leș poèmes de Blaga, traduits par Claude Sernet, ont été repris dans le recueil Lucian Blaga, Poeme alese/Poèmes choisis, volume collectif, préface par Eugen Simion, Éditions Grâi și Suflet, Bucarest, 1998, que nous citons ci-dessus.) → Petite anthologie de la poésie roumaine moderne, édition bilingue roumaine-française, Travaux du séminaire " Mihai Eminescu " de l'Université de Provence, sous la direction de Valeriu Rusu, anthologie, préface et
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de Valeriu Rusu, anthologie, préface et présentation de Valeriu Rusu, Éditions Minerva, Bucarest, 1975 (leș poèmes de Blaga, traduits par Mireille Bonnet et Alain Caumette, on été repris dans le recueil Lucian Blaga, Poeme alese/Poèmes choisis, volume collectif, préface par Eugen Simion, Éditions Grâi și Suflet, Bucarest, 1998, que nous citons ci-dessus.) → Poètes roumains contemporains, anthologie réalisée par Aurel George Boeșteanu, Éditions Eminescu ; Bucarest, 1975 (leș poèmes de Blaga, en version française, șont repris dans le recueil Lucian Blaga, Poeme
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Bucarest, 1998, que nous citons ci-dessus.) → Poètes roumains contemporains, anthologie réalisée par Aurel George Boeșteanu, Éditions Eminescu ; Bucarest, 1975 (leș poèmes de Blaga, en version française, șont repris dans le recueil Lucian Blaga, Poeme alese/Poèmes choisis, volume collectif, préface par Eugen Simion, Éditions Grâi și Suflet, Bucarest, 1998, que nous citons ci-dessus.) → Anthologie de la poésie roumaine, avant-propos par George Macovescu, Éditions Nagel, Paris, 1981 (édition bilingue). Leș quelques poèmes de Blaga, traduits par Aurel George Boeșteanu, se retrouvent dans le
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citons ci-dessus.) → Anthologie de la poésie roumaine, avant-propos par George Macovescu, Éditions Nagel, Paris, 1981 (édition bilingue). Leș quelques poèmes de Blaga, traduits par Aurel George Boeșteanu, se retrouvent dans le recueil Lucian Blaga, Poeme alese/Poèmes choisis, volume collectif, préface par Eugen Simion, Éditions Grâi și Suflet, Bucarest, 1998, que nous citons ci-dessus. → Florilegiu de dragoste. Poeme/Florilège d'amour. Poèmes, anthologie bilingue roumaine-française, traduit par Aurel-George Boeșteanu, Éditions Minerva, Bucarest, 1981 (leș poèmes de Blaga, en version française, șont repris
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Florilegiu de dragoste. Poeme/Florilège d'amour. Poèmes, anthologie bilingue roumaine-française, traduit par Aurel-George Boeșteanu, Éditions Minerva, Bucarest, 1981 (leș poèmes de Blaga, en version française, șont repris dans le recueil Lucian Blaga, Poeme alese/Poèmes choisis, volume collectif, préface par Eugen Simion, Éditions Grâi și Suflet, Bucarest, 1998, que nous citons ci-dessus.) → Lucian Blaga, Poezii/Poésies, traduit par Jean Poncet, Éditions Libra, Bucarest, 1997 (édition bilingue). Leș poèmes de ce recueil se retrouvent dans l'édition citée antérieurement. → Lucian Blaga, Corola
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Lucian Blaga, L'éon dogmatique, traduit du roumain par Jessie et Raoul Marin, Mariana et Georges Danesco ; préface de Vintilă Horia, L'Âge d'Homme, Lausanne, 120 p. → 1989 : Lucian Blaga, Éloge du village roumain, traduit par Mariana Danesco, préface par Raoul Marin, Librairie du Savoir, Paris. → 1990 : Lucian Blaga, Leș différentielles divines, traduit et adapté du roumain par Thomas Bazin, Raoul Marin et Georges Piscoci-Danesco, Librairie du Savoir, Paris, (même édition : Roza Vanturilor, Bucarest, 1990), 180 p. → 1991 : Lucian Blaga
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Antitotalitaire, Paris. → 1995 : Lucian Blaga, Trilogie de la culture, traduction d'Yves Cauchois, Raoul Marin et Georges Piscoci-Danesco, Librairie du Savoir, Paris. → 1995 : Lucian Blaga, Manole, maître bâtisseur (Meșterul Manole), drame en cinq actes, traduit du roumain par Paola Bentz-Fauci, préface par Dominique Daguet, Librairie Bleue, Troyes. → 1996 : Lucian Blaga, Trilogie de la Culture, traduction de Georges Piscoci-Danesco et leș collaborateurs, Librairie Roumaine Antitotalitaire, Paris. → 1999 : Lucian Blaga, L'Arche de Noé, traduit du roumain par Ion C. Gheorghe, postface par Raoul Marin
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Bentz-Fauci, préface par Dominique Daguet, Librairie Bleue, Troyes. → 1996 : Lucian Blaga, Trilogie de la Culture, traduction de Georges Piscoci-Danesco et leș collaborateurs, Librairie Roumaine Antitotalitaire, Paris. → 1999 : Lucian Blaga, L'Arche de Noé, traduit du roumain par Ion C. Gheorghe, postface par Raoul Marin, Librairie Roumaine Antitotalitaire, Paris. À part la traduction en français de quelques pièces de théâtre, parue aux Éditions Minerva de Bucarest en 1986, on remarque qu'il n'y a pas d'autres œuvres de Blaga traduites en
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sûr d'autres traductions isolées, parues après 1989 sur le territoire roumain, comme la traduction en italien qui émane de Viorica Bălteanu, publiée à Timișoara en 1995, ou le recueil Strofe de-a lungul anilor (Stanzas along the years) traduit par Dumitru Cicoi-Pop et publié à Sibiu en 2002. Deux traductions inédites des poèmes de Blaga ont été réalisées en aroumain. Malheureusement, leș traductions publiées dans d'autres pays que la Roumanie șont moins nombreuses. Nous avons déjà mentionné leș deux
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avons déjà précisé que le traducteur montre un penchant sourcier, surtout dans le cas du român Leș déracinés, qui présente le phénomène de la " systématisation " en Roumanie au début de la période communiste.1151 Le langage familier de la version française est traduit par le patois du Banat, qui a le rôle d'apporter au récit la couleur locale. Cette autotraduction pose également le problème de la transposition des culturèmes. Dans une étude intitulée " Le transport de la spécificité culturelle chez Paul Miclău ", Brândușa-Elena Steiciuc analyse
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des plus belles images de la poésie de Blaga est à rencontrer dans le poème Tămâie și fulgi (Encens et neige) : Dans leș [...] déterminations de l'univers rural se place [...] le poème anthologique Encens et neige, dont le titre même associe par synesthésie l'" encens " (à son tour métonymie pour tout un rituel) et la " neige ". L'image est cadencée dans un tableau vertigineux, dont voici un seul fragment : " et aux cous de leurs pas sur la route/leș chevaux portent des
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que, par să démarche complexe de sémioticien, traducteur et traductologue, mais également grace à son don de poète, Paul Miclău a contribué à une meilleure visibilité de la poésie roumaine dans l'espace francophone. Dans son travail, îl a été conduit par le principe selon lequel la traduction d'un texte doit récupérer leș marques d'étrangeté du style littéraire de l'auteur, tout comme leș particularités de la culture d'origine. Aussi la traduction devient-elle " un geste d'authentique culture "1195 qui
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avec le milieu littéraire et culturel roumain. L'anthologie Lucian Blaga ou le chant de la terre et des étoiles, qui fait pârtie de notre corpus, comprend 75 poèmes de Lucian Blaga traduits en version française, tout comme des articles signés par Jean Poncet (" Avant-propos en forme de biographie "), Elena-Brândușa Steiciuc (" Le chant de la terre et des étoiles ") et George Astalos (" Lucian Blaga ou l'empreinte matricielle "). Le volume contient également un fragment du român Luntrea lui Caron (La barque de Charon
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leurs dates indiquées entre parenthèses, " ont été reproduits d'après l'édition exhaustive des vers du poète transylvain, édition publiée à l'occasion du centenaire de șa naissance : Lucian Blaga, Operă poetica (L'Œuvre poétique), avant-propos par Eugen Simion, préface par George Gană et Dorli Blaga, Éditions Humanitas, Bucarest, 1995 "1274. Leș versions françaises proviennent des recueils et anthologies parus antérieurement : îl s'agit de " trois recueils, dont deux bilingues, dédiés exclusivement à Lucian Blaga, ainsi que [...] d'anthologies collectives "1275
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par Irina Petrescu. Après leș poèmes traduits, on peut trouver une " Biographie " et une " Bibliographie " de Lucian Blaga. Le recueil de Nichita Stănescu, O viziune a sentimentelor/Une vision des sentiments, est précédé par une " Présentation de Nichita Stănescu " signée par Diana Ivan. À la fin du recueil on peut retrouver également une " Biographie " et une " Bibliographie " de Nichita Stănescu. Le but manifeste de ce volume semble être celui de présenter au lectorat français un fragment représentatif de l'œuvre de deux
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le fait que cette obsession pour le contenu du poème exclue a priori tout travail d'interprétation : dans la vision de Philippe Loubière, le traducteur de poésie ne doit pas s'ériger en poète. La démarche critique du traducteur continue par l'énumération de quelques difficultés liées au sens. Une première difficulté réside dans le titre du recueil. Philippe Loubière soutient que " la traduction littérale du titre du recueil, titre d'inspiration faustienne, * "Dans le grand passage" est un contresens. Îl
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citations introduites dans le texte ; le tiret à fonction créative, expressive ou décorative ; leș noms qui commencent par une majuscule ; la présence des vers en miroir. Nous analysons leș traductions dans leur ordre chronologique. Pour mettre en évidence leș écarts par rapport au texte source et leș choix traductifs inspirés ou maladroits, nous mettons en parallèle plusieurs variantes de traduction. Veturia Drăgănescu-Vericeanu À notre sens, leș tirets qui se retrouvent dans leș poèmes de Blaga doivent être conservés en tânt que
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combustion ? (Combustion) (Miclău, 1978 : 445) La question du moi lyrique est adressée, semble-t-il, à l'" Être " générique, dont îl veut exprimer en paroles l'essence avec leș moyens du poète.1437 Le choix de souligner la nature philosophique du concept par l'emploi de la majuscule nous semble élargir la signifiance du poème de départ ; donc, îl n'est pas forcément condamnable. Puisque publiée en France, cette version de traduction est réalisée en conformité avec leș normes de ponctuation du français. Par
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en est pas pourvu, comme dans la traduction du poème Frumoase mâini (Jolies mains...), où l'on peut trouver des points de suspension dans le titre même et à la fin du texte, peut-être pour souligner davantage le regret exprimé par le poète.1448 Parfois ces interventions opérées au niveau de la ponctuation s'avèrent être exagérés, car elles déterminent des écarts majeurs de la tonalité du texte d'origine, comme dans la traduction ci-dessous : Copilo, pune-ți mâinile pe genunchii mei. (Sufletul
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français, d'un Hongrois professeur à la Faculté de Lettres de Budapest, spécialiste de la poésie roumaine.1478 Nous nous contentons, par conséquent, d'analyser leș caractéristiques du vers et du rythme des poèmes de Blaga, tout comme leș stratégies choisies par leș traducteurs pour récupérer ces traits stylistiques dans la langue d'arrivée. Nous sommes intéressée par la traduction des particularités prosodiques, car nous leș considérons pârtie intégrante de la vision esthétique du poète roumain. 2. 1. Particularités prosodiques du style de
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Nebănuitele trepte Leș Gradins insoupçonnés).1483 L'auteur continue par une étude des poèmes écrits après 1943. Le quatrième chapitre porte sur le vers libre dramatique de Blaga. L'érudit hongrois explique la nécessité de șa démarche d'un côté par " l'état actuel des recherches sur la prosodie du XXe siècle " et de l'autre côté par " une lacune très sensible des recherches sur l'histoire du vers roumain ". L'ouvrage débute, par conséquent, par " quelques réflexions sur l'histoire
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intéressée de voir și ces décisions font pârtie du style traductif. Veturia Drăgănescu-Vericeanu Nous avons identifié chez Veturia Drăgănescu-Vericeanu une certaine recherche prosodique dans la traduction des poèmes à vers apparemment libre ou à forme fixe. Cette tendance est expliquée par le désir de la traductrice de rester fidèle à l'original. Leș rimes qu'elle crée, parfois à l'aide d'inversions ou de changements des tournures de phrase, șont assez pauvres 1508 : Îmi ești aproape. Prin noapte simt o pâlpâire
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Pour garder le jeu des sonorités en langue cible, la traductrice introduit dans le texte d'arrivée une unité de traduction supplémentaire, à savoir " pas à pas ". On remarque aussi une adaptation culturelle : le syntagme " sunetul de toaca " est traduit par le " son de l'angélus ". Par contre, la métaphore filée " și-a-nchis cosciugul ochilor de foc " est rendue littéralement (" le cercueil de șes yeux de feu se trouva fermé "). Binecuvânt pâinea și luna. Ziua trăiesc împrăștiat cu furtună. (Biografie
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langue cible. En plus, îl traduit prosaïquement la métaphore " pâlpâire de pleoape " (" battement de paupières "). Le nom " pâlpâire " fait pârtie du champ sémantique du feu, să traduction littérale étant " vacillement ". Nous aurions préféré plutôt la transposition 1516 du nom " pâlpâire " par le verbe " palpiter ", comme le fait Veturia Drăgănescu-Vericeanu : " Dans la nuit, țes paupières je leș sens palpiter " (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 95) [...] și părul ți l-ai uns peste-o cădelniță-n tămâie, fir de fir, ca să mirosi la fel c-un
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