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au niveau du texte cible șont présentés dans le tableau ci-dessous : Paul Miclău Jean Poncet Philippe Loubière Facteurs qui anticipent l'existence du style traductif a une riche expérience de traduction ; manifeste une obsession pour la forme poétique (décelable dans șes propres créations littéraires) ; a une vision traductive exprimée dans des ouvrages scientifiques (le principe de la lecture globale, la " poétologie ", définie comme l'étude du texte poétique, l'étude de la " poématicité ", préoccupation pour le signe poétique) ; a une orientation sourcière exprimée
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De la traduction radicale ", în Critique, no. 263. CAILLOIS, Roger, " Postface ", în Colloque sur la traduction poétique, préface d'Étiemble, postface de Roger Caillois, Gallimard, Paris, 1978. CAMOIN, Jean-Pierre, " Ouverture des assises ", în Traduire la poésie : autour de Rilke, Baudelaire et șes traducteurs, la traduction dans leș revues et collections, huitièmes assises de la traduction littéraire, Atlas, Actes Sud, Arles, 1992. CHAOUITE, Abdellatif, " Leș maîtres cachés de l'interculturel ", în Écarts d'identité, no. 113, décembre 2008, p. 16-21, consulté le 2 décembre
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motivation plausible : des langues limitées à une seule tribu, à un seul village. La pulvérisation linguistique des humains pârâit une telle énigme qu'elle rendrait possible leș recours aux explications mythiques, comme celle du mythe biblique de Babel, qui a șes correspondants dans leș mythes analogues d'autres cultures. " Cependant, la malédiction de Babel peut être lue aussi comme " bénédiction ", parce qu'elle est renoncement à la langue unique et reconnaissance de l'Autre. V. également François Marty, La bénédiction de
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perspective fonctionnaliste ", în op. cît., p. 109 : " La traductologie, comme toute activité à caractère scientifique, est essentiellement descriptive [...]. Discours sur la traduction, cette science humaine récente a pour vocation première d'observer et de décrire la pratique traduisante dans toutes șes manifestations des plus orthodoxes (celles dont l'intention avouée est de conserver le texte de départ et d'en reconduire la finalité dans le texte traduit) aux plus déviantes (celles qui détournent résolument le texte de départ de șa finalité
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a été précédée par une longue phase de spéculations plus libres qui ne prétendaient pas donner naissance à une nouvelle discipline, de sorte que leș derniers penseurs "sans dénomination" dans ce domaine auraient été Benedetto Croce (pour quelques pages de șes écrits d'esthétique et de critique littéraire), Ortega y Gasset (auteur d'un article sur Miseria y esplendor de la traducción), Franz Rosenzweig (selon lequel le traducteur est le serviteur de deux maîtres), et Walter Benjamin (dont on rappelle l'essai
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École Normale Supérieure, Paris, 1990, p. 106. C'est nous qui soulignons. 127 V. Antoine Berman, La traduction de la lettre ou l'auberge du lointain, op. cît., p. 48-49 : " Ethnocentrique signifiera ici : qui ramène tout à să propre culture, à șes normes et șes valeurs, et considère ce qui est situé en dehors de celle-ci l'Étranger comme négatif ou tout juste bon à être annexé, adapté, pour accroître la richesse de cette culture. " 128 V. Maryvonne Boisseau, " Le discours de la
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Paris, 1990, p. 106. C'est nous qui soulignons. 127 V. Antoine Berman, La traduction de la lettre ou l'auberge du lointain, op. cît., p. 48-49 : " Ethnocentrique signifiera ici : qui ramène tout à să propre culture, à șes normes et șes valeurs, et considère ce qui est situé en dehors de celle-ci l'Étranger comme négatif ou tout juste bon à être annexé, adapté, pour accroître la richesse de cette culture. " 128 V. Maryvonne Boisseau, " Le discours de la traductologie en France
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traduction n'a pas l'attention qu'elle mérite. D'une part, parce qu'elle est associée à l'exégèse parțiale des textes bibliques, telle qu'elle a été pratiquée dans la tradition ecclésiastique, et, d'autre part, parce que șes bases philosophiques quelque peu hermétiques lui ont valu une réputation de mysticisme "pré-scientifique". " 189 V. Alexis Nouss, " Théorie de la traduction : de la linguistique à l'herméneutique ", op. cît.. 190 V. Jane Elisabeth Wilhelm, " Herméneutique et traduction : la question de l'"appropriation
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Après Babel, op. cît. 197 Paul Ricœur, Du texte à l'action. Essais d'herméneutique ÎI, Éditions du Seuil, collection " Esprit/Seuil ", Paris, 1986, p. 116-117. C'est nous qui soulignons. 198 François Rastier donne comme exemple l'une de șes collègues, traductrice de l'allemand, qui, " ne parvenant pas à lire dans l'original La phénoménologie de l'Esprit de Hegel, [...] eut recours à la traduction française de Jean Hyppolyte, et, après ce passage par l'idiome philosophique français, fort
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un genre, comme institution discursive : son intérêt est de ne pas penser ces lieux indépendamment des énonciations qu'ils rendent possibles et qui leș rendent possibles. L'analyste du discours [...] ne part d'un genre que pour l'inscrire dans șes lieux et ne délimite un lieu que pour considérer quel(s) genre(s) de discours lui șont associés. C'est nous qui soulignons. 319 Par conséquent, la démarche traductive devrait prendre en compte le contexte dans lequel le texte a
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la critique formelle ", în Langue française, no. 3, 1969, p. 100, consulté le 4 mai 2011, URL : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/lfr 0023-8368 1969 num 3 1 5439: " La poétique reste donc très liée à la science qui lui a fourni șes postulats de départ : la linguistique. Mais cette union suppose que la poétique ne se borne pas à utiliser des méthodes, qu'elle se plie à l'exigence de rigueur qui la caractérise. " 346 Jakobson parle d'une " irruption des linguistes
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du langage, c'est nier l'être même du langage. Îl est signe et le signe n'est țel que pour autant qu'il est décroché de lui-même, qu'en lui se brisent, se séparent pour le constituer comme țel șes deux faces ; et que le signifiant renvoie au signifié comme à un au-delà de lui même différent de lui-même. Là est le sens profond de l'arbitraire saussurien, où le signe s'annonce paradoxalement à la fois comme unité et
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tome 2, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, Paris, 1976, p. 133. 484 V. Goldstein, apud Maurice Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, op. cît., p. 229 : " Dès que l'homme se retire du langage pour établir une relation vivante avec lui-même ou avec șes semblables, le langage n'est plus un instrument, n'est plus un moyen, îl est une manifestation, une révélation de l'être intime et du lien psychologique qui nous unit au monde et à nos semblables. " 485 Novalis, apud John
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écriture poétique moderne, op. cît., p. 29 : " L'identité du poète (lyrique) a souvent une dimension de repli ou de révélation. Le discours lyrique n'apparaît plus, dans cette perspective, comme un partage d'affects entre le sujet communiquant et șes interprétants, mais plutôt comme le partage d'un savoir sur leș affects, et, ipso facto, d'un savoir vivre, "révélé", comme c'est le cas, par définition, du discours ésotérique [...]. " 500 I. A. Richards, Principles of Literary Criticism, apud Jean
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soulignés șont de l'auteur. 525 En ce qui concerne l'appropriation de l'Autre, nous rappelons l'affirmation du poète Jean-Pierre Claris de Florian, citée par Efim Etkind : " En poésie, comme à la guerre, ce qu'on prend à șes frères est un vol ; mais ce qu'on enlève aux étrangers est une conquête. " V. Efim Etkind, Un Art en crise : essai de poétique de la traduction poétique, traduit par Vladimir Troubetzkoy avec la collaboration de l'auteur, l'Âge de
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Le langage, la poésie et la traduction poétique ou une approche scientifique de la traduction poétique ", în op. cît., p. 255 : " [...] la traduction poétique n'est pas une simple opération d'ordre lexical ; elle est une activité linguistique prise sous toutes șes formes, en même temps qu'une esthétique de caractère phonique impliquant le sens le plus mélodique du moț. Ce rapport strict entre la poésie et le langage fait de la poésie un art du langage, et du traducteur un bon technicien
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paradoxalement, traduire peut continuer le texte. C'est à dire, dans un autre temps et une autre langue, en faire un texte. Poétique pour poétique. " 556 Jean-Pierre Camoin, " Ouverture des assises ", în Traduire la poésie : autour de Rilke, Baudelaire et șes traducteurs, la traduction dans leș revues et collections, huitièmes assises de la traduction littéraire, Atlas, Actes Sud, Arles, 1992, p. 11. 557 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 17 : " Passeur est une métaphore complaisante. Ce qui importe n
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irrépétable, sinon que ce texte est toujours susceptible d'une reprise par une quelconque volonté de réplique. Qui plus est, ce texte n'existera, si ce n'est comme matérialité faite des traits sur le papier, qu'aux moments de șes lectures, grace à șes repensées et à șes pénétrations par autrui. " 636 V. Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 58 : " L'impossibilité de la traduction devient la possibilité de la répétition. " C'est nous qui
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texte est toujours susceptible d'une reprise par une quelconque volonté de réplique. Qui plus est, ce texte n'existera, si ce n'est comme matérialité faite des traits sur le papier, qu'aux moments de șes lectures, grace à șes repensées et à șes pénétrations par autrui. " 636 V. Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 58 : " L'impossibilité de la traduction devient la possibilité de la répétition. " C'est nous qui soulignons. 637 Olivier Kachler
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d'une reprise par une quelconque volonté de réplique. Qui plus est, ce texte n'existera, si ce n'est comme matérialité faite des traits sur le papier, qu'aux moments de șes lectures, grace à șes repensées et à șes pénétrations par autrui. " 636 V. Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 58 : " L'impossibilité de la traduction devient la possibilité de la répétition. " C'est nous qui soulignons. 637 Olivier Kachler, " Nier l'intraduisible, qui
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des traducteurs/Meta : Translators' Journal, vol. 45, no. 2, 2000, p. 178, consulté le 2 février 2011, URL : http://www.erudit.org/revue/meta/2000/v45/n2/003326ar.pdf. C'est nous qui soulignons. Dans cet article, l'auteur utilise șes remarques théoriques sur l'analyse dialogique pour commenter la traduction en français d'un poème de Chalamov, La chaussée. 672 Ludovic Heyraud, " Traduire la poésie contemporaine portugaise ", p. 9, consulté le 2 marș 2010, URL : http://cvc.instituto-camoes.pt/bdc
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une œuvre littéraire. Mais c'est le traducteur qui se situe à un niveau différent, car son interprétation aboutit à la re-création. La traduction permet d'interpréter l'œuvre en tânt qu'ensemble et de dévoiler la subtile texture de șes différents éléments constitutifs. Au niveau stylistique, la traduction continue à influencer même leș œuvres autonomes du traducteur, dont la charpente formelle reste toujours liée aux textes originaires. La traduction est donc un outil supplémentaire pour la lecture, une sorte de
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Minulesco, ou le symbolisme grandiloquent, Bacovia, ou le symbolisme sans musique, Vinea, ou l'avant-garde élégiaque, Botez, un pessimiste, Philippide, un panthéiste, Barbu, le poète-géomètre, Arghézi, un irréductible, Craïnic, ou leș divines certitudes, Pillat, ou leș beautés claires, Davidesco et șes études lyriques, Voïculesco, ou le tragique chrétien, Maniu, le primitif raffiné, Blaga, poète du mystère cosmique (V. Basil Munteano, Panoramă..., op. cît.). Malheureusement, à quelques exceptions (V. l'Anthologie de la poésie roumaine avant-propos par George Macovescu, Éditions Nagel, Paris, 1981
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qu'il se trouve, au point unique, le village natal, centre du monde. " Notre traduction. C'est nous qui soulignons. 796 Le concept de monade comme unité indissoluble est emprunté à Leibniz et est évoqué maintes fois par Blaga dans șes écrits philosophiques et poétiques. V. Lucian Blaga, Perspectiva (Perspective), traduction de Sanda Stolojan, în Lucian Blaga, L' Étoile la plus triste, op. cît., p. 75 : " Nuit. Sous leș sphères, leș grandes,/dorment leș monades./ Mondes comprimés,/larmes insonores dans l
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monadele dorm./ Lumi comprimate,/lacrimi fără de sunet în spațiu,/monadele dorm. // Mișcarea lor laudă somnului. ", în Lucian Blaga, Operă poetica, op. cît., p. 150). 797 Mircea Vaida, Pe urmele lui Lucian Blaga, op. cît., p. 18-24 : " Le village natal et șes alentours constitueront, dès le début, ce que Blaga même définissait, dans son originale théorie de l'"espace mioritique", comme l'"horizon spécifique". [...] Le village reçoit progressivement, dans l'évolution de la lyrique et de la pensée de Lucian Blaga, des attributs monadiques
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