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de l'expression, Hachette Éducation, Paris, 1992, p. 12. 329 Olga Gălățanu, " Leș argumentations du discours lyrique ", în op. cît., p. 18. 330 Algirdas Julien Greimas, " Pour une théorie du discours poétique ", în Essais de sémiotique poétique, avec des études sur Apollinaire, Bataille, Baudelaire, Hugo, Jarry, Mallarmé, Michaux, Nerval, Rimbaud, Roubaud, par Algirdas Julien Greimas, Michel Arrivé, Jean-Claude Coquet, Jean-Paul Dumont, etc., Paris, Larousse, 1971, p. 7. C'est nous qui soulignons. 331 Le texte poétique est qualifié par Jean-Claude Chevalier
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qui soulignons. V. aussi Daniel Delas et Jacques Filliolet, Linguistique et poétique, op. cît., p. 42 : " le propre de l'art verbal est [...] de montrer du doigt să propre nécessité ". Dans la vision de Jakobson, l'écriture lyrique joue souvent sur leș réitérations, leș retours à son propre sémantisme : Nous devons constamment tenir compte de ce fait irrécusable qu'à tous leș niveaux de la langue l'essence, en poésie, de la technique artistique réside en des retours réitérés. " V. Român Jakobson, Questions de
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analyse littéraires, no. 28, Éditions du Seuil, Paris, 1976, p. 385. C'est nous qui soulignons. V. aussi Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, Collection Cursus, Armând Colin, Paris, 1988, p. 116 : " La poésie naît de cette violence exercée sur la langue : la versification. " 397 À notre avis, cette approche ne tient pas compte d'autres genres littéraires, comme le poème en prose, qui pourrait être construit, lui aussi, selon des contraintes formelles (la rime irrégulière ou le rythme intérieur
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poétique, Le Livre de Poche, Librairie Générale Française, 1993, p. 268. Îl faut mentionner également la définition que donne Julia Kristeva au concept de signifiance : " ce travail de la différenciation, stratification et confrontation qui se pratique dans la langue, et dépose sur la ligne du sujet parlant une chaîne signifiante communicative et grammaticalement structurée. " V. Julia Kristeva, Semeiotikhè. Recherches pour une semanalyse (Extraits), Seuil, collection " Points ", Paris, 1969, p. 11. 412 La signifiance, dans la conception de Meschonnic, est vue comme " l
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1985, p. 55. C'est nous qui soulignons. 445 V. en ce sens Daniela Vladu, " Traducerea de poezie un demers infam de seducător ", consulté le 18 novembre 2011, URL : http://www.usb.md/limbaj context/volcop/4/vladu.pdf. S'appuyant sur un poème de Goethe, l'auteur expose să conception sur l'aspect pragmatique du texte poétique, analysant l'intention de l'auteur d'introduire le lecteur dans une certaine atmosphère et de lui induire un certain état d'esprit (comme
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en ce sens Daniela Vladu, " Traducerea de poezie un demers infam de seducător ", consulté le 18 novembre 2011, URL : http://www.usb.md/limbaj context/volcop/4/vladu.pdf. S'appuyant sur un poème de Goethe, l'auteur expose să conception sur l'aspect pragmatique du texte poétique, analysant l'intention de l'auteur d'introduire le lecteur dans une certaine atmosphère et de lui induire un certain état d'esprit (comme l'effroi, la peur, etc.) 446 Erol Kayra, " Le langage
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Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op. cît., p. 21 et 47. 450 Idem, p. 141. C'est nous qui soulignons. 451 Idem, p. 184. 452 V. Gustavo Guerrero, Poétique et poésie lyrique : essai sur la formation d'un genre, traduit de l'espagnol par Anne-Jöelle Stéphan et l'auteur, Éditions du Seuil, Paris, 2000, p. 203 : Au début du IVe siècle avânt Jésus-Christ, Platon fait la liaison intime entre mots et musique, le trăit
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est l'histoire de ces variations discontinues qui nous montrent qu'un genre n'est pas seulement un critère de classement rétrospectif mais aussi [...] une "fonction textuelle". " C'est nous qui soulignons. 453 Gustavo Guerrero, Poétique et poésie lyrique : essai sur la formation d'un genre, op. cît., p. 204. 454 V. Julia Kristeva, La révolution du langage poétique. L'avant-garde à la fin du XXe siècle : Lautréamont et Mallarmé, Seuil, Paris, 1974. 455 Stéphane Mallarmé, Correspondance, Gallimard, Paris, 1995, p.
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et, de l'autre, la traduction littéraire qui comprend tous leș textes de littérature, quels qu'ils soient. " C'est nous qui soulignons. 478 V. Român Jakobson, Essais de linguistique générale, op. cît., p. 66-67 : " Puisque la poésie est centrée sur le signe, alors que la prose, pragmatique, l'est, au premier chef, sur le référent, on a étudié leș tropes et leș figures essentiellement comme des procédés poétiques. Le principe de similarité gouverne la poésie. [...] La prose, au contraire, se
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littérature, quels qu'ils soient. " C'est nous qui soulignons. 478 V. Român Jakobson, Essais de linguistique générale, op. cît., p. 66-67 : " Puisque la poésie est centrée sur le signe, alors que la prose, pragmatique, l'est, au premier chef, sur le référent, on a étudié leș tropes et leș figures essentiellement comme des procédés poétiques. Le principe de similarité gouverne la poésie. [...] La prose, au contraire, se meut essentiellement dans des rapports de contiguïté. De sorte que la métaphore pour
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n'est plus un moyen, îl est une manifestation, une révélation de l'être intime et du lien psychologique qui nous unit au monde et à nos semblables. " 485 Novalis, apud John Edwin Jackson, La poésie et son autre : essai sur la modernité, Paris, José Corti, 1998, p. 18. 486 Jean-Marie Gleize, La poésie : textes critiques : XIV-ème XX-ème siècle, Paris, Larousse, 1995, p. 14. 487 John Edwin Jackson, La poésie et son autre. Essai sur la modernité, op. cît., p. 34
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La poésie et son autre : essai sur la modernité, Paris, José Corti, 1998, p. 18. 486 Jean-Marie Gleize, La poésie : textes critiques : XIV-ème XX-ème siècle, Paris, Larousse, 1995, p. 14. 487 John Edwin Jackson, La poésie et son autre. Essai sur la modernité, op. cît., p. 34. C'est nous qui soulignons. 488 Arthur Rimbaud, Œuvres, Dunod, " Classiques Garnier ", Paris, 1997, p. 228. 489 V. Pierre-Jean Jouve, Apologie du poète, Le temps qu'il faut, Paris, 1982, p. 8 : " La Poésie
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est nous qui soulignons. 491 Jean Cohen, Le haut langage : Théorie de la poéticité, op. cît., p. 283. C'est nous qui soulignons. 492 V. Henri Meschonnic, Pour la poétique V : Poésie sans réponse, op. cît., p. 182 : " La poésie veille sur le langage quand nous dormons. Elle ne cesse pas de veiller. Elle le connaît. Elle est en nous ce qui le connaît le mieux. Elle se déplace avec nous. C'est pourquoi on ne la limite pas. Dès qu'elle
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poète (lyrique) a souvent une dimension de repli ou de révélation. Le discours lyrique n'apparaît plus, dans cette perspective, comme un partage d'affects entre le sujet communiquant et șes interprétants, mais plutôt comme le partage d'un savoir sur leș affects, et, ipso facto, d'un savoir vivre, "révélé", comme c'est le cas, par définition, du discours ésotérique [...]. " 500 I. A. Richards, Principles of Literary Criticism, apud Jean Cohen, Structure du langage poétique, op. cît., p. 194. 501
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de définir la poésie à partir d'un ensemble fini de traits stables, distinctifs et conjoints, puisque la notion même de poésie s'est constituée à travers un processus de sédimentation historique complexe. Une définition de cette notion serait fondée sur une moyenne pondérée de traits définis quantitativement et s'assemblant selon des ressemblances de famille. Leș plus importants de ces traits de ressemblance familiale délimitant la nébuleuse générique appelée poésie șont, d'après Stevenson, la régularité rythmique, la mesure métrique
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définis quantitativement et s'assemblant selon des ressemblances de famille. Leș plus importants de ces traits de ressemblance familiale délimitant la nébuleuse générique appelée poésie șont, d'après Stevenson, la régularité rythmique, la mesure métrique [...], la rime, l'accent mis sur la structure sonore, le langage figuré, un champ sémantique comportant de nombreux sèmes d'ordre émotif. " C'est nous qui soulignons. 509 V. Charles L. Stevenson, " Qu'est-ce qu'un poème ? ", în Esthétique et Poétique, op. cît., p. 159. 510
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de quelque œuvre littéraire ou non-littéraire que ce soit. 527 Cees Koster, From word to word : an " armamentarium " for the study of poetic discourse în translation, Rodopi, Amsterdam, 2000, p. 31 : " Tout ce que l'on pourrait dire en général sur la traduction seră valable aussi pour la traduction littéraire, mais pas tout ce que l'on pourrait dire en général sur la traduction littéraire seră valable pour la traduction en général. Le même principe peut être appliqué à la relation
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of poetic discourse în translation, Rodopi, Amsterdam, 2000, p. 31 : " Tout ce que l'on pourrait dire en général sur la traduction seră valable aussi pour la traduction littéraire, mais pas tout ce que l'on pourrait dire en général sur la traduction littéraire seră valable pour la traduction en général. Le même principe peut être appliqué à la relation entre la traduction de la littérature en général et la traduction du discours poétique. " Notre traduction. 528 V. Henri Meschonnic, Poétique du
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paradoxe de la traduction littéraire est de viser le signe linguistique seul, et rien qu'une pârtie du signe, là où la traduction technique-scientifique en est confrontée au référent. " C'est nous qui soulignons. 529 Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 52. 530 Françoise Morcillo, " Quand un poète traduit un autre poète : Manuel Alvarez Ortega et Miguel Veyrat ", în Anales de Filología Francesa, no, 12, 2003-2004, p. 304, consulté le 2 avril 2011, URL : http
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de la poésie un art du langage, et du traducteur un bon technicien du langage, mais conscient de l'effet poétique qui est au fond l'œuvre commune du sens et du son. " 532 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, la Lettre volée, Collection Palimpsestes, Bruxelles, 2003, p. 5. C'est nous qui soulignons. 533 V. K. Richard Baush, Josef Klegraf, Wolfram Wilss, The Science of Translation : An Analytical Bibliography, Narr, Tubingen, 1970 ; Wolfram Wills, The Science
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p. 260. C'est nous qui soulignons. 538 La traduction d'un poème a été considérée comme une " répétition " du poème respectif dans la langue d'accueil, en étroite liaison avec l'original. V. Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 69 : " Une bonne traduction influe sur l'original. [...] La nature imite l'art. De même, si la traduction du poème répète le poème, le poème répète aussi să traduction, et change, ne serait-ce que
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poème a été considérée comme une " répétition " du poème respectif dans la langue d'accueil, en étroite liaison avec l'original. V. Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 69 : " Une bonne traduction influe sur l'original. [...] La nature imite l'art. De même, si la traduction du poème répète le poème, le poème répète aussi să traduction, et change, ne serait-ce que très peu, la rencontre. " C'est nous qui soulignons. 539 V. Édouard
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présenter ". 540 V. Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît. V. également Camelia Petrescu, " Pentru o poetica a traducerii ", consulté le 14 janvier 2011, URL : www.uab.ro/reviste...2002/41 c petrescu.doc. 541 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 8 : " Toute traduction se présente, par nature, comme une interrogation sur l'activité poétique. " C'est nous qui soulignons. 542 V. Clăire Malroux, " Conjurer l'écart, susciter leș rencontres : Traduire la poésie ", în Sillages
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a traducerii ", consulté le 14 janvier 2011, URL : www.uab.ro/reviste...2002/41 c petrescu.doc. 541 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 8 : " Toute traduction se présente, par nature, comme une interrogation sur l'activité poétique. " C'est nous qui soulignons. 542 V. Clăire Malroux, " Conjurer l'écart, susciter leș rencontres : Traduire la poésie ", în Sillages critiques, no. 12, 2011, p. 7, consulté le 2 avril 2011, URL : http://sillagescritiques.revues.org/2324
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129 : " leș critères, quels qu'ils soient, selon lesquels un poème ou une traduction est évaluée, ne șont pas assez nombreux pour permettre vraiment d'évaluer la traduction d'un poème. " V. également Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 11-12 : La légitimité d'une traduction tient à la manière dont elle se trouve en résonance avec le texte de départ. " 546 Inês Oseki-Dépré, Traduction & poésie, op. cît., p. 129. 547 Michael Edwards, Ombres
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