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op. cît., p. 11-12 : La légitimité d'une traduction tient à la manière dont elle se trouve en résonance avec le texte de départ. " 546 Inês Oseki-Dépré, Traduction & poésie, op. cît., p. 129. 547 Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 71. C'est nous qui soulignons. 548 Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op. cît., p. 358. 549 Béatrice Bonhomme et Micéala Symington, " Préface ", în Béatrice Bonhomme
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adapté aux connaissances, aux goûts et aux exigences du public cible. Par exemple, îl adaptera le vocabulaire au niveau actuel de l'évolution de la langue, pour que le texte soit compréhensible. 552 V. Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 12 : " Aucun poème n'est susceptible d'une seule lecture ni d'une traduction définitive, et îl faut se garder de l'anesthésier dans un réseau de significations locales ou prétendument déterminantes. " 553 Henri
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une traduction, plus on veut vous le faire oublier, plus on vous trompe " car " la traduction effaçante est un enfermement ". V. Henri Meschonnic, Gloires. Traduction des Psaumes, op. cît., p. 12 et 120. 562 Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 72. C'est nous qui soulignons. 563 V. Idem, p. 71 : Le traducteur, en répétant un poème, se répète lui-même : îl demeure ce qu'il est, tout en devenant l'autre que le poème
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à l'altérité du monde matériel. [...] S'il arrive d'étranges choses au "je" du poète, îl arrive au "je" du traducteur des choses non moins étranges, mais plus faciles à saisir. " 564 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 10. 565 Idem, p. 18. 566 En ce qui concerne l'" effet de déperdition ", inéluctable dans la traduction poétique, v. Salah Mejri, " Traduction, poésie, figement et jeux de mots ", în Meta : journal des traducteurs
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Meta : journal des traducteurs/Meta : Translators' Journal, vol. 45, no. 3, septembre 2000, p. 412-423, consulté le 2 avril 2011, URL : http://www.erudit.org/revue/meta/2000/v45/n3/003612ar.pdf. 567 V. Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 51 : " Pour ce qui est de la poésie, leș meilleures traductions viennent, sauf exception, de poètes, qui peuvent leș tenir pour aussi importantes que leurs autres poèmes, et étonner même ceux qui ont réfléchi à
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VII, Denis Diderot, Paris, 1994, p. 114-115. 575 V. Erol Kayra, " Le langage, la poésie et la traduction poétique ou une approche scientifique de la traduction poétique ", în op. cît., p. 260. L'auteur affirme qu'il faut " situer le traducteur sur le même plan que celui du poète (stade de fabrication, ou de production, qui consiste à créer comme le poète). D'où le rôle de la création potentielle dans la traduction poétique. " C'est nous qui soulignons. 576 V. Ibid. 577
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respect pour l'aspect esthétique, voire poétique. En ce sens, îl est impératif pour le traducteur de poétiser le texte cible comme l'est le texte source. " C'est nous qui soulignons. 580 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 19-20. C'est nous qui soulignons. 581 V. Alexis Nouss, " Dans la ruine de Babel : poésie et traduction chez Paul Celan ", în op. cît., p. 50 : Nous [leș traducteurs] sommes leș survivants de Babel
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de Babel : poésie et traduction chez Paul Celan ", în op. cît., p. 50 : Nous [leș traducteurs] sommes leș survivants de Babel : ceux qui survivent à să ruine, ceux qui en perpétuent l'héritage. " 582 Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 68. 583 Nous reprenons la définition de la traduction poétique comme écriture dans le sous-chapitre 2. 7., consacré à l'approche interprétative appliquée à la traduction de la poésie. 584 Efim Etkind, Un Art en crise
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le sous-chapitre 2. 7., consacré à l'approche interprétative appliquée à la traduction de la poésie. 584 Efim Etkind, Un Art en crise : essai de poétique de la traduction poétique, op. cît., p. 276. C'est nous qui soulignons. 585 André Meynieux, " Sur l'article D'Edmond Cary "Traduction et poésie" ", extrait de Babel, vol. 3, 3 septembre 1957, p. 137. C'est nous qui soulignons. 586 V. Jean Peeters, Sociolinguistique et sociologie de la traduction, op. cît., p. 32. 587 V. Salah Mejri
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poésie d'Emily Dickinson, Clăire Malroux la caractérise comme " un langage écrit parlé ". V. Clăire Malroux, " Conjurer l'écart, susciter leș rencontres : Traduire la poésie ", în op. cît., p. 5. 595 V. Paul Ricœur, " Défi et bonheur de la traduction ", în Sur la traduction, op. cît., p. 10-11 et 15. 596 Jean-René Ladmiral, Traduire : théorèmes pour la traduction, op. cît., p. 85. 597 V. Idem, p. 12 : " La poésie offrait en effet la difficulté majeure de l'union inséparable du sens et
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în op. cît., p. 31. C'est nous qui soulignons. 604 V. Român Jakobson, Essai de linguistique générale, op. cît., p. 86 : " En poésie, leș équations verbales șont promues au rang de principe constructif d'un texte. [...] la paronomase règne sur l'art poétique ; que cette domination soit absolue ou limitée, la poésie, par définition, est intraduisible. Seule est possible la transposition créatrice. " C'est nous qui soulignons. 605 V. Philippe Lacoue-Labarthe, La poésie comme expérience, Christian Bourgois, Paris, 1986, p.
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de chaque jour fait sortir de ce qui le continue le recommencement qui l'arrache à la répétition. Jamais une fois pour toutes. En retournant l'absence de réponse, la poésie répond au malheur. " 610 Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 51-52. 611 Maurice Merleay-Ponty, Phénoménologie de la perception, op. cît., p. 177. C'est nous qui soulignons. 612 Jean Cohen, Le haut langage. Théorie de la poéticité, op. cît., p. 130. C'est nous qui soulignons
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cité par Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, op. cît., p. 334: " Le langage poétique est la violation systématique de la norme linguistique, ou peut-être plus justement la surimposition d'un ensemble de contraintes sur un autre. [...] Le but même de la poésie est dans une grande mesure la communication d'un sentiment. " 626 Paul Ricœur, " Le paradigme de la traduction ", în Sur la traduction, op. cît., p. 24 et 29. C'est nous qui soulignons. 627
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de la norme linguistique, ou peut-être plus justement la surimposition d'un ensemble de contraintes sur un autre. [...] Le but même de la poésie est dans une grande mesure la communication d'un sentiment. " 626 Paul Ricœur, " Le paradigme de la traduction ", în Sur la traduction, op. cît., p. 24 et 29. C'est nous qui soulignons. 627 V. Idem, p. 25-26 et 33. 628 Idem, p. 27. C'est nous qui soulignons. 629 V. Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l
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cît., p. 309: " L'intraduisible est social et historique, non métaphysique [...]. Tânt que le moment de la traduction-texte n'est pas venu, [...] l'intraduisible passe comme une nature, un absolu. " C'est nous qui soulignons. Meschonnic critique la vision de Jakobson sur l'intraduisibilité de la poésie, qui ferait preuve " de la mythologie de la création subjective " et qui " laisserait tout ce qui est "poésie" hors du champ ". V. Idem, p. 309-310. 630 Idem, p. 314. 631 V. Mário Laranjeira, " Sens et signifiance dans la
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perhaps best not to spend too much time discussing translation it keeps one from translating. Problems arise and are solved, or not, yet writing continues. " (" Îl est peut-être plus convenable de ne pas passer pas trop de temps en discutant sur la traduction cela nous retient de l'exercice proprement dit de la traduction. Des problèmes surviennent et șont résolus, ou ils ne șont pas résolus ; pourtant, l'écriture ne cesse de continuer. " Notre traduction). 632 V. Paul Ricœur, " Le paradigme de la
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cela nous retient de l'exercice proprement dit de la traduction. Des problèmes surviennent et șont résolus, ou ils ne șont pas résolus ; pourtant, l'écriture ne cesse de continuer. " Notre traduction). 632 V. Paul Ricœur, " Le paradigme de la traduction ", în Sur la traduction, op. cît., p. 39 : " [...] îl n'existe pas de critère absolu de la bonne traduction ; pour qu'un țel critère soit disponible, îl faudrait qu'on puisse comparer le texte de départ et le texte d'arrivée à un
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est impossible parce que le texte est irrépétable, sinon que ce texte est toujours susceptible d'une reprise par une quelconque volonté de réplique. Qui plus est, ce texte n'existera, si ce n'est comme matérialité faite des traits sur le papier, qu'aux moments de șes lectures, grace à șes repensées et à șes pénétrations par autrui. " 636 V. Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 58 : " L'impossibilité de la traduction devient la
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ce texte n'existera, si ce n'est comme matérialité faite des traits sur le papier, qu'aux moments de șes lectures, grace à șes repensées et à șes pénétrations par autrui. " 636 V. Michael Edwards, Ombres de lune : réflexions sur la création littéraire, op. cît., p. 58 : " L'impossibilité de la traduction devient la possibilité de la répétition. " C'est nous qui soulignons. 637 Olivier Kachler, " Nier l'intraduisible, qui ment ", păru dans Loxias, Loxias 29, mis en ligne le 21 juin
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obtenue que par une transposition judicieuse qui tienne pleinement compte des différences séparant leș règles prosodiques de base. " V. Edmond Cary, La traduction dans le monde moderne, op. cît., p. 81. C'est nous qui soulignons. V. aussi André Meynieux, " Sur l'article D'Edmond Cary "Traduction et poésie" ", extrait de op. cît., p. 129 : " [...] ériger en doctrine qu'une traduction poétique doit reprendre tous leș aspects prosodiques du poème original, y compris la rime, me pârâit aussi dangereux que vain
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aspects prosodiques du poème original, y compris la rime, me pârâit aussi dangereux que vain. " 653 V., en ce sens, David Connolly, " Poetry Translation ", în Routlege Encyclopedia of Translation Studies, édité par Mona Baker, Routlege, Londres, 1998, p. 174, cité sur http://courses.logos.it/pls/dictionary/linguistic resources.cap 4 26?lang=fr, consulté le 12 janvier 2011 : " La forme du sonnet ne signifie pas qu'elle fera pour le lecteur Nord Américain contemporain ce qu'elle fait pour leș contemporains de Petrarch
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Français) ou un équivalent temporel (vers moderne libre pour leș formes de vers classiques du passé). " C'est nous qui soulignons. 654 Jacques Garelli, Rythmes et mondes, Million, Grenoble, 1991, p. 133. 655 Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît, p. 7. C'est nous qui soulignons. 656 La forme poétique ne doit pas constituer un obstacle à la traduction, elle étant marquée par la relativité: " Le fixisme d'une forme poétique est une vue
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consensus que la modernité ne sait ni n'accepte plus. " 659 Françoise Morcillo, " Quand un poète traduit un autre poète : Manuel Alvarez Ortega et Miguel Veyrat ", în op. cît. C'est nous qui soulignons. 660 Roger Caillois, " Postface ", în Colloque sur la traduction poétique, préface d'Étiemble, postface de Roger Caillois, Gallimard, Paris, 1978, p, 310. 661 André Gide, " Lettre-préface de 1946 ", dans Shakespeare, Œuvres complètes ÎI, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1959, p. 1542-1543. 662 Jean Rohou, Leș études littéraires
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la pensée du langage s'est transformée. Elle est passée de la langue [...] au discours, au sujet agissant, dialoguant, inscrit prosodiquement, rythmiquement dans le langage, avec să physique. Ces deux modes de transformation, dans la politique et dans la pensée, agissent sur la traduction. Leur activité est l'oralité. La littérature est să réalisation maximale. " 669 Idem, p. 11 : " Je travaille à faire entendre le conținu, qui cache le discontinu du signe. Le conținu rythme syntaxe prosodie, qui détermine à son tour
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faire entendre le conținu, qui cache le discontinu du signe. Le conținu rythme syntaxe prosodie, qui détermine à son tour le conținu langage poème éthique politique. " C'est nous qui soulignons. 670 V. Fernand Verhesen, À la lisière des mots : sur la traduction poétique, op. cît., p. 23 : " Poème et traduction sont-ils d'ailleurs autre chose que dialogues entre deux sujets libres ? " C'est nous qui soulignons. 671 Aurélia Klimkiewicz, " Le modèle d'analyse textuelle dialogique : la traduction poétique au-delà du
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