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enjeu du langage dans la typographie ", în Poétique et poésie, " Littérature ", no. 35, 1979, p. 46. 1330 Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p. 76-77. Comme exemples, Jean-Louis Joubert cîte un poème d'Aragon qui joue seulement sur la répétition du nom " persienne " ; l'écriture idéographique de Paul Claudel ; leș " logogrammes " de Christian Dotremont ; leș poèmes de Jacques Prévert et de Raymond Queneau. V. Idem, p. 77-80. 1331 Jacques Prévert, Arbres, Gallimard, Paris, 1976, p. 14. 1332 Nous
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paix et de la guerre. 1913-1916, Gallimard, Paris, 1994. L'analogie entre la cravate et la montre du poème d'Apollinaire est très bien saisie par Jean-Louis Joubert: " Și la cravate est l'homologue des aguilles de la montre, qui se referment sur la dernière heure, cette cravate devient bien inquiétante : comme peut-être la "cravate de chanvre" qui soutient le pendu ! [...] Quand on parcourt leș [...] heures, l'angoisse apparaît : sentiment du temps, spéculation philosophique, inquiétude de l'inconnu, méditation sur la mort, jusqu
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qui se referment sur la dernière heure, cette cravate devient bien inquiétante : comme peut-être la "cravate de chanvre" qui soutient le pendu ! [...] Quand on parcourt leș [...] heures, l'angoisse apparaît : sentiment du temps, spéculation philosophique, inquiétude de l'inconnu, méditation sur la mort, jusqu'à l'heure fatale, ce minuit ( ?) fatidique où la cravate se resserre. [...] C'est le dessin sur la page, opposant la vie et la mort, qui invite à méditer sur le temps : îl suffirait de desserrer la
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le pendu ! [...] Quand on parcourt leș [...] heures, l'angoisse apparaît : sentiment du temps, spéculation philosophique, inquiétude de l'inconnu, méditation sur la mort, jusqu'à l'heure fatale, ce minuit ( ?) fatidique où la cravate se resserre. [...] C'est le dessin sur la page, opposant la vie et la mort, qui invite à méditer sur le temps : îl suffirait de desserrer la cravate du temps pour laisser s'épanouir la beauté de la vie. " V. Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op.
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spéculation philosophique, inquiétude de l'inconnu, méditation sur la mort, jusqu'à l'heure fatale, ce minuit ( ?) fatidique où la cravate se resserre. [...] C'est le dessin sur la page, opposant la vie et la mort, qui invite à méditer sur le temps : îl suffirait de desserrer la cravate du temps pour laisser s'épanouir la beauté de la vie. " V. Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p.73-75. 1339 V. Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op.
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d'autres possibles. Le calligramme met en question leș habitudes de lecture imposées par leș conventions typographiques. Pour le lire, îl faut exploiter toutes leș possibilités de mise en relation des divers éléments (phrases, mots groupés ou isolés) disposés simultanément sur la page. [...] L'espace du calligramme laisse ouvert le choix des associations entre leș éléments du poème. " V. Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p. 73. C'est nous qui soulignons. 1342 V. Jean-Louis Joubert, La poésie
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poème. " V. Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p. 73. C'est nous qui soulignons. 1342 V. Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p. 72 : " Soit le calligramme "Îl pleut" : leș vers tombent obliquement sur la page, comme des rayures de pluie. " 1343 V. Lucian Blaga, Nu crede tu vântului (Ne crois pas au vent), în Opera poetica, op. cît., p. 372. 1344 Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 151. " Leș
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Ce type de découpage est parfois le résultat de l'influence folklorique dans la poésie de Blaga. 1351 Même s'il s'agit d'un procédé de versification, nous avons choisi de traiter l'enjambement dans cette section qui porte sur le côté visuel du signifiant, le considérant comme un cas particulier de découpage du vers. 1352 Pour Jean-Louis Joubert, l'enjambement est une rupture de parallélisme syntaxique. V. Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p. 116 : " L
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visuel du signifiant, le considérant comme un cas particulier de découpage du vers. 1352 Pour Jean-Louis Joubert, l'enjambement est une rupture de parallélisme syntaxique. V. Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p. 116 : " L'enjambement joue [...] sur la rupture du parallélisme : en débordant sur le vers suivant, l'ordre syntaxique vient contredire la structuré métrique, et ce décalage contribue à produire l'effet poétique. " Michèle Aquien voit dans l'enjambement " tout phénomène de dépassement de la syntaxe par
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cas particulier de découpage du vers. 1352 Pour Jean-Louis Joubert, l'enjambement est une rupture de parallélisme syntaxique. V. Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p. 116 : " L'enjambement joue [...] sur la rupture du parallélisme : en débordant sur le vers suivant, l'ordre syntaxique vient contredire la structuré métrique, et ce décalage contribue à produire l'effet poétique. " Michèle Aquien voit dans l'enjambement " tout phénomène de dépassement de la syntaxe par rapport aux limites du vers. " V. Michèle
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doivent pas être traduits séparément ". V. Jean-Paul Vinay, Jean Darbelnet, Stylistique comparée du français et de l'anglais, op. cît., p. 16. 1373 Nous développons l'analyse du permanent travail interprétatif de Paula Romanescu dans le Chapitre VI, qui porte sur la traduction du signifié. 1374 Le résultat de cette analyse se retrouve dans l'Annexe 3. 1375 C'est le cas de la traduction du poème Pan (Pan), în Pașii profetului, édition trilingue, préface par George Călinescu, traduction en français par
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vers " [...] căci ochii i s-au închis că melcii peste iarnă. " qui lui semble trop long, et le traduit par " [...] car șes yeux se șont cloș comme leș escargots -/renfermant l'hiver. " Pourtant, au niveau sémantique, cette traduction est construite sur un contresens : l'expression " renfermer l'hiver ", quand on parle d'animaux, n'existe pas en français ; on dit plutôt " hiberner ". On peut comparer cette variante à la traduction de Paul Miclău (" [...] car șes yeux se șont fermés comme leș
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la traduction de Paul Miclău (" [...] car șes yeux se șont fermés comme leș escargots hibernants ", în Poemele luminii/Leș poèmes de la lumière, op. cît., p. 199), ou à celle de Jean Poncet (" [...] șes yeux se șont cloș tels des escargots sur l'hiver ", în Lucian Blaga ou le chant..., p. 58). Ces deux solutions de traduction n'altèrent pas leș sens du poème source. 1376 Nous avons constaté que, dans le cas de ce traducteur, l'ajout des vers survient souvent comme
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de structures mal choisies (le vers se prolonge inutilement). Parfois une telle décision s'avère être inexplicable. Par exemple, le vers " Privea cum tainele amurgului se vindecau pe bolta " est traduit par " Elle regardait leș mystères du crépuscule qui/*guérisaient sur la voûte " (Lucian Blaga, Legenda (Légende), în Poemele luminii, édition trilingue, préface par Constantin Ciopraga, traduction en français par Paul Villard, op. cît., p. 85). On ne peut pas expliquer pourquoi le traducteur a coupé en deux le vers du
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On ne peut pas expliquer pourquoi le traducteur a coupé en deux le vers du poème source. Să traduction contient, en plus, une erreur d'orthographe (la forme correcte du verbe " guérir " à l'imparfait est " guérissaient "). 1377 Notre conception sur la surtraduction diffère de celle de Vinay et Darbelnet, qui la définissent comme un " vice de traduction qui consiste à voir deux unités de traduction là ou îl n'y en a qu'une ". V. Jean-Paul Vinay, Jean Darbelnet, Stylistique
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Nous rappelons, à ce titre, le poème programmatique Eu nu strivesc corola de minuni a lumii (Je n'écrase pas la corolle de merveilles du monde), în Opera poetica, op. cît., p. 19, qui contient une phrase très ample, disposée sur 15 vers. 1381 V., à titre d'exemple, des poèmes comme Psalm, Domnițele, Veghe , în Opera poetica, op. cît., p. 104, 231 et respectivement 249. 1382 Blaga introduit parfois des citations, voire même des " répliques " dans șes poèmes. V., à
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ci numai intensiv, prin participare la tensiunea emoției estetice [...]. " (" Îl y a aussi une troisième fonction [du tiret] : celle de seuil introductif d'un message qui, du point de vue linguistique, est hermétique, fermé, et ne peut pas être continué sur un plan extensif, mais seulement sur un plan intensif, par la participation à la tension de l'émotion artistique [...]. " Notre traduction.) 1389 V. Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 140 : Ar fi abuziv să atribuim de
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tensiunea emoției estetice [...]. " (" Îl y a aussi une troisième fonction [du tiret] : celle de seuil introductif d'un message qui, du point de vue linguistique, est hermétique, fermé, et ne peut pas être continué sur un plan extensif, mais seulement sur un plan intensif, par la participation à la tension de l'émotion artistique [...]. " Notre traduction.) 1389 V. Alexandra Indrieș, Corola de minuni a lumii..., op. cît., p. 140 : Ar fi abuziv să atribuim de fiecare dată semnului de pauză o
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retours réitérés. " C'est nous qui soulignons. 1402 Jean-Louis Joubert, La poésie. Formes et fonctions, op. cît., p. 110-111. 1403 Le parallélisme peut être sonore (reprise des sons), prosodique (création des rimes), métrique (reprise du rythme), lexical et grammatical (fondé sur des reprises de contenu). V. Michèle Aquien, Dictionnaire de poétique, op. cît., p. 205 : Le parallélisme permet de mettre en valeur des effets d'antithèses comme des rapprochements. " 1404 Henry Suhamy, Leș figures de style, PUF, " Que sais-je? ", Paris, 1981
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un trup voi munților (Vous, leș montagnes, donnez-moi un corps), în Poèmes, Traduction et Avant-propos par Veturia Drăgănescu-Vericeanu, op. cît., p. 106. 1425 Lucian Blaga, Am înțeles păcatul ce apasă peste casa mea (J'ai compris le péché qui pèse sur mă maison), et Domnițele (Leș princesses) în Poèmes, Traduction et Avant-propos par Veturia Drăgănescu-Vericeanu, op. cît., p. 157 et respectivement 213. 1426 L'adjectif est à retrouver également dans le poème Tâlcuri, în Opera poetica, op. cît., p. 327. 1427
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une telle suppression est opérée, îl s'agit surtout de tirets à fonction purement ornementale, décorative, ce qui n'altère pas la signifiance. V. Lucian Blaga, La mănăstire (Au monastère), Un om s-apleacă peste margine (Un homme se penche sur le bord), Ursul cu crin (L'ours au lys), La curțile dorului (À la cour du mystère), Poetul (Le poète), Ardere (Combustion), Cântecul brumelor, urmelor (La chanson des frimas, des traces), Lângă un fluture (Auprès d'un papillon), în Poemele
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que tu l'attends encore ? " 1437 Le nom " Être ", qui commence par une majuscule, acquiert une signification hautement philosophique et peut évoquer, par exemple, le concept de " Dasein " de Martin Heidegger. 1438 Nous partageons la vision de Vinay et Darbelnet sur la particularisation, qui est conçue comme le " procédé inverse de la généralisation : traduction d'un terme général (ou abstrait) par un terme particulier (ou concret). " V. Jean-Paul Vinay, Jean Darbelnet, Stylistique comparée du français et de l'anglais, op. cît., p.
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que le traducteur préserve dans son texte-traduction le tiret du texte d'origine, tout inédit qu'il puisse paraître au lectorat français. 1440 V. aussi Lucian Blaga, Inscripție, în Opera poetica, op. cît., p. 257. Ce poème est construit entièrement sur cinq reprises de contenu, c'est-à-dire sur des vers en miroir. Nous citons ci-dessous leș deux premières reprises de contenu : " Drumurile, pe care nu umblam,/drumurile, ce rămân în noi,/ne duc și ele, fără număr, undeva./ Cuvintele, pe care
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le tiret du texte d'origine, tout inédit qu'il puisse paraître au lectorat français. 1440 V. aussi Lucian Blaga, Inscripție, în Opera poetica, op. cît., p. 257. Ce poème est construit entièrement sur cinq reprises de contenu, c'est-à-dire sur des vers en miroir. Nous citons ci-dessous leș deux premières reprises de contenu : " Drumurile, pe care nu umblam,/drumurile, ce rămân în noi,/ne duc și ele, fără număr, undeva./ Cuvintele, pe care nu le rostim,/cuvintele, ce rămân în
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une simple virgule ou par des points de suspension. V. l'Annexe 6. 1442 V. Lucian Blaga, Canele din Pompei (Le chien de Pompéi), traduit par Alain Caumette, în Poeme alese, op. cît., p. 239. On peut lire " Venant jadis sur moi, par *laporte [...]. " En plus, le traducteur fait commencer parfois des vers qui ne représentent pas des débuts de phrases par une majuscule, fait qui montre qu'il n'a pas un style traductif propre, et qui indique également un
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