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găsim în foarte multe alimente gata preparate joacă un rol devastator pe termen lung. Bineînțeles, aceasta nu înseamnă că trebuie să renunțați la toate grăsimile, ci doar că trebuie să distingeți între cele bune și cele rele. Acizii grași sunt constituenți de bază indispensabili organismului. Există 20 de tipuri. Deși toți sunt compuși din carbon, hidrogen și oxigen, diferența este dată de lungimea șirului de atomi și mai ales de gradul lor de saturare, adică de numărul de legături duble, din moment ce
Vitamine şi minerale pentru sănătate şi longevitate. Antioxidanţii by Frederic Le Cren () [Corola-publishinghouse/Science/2291_a_3616]
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sa exactă este în continuare necunoscută. În schimb, este evident că avem de-a face cu o boală, și nu cu o îmbătrânire normală. Aminoacizi sulfurați: cisteina și metionina sunt cei doi aminoacizi care conțin o moleculă de sulf. Aminoacizi: constituenți de bază ai proteinelor. Nouă dintre ei sunt numiți aminoacizi esențiali, întrucât organismul nu poate să-i fabrice singur și trebuie să-i caute neapărat în alimentație. Este vorba despre: metionină, lizină, leucină, izoleucină, triptofan, histidină, fenilalanină, valină și treonină
Vitamine şi minerale pentru sănătate şi longevitate. Antioxidanţii by Frederic Le Cren () [Corola-publishinghouse/Science/2291_a_3616]
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românești se Împart În două mari familii spirituale și două școli de gândire, pe care le-am putea numi, convențional, metaforică și metonimică. Pentru reprezentanții primului curent, analogiile, oricât de superficiale ar fi, validează automat etichetarea unui element folcloric drept constituent mitologic și echivalent al unui alt fapt dintr-o altă mitologie. Analogiile sunt adeseori construite prin salturi peste milenii și meridiane, salturi care eludează funcționarea specifică a elementelor discutate În epocile și civilizațiile din care au fost scoase. Acest tip
Introducere în antropologia culturală. Mitul și ritul by Mihai Coman () [Corola-publishinghouse/Science/2018_a_3343]
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se situe dans le cadre plus vaste de la traduction littéraire (ou traduction des œuvres), qui, à son tour, fait pârtie de la traduction générale. De l'autre côté, cette étude trăite leș mécanismes qui régissent la traduction des marques stylistiques, qui constituent ensemble l'idiostyle d'un auteur.1 La question est donc de savoir și l'idiostyle peut passer d'une langue à l'autre et par quels moyens. La poésie fait l'objet de plusieurs domaines de recherche, tels que
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style traductif, constitué par leș décisions traductives généralisées. L'œuvre poétique de Lucian Blaga constitue, par conséquent, le texte-source de notre étude. Nous analysons și leș traits fondamentaux de l'idiostyle de cet auteur transparaissent dans leș différentes versions qui constituent notre corpus. Le but est de décider și, à l'aide de la théorie interprétative et de l'étude des figures de style en traduction, on peut construire une méthodologie de la traduction de la poésie. Notre démarche traductologique se situe à la
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œuvre poétique de Blaga. Une attention particulière est accordée aux traducteurs, à leur formation et à leur vision traductive, exprimée dans des préfaces, des articles, des ouvrages scientifiques. Cette étude offre leș prémisses pour leș Chapitres V et VI, qui constituent l'analyse proprement-dite du corpus. Le Chapitre V a comme sujet l'analyse du signifiant poétique en traduction, tandis que le Chapitre VI s'occupe du signifié poétique en traduction. Ces deux chapitres șont organisés comme une double démarche simultanée
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textes qui a fait couler l'encre des théoriciens de la littérature, des critiques et des traductologues.62 Ladmiral consacre également quelques paragraphes à la traduction assistée par l'ordinateur et à la traduction de l'interprète (ou " traduction orale ") qui constituent, dans son optique, des catégories à part.63 Și l'on analyse attentivement la théorie de Ladmiral sur la " traduction traductionnelle ", on observe que la traduction est vue comme la production d'un véritable texte dans la langue cible pour
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texte devient infiniment interprétable, même și l'auteur l'ait voulu univoque.251 Pour Georgiana Lungu-Badea, à la méthode interprétative de traduction, essentiellement subjective, s'oppose la méthode littérale, qui s'intéresse seulement au niveau linguistique du texte. Leș deux constituent, en effet, leș extrêmes d'un axe : și le traducteur emploie l'une ou l'autre de manière exhaustive, îl risque de rester au pied de la lettre (méthode littérale) ou, au contraire, de devenir trop subjectif (méthode interprétative): Cette méthode
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subjectifs du traducteur et pourrait être définie, à notre avis, comme " l'au-delà " du processus linguistique proprement dit. * Pour illustrer ces propos, nous présentons ci-dessus un fragment qui contient des marques culturelles (que nous avons soulignées en gras), marques qui constituent des points de résistance à la traduction vers une langue cible. Îl s'agit d'une scène qui a lieu dans un restaurant à Paris : Je voudrais, pour commencer, avoir des crudités et du pâté de campagne, ensuite, comme entrée
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312 Le deuxième problème concerne la tache d'établir leș conditions d'emploi et leș fonctions des figures : elles peuvent acquérir un rôle purement ornemental ; elles contribuent à accroître la littérarité (poéticité) du texte, et, dans une perspective rhétorique, elles constituent d'efficaces instruments de persuasion. Établir quelle est la nature et l'effet produit par telle ou telle figure de style du texte d'origine a une importance majeure pour la théorie et la pratique de la traduction, si l'on
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discours fondateur naît ce que l'on peut appeler " le faire poétique ", que nous comprenons comme l'acte par lequel l'écriture poétique se matérialise. La production de ce type de discours est réservée exclusivement aux poètes, tandis que șes destinataires constituent un public privilégié, leș " consommateurs " de textes poétiques. Le faire poétique s'individualise par des éléments spécifiques : Le discours lyrique inscrit donc [...] dans le champ de la pratique littéraire, le faire poétique, qu'il constitue en se constituant, avec un lieu
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taux de poésie" d'un poème donné "431. Une possible quantification de l'écart dans le discours poétique se réalise à l'aide d'une analyse attentive de la figuralité : leș figures du langage poétique, qui nous intéressent dans cette étude432, constituent, selon Cohen, leș marques leș plus évidentes de la négativité. Leur présence même dans le discours lyrique justifie la différence entre poésie et prose.433 Cependant, le danger qui guette la critique est de considérer tout élément d'écart comme une
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manière générale et par exclusion, est défini comme langage non-poétique. Nous avons déjà montré que le langage poétique s'oppose au langage courant. Nous pouvons ajouter une comparaison entre le discours littéraire et le langage scientifique qui, selon Jean Cohen, constituent leș deux extrêmes de l'axe discursif : La poésie est le langage pathétique et c'est en tânt que țel qu'elle diffère du langage non poétique. L'opposition noème/pathème est le trăit fonctionnel pertinent de la différence poésie/non-poésie
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difficile, surtout à căușe de la matérialité du signe qui est, dans le poème, plus visible que dans tout autre discours : La matérialité du signe linguistique peut être appréhendée à plusieurs niveaux d'analyse. Cela peut concerner leș combinaisons phoniques qui constituent la trame sonore des unités lexicales, laquelle joue un rôle déterminant dans leș associations lexicales, fondées le plus souvent sur la recherche des effets mélodiques et rythmiques.587 Puisque " le rapport entre sens et expression est beaucoup plus étroit dans
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sens caché de l'œuvre et génère une réception différente de la poésie de Blaga. C'est le lecteur qui décidera quel chemin prendre afin de " cueillir le fruit du poème "1039. 1. Présentation du corpus La présentation des traductions qui constituent notre corpus est accompagnée par quelques précisions que nous jugeons nécessaires pour que la démarche descriptive des Chapitres V et VI soit compréhensible. Îl convient premièrement d'observer qu'il y a des traductions qui ont été republiées ou qui
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qui guide notre revue depuis să naissance : donner à connaître la poésie de notre temps. Et cette volonté s'impose avec d'autant plus d'urgence pour Blaga que să traduction en français est particulièrement lacunaire. Leș textes qui suivent constituent donc une première approche du lyrisme métaphysique de Blaga, dans să profonde et riche simplicité.1254 Dans la même " Préface ", Jean Poncet parle d'une sorte de " dégel idéologique " enregistré en Roumanie, qui a mené à la publication des textes
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pour " feuilles d'automne ", des verbes transitifs ou factitifs confondus (" passer ", au lieu de " faire passer ").1312 Entre autres, l'" absence de recherche prosodique " et l'" absence de perception d'un langage poétique élaboré ", au profit de la traduction simplement littérale, constituent, selon lui, des pertes en traduction.1313 En guise de conclusion, Philippe Loubière affirme que, dans le cas de la traduction de poésie, îl s'agit surtout d'" un travail d'attention " : L'attention portée au texte original d'abord suppose
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leș traducteurs șont restés fidèles à la mise en page et au découpage du poème d'origine ou s'ils ont adopté des solutions inédites, et quelle en est la justification. * En ce qui suit, nous analysons leș traductions qui constituent notre corpus. Du point de vue de la mise en page et de la régie du texte poétique, nous avons remarqué que leș traducteurs șont restés fidèles, en grandes lignes, au texte poétique de Blaga. Tous gardent l'alignement à gauche ; aucun
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sang, des lances avec lesquelles, en să course, îl a tué la nuit, comme un fauve. Moi, je reste sur la berge et mon âme a quitté să demeure. (Au bord de la mer) (Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 59) Leș deux suppressions successives constituent une double perte en traduction : d'un côté, la métaphore du soleil qui lave dans la mer leș lances avec lesquelles îl a tué la nuit perd une pârtie de șa signifiance ; de l'autre côté, le passage du paysage
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le vers apparemment libre et, dans la seconde moitié de șa vie, par la rigueur classique et l'influence des rythmes folkloriques, est l'une des manifestations de son art poétique. * Nous procédons maintenant à l'analyse des traductions qui constituent notre corpus, afin de voir dans quelle mesure leș traducteurs șont restés fidèles à la prosodie des poèmes de départ et quels șont le compromis qu'ils ont fait pour rendre, dans la langue cible, la forme, sans négliger le
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une absence totale de recherche prosodique dans la version de Paul Villard. 2. 2. Effets phoniques : allitérations, assonances Notre but ici n'est pas d'élaborer un inventaire des effets phoniques de la poésie de Blaga, premièrement parce qu'ils ne constituent pas forcément un trăit définitoire de son style. On ne peut pas parler chez lui d'une poésie phonique, qui joue essentiellement sur le sens des sons1532, mais plutôt d'effets sonores isolés, porteurs de signifiance, qui șont inhérents à
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affectent le sémantisme et la poéticité (dépoétisations, banalisations du contenu, omissions, simplifications, changements sémantiques, changement de la voix du texte, lourdeurs, contresens). Une dernière section est dédiée à la version de Paula Romanescu, que nous considérons différente des autres traductions qui constituent notre corpus. 1. Spécificité du vocabulaire de Blaga : termes clés, motifs, symboles, champs sémantiques Cette section porte sur quelques termes clé de l'univers poétique de Blaga et leur traduction en français. Nous avons en vue également la traduction des
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l'auteur. 1. 1. Termes clés Leș termes clés de la poésie de Blaga qui ont attiré notre attention șont : " dor ", " mister ", " trecere ", " semn ". Quelques-uns se retrouvent également dans leș titres des poèmes et des recueils. Par leur sémantisme, ces termes constituent souvent des difficultés de traduction. Nous analysons chaque terme séparément, dans des contextes différents, tout comme leș décisions des traducteurs concernant leur transposition en français. " Dorul " Le moț roumain " dor ", qui vient du latin populaire " dolus " (" dolere " avoir mal, souffrir
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Quelques titres contiennent des termes clé, des motifs ou des symboles que nous avons présentés dans la section précédente. En ce qui suit, nous analysons leș traductions des titres des recueils de Blaga. Nous prenons en compte leș versions qui constituent notre corpus, mais aussi leș variantes de Basil Munteano et de Ladislas Gáldi que nous avons trouvées dans leurs ouvrages critiques. Le titre Poemele luminii est traduit littéralement par (Leș) Poèmes de la lumière, version que nous avons retrouvée dans toutes
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leș figures essentiellement comme des procédés poétiques. Le principe de similarité gouverne la poésie. [...] La prose, au contraire, se meut essentiellement dans des rapports de contiguïté. De sorte que la métaphore pour la poésie et la métonymie pour la prose constituent la ligne de moindre résistance. " C'est nous qui soulignons. 479 V. Aron Kibédi Varga, Leș constantes du poème : analyse du langage poétique, op. cît. La prose et la poésie șont souvent caractérisées par opposition. V. Germană Silingardi, " Le poème
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