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și cultura indiană, Institutul European, 2004, p. 5-16. LISTĂ DE LUCRĂRI a prof. univ. dr. DEMETRIO MARIN de la Universitatea din Bari* 1943 Părăsirea Daciei Traiane în izvoarele literare antice, "Buletinul Institutului de Filologie Română" (Iași), 10, 1943, pp. 163-186. Lucrece vu par M.T. Cicéron, "Buletinul Institutului de Filologie Română", 10, 1943, pp. 187-189 O inadvertență a lui A. Meillet, "Buletinul Institutului de Filologie Română", 10, 1943, pp. 189-190. Secundum ea (Sall. Iug. 14, 3), "Revista clasică" (București) 15, 1943, pp. 60-64
India şi Occidentul : studii de istoria culturii by Demetrio Marin [Corola-publishinghouse/Science/1393_a_2635]
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romano in Romania; X. Latinita iberica e latinita dacica: aspetti convergenti e divergenti; XI. Dionisio di Alicarnasso e il latino; XII. Grammatica e storia nella carriera di C. Iulius Celsus Maximianus; XIII. L'epigrafe latino-greca di Lavello (Lucania); XVI. Lucrece vu par M.T. Cicéron; XV. Una inavvertenza di A. Meillet; XVI. Secundum ea (Sall. Iug. 14, 3). Lingua e stile del "Saggio del Sublime", I, "Annali della Facolta di Magistero e Filosofia dell' Universita di Bari", 11, 1972, pp. 527-570. Maran
India şi Occidentul : studii de istoria culturii by Demetrio Marin [Corola-publishinghouse/Science/1393_a_2635]
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dinții albi, limpezi, strălucitori... Cunoscuse cândva, de mult, într un timp pe care nu și-l putea preciza, ceva care îi amintea de un anumit timp, de o anumită viață pe care o pierduse demult“ . Este un fel de déjà vu sau ceea ce are în inconștientul său, pe anima. Ileana este cu atât mai deosebită, cu cât pe ea, fără să-și poată explica de ce, Ștefan nu se poate supăra, căci: „Tu nu ești ca oricare din noi. Tu trăiești într-
Maria Ungureanu by Fantasticul în opera lui Mircea Eliade – Monografie () [Corola-publishinghouse/Science/1606_a_2947]
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de această campanie de opinie, îl trimite pe Picot la Paris. Acesta asistă la ședința comitetului central al Alianței Israelite Universale pe 22 iulie 1867 și publică la Paris în anul următor La Question des israélites roumains au point de vue du droit (Problema israeliților români din punctul de vedere al dreptului), unde nu ezită să scrie: "Este de remarcat că în dreptul vechi ideea de naționalitate definită așa cum este ea astăzi era abia cunoscută și nu era cuprinsă în nici o lege
Istoria Românilor by CATHERINE DURANDIN [Corola-publishinghouse/Science/1105_a_2613]
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era deloc momentul să fii liber. Mulțimile moderne voiau pîine și cinema: un drog? De ce nu?" Fondane eseistul se întîlnește cu Fondane poetul, cel care eliberează mulțimile dezrădăcinate de război. Poemul Ulysse (1929) oferă o imagine a acestora: J'ai vu ces paysans en 1914 Fuir les Autrichiens, quitter la terre au con des boeufs, De leurs corps ils ensemençaient la vieille terre, Ils fuyaient la mort pour la mort, La guerre était si longile, le naufrage infini Que les hommes
Istoria Românilor by CATHERINE DURANDIN [Corola-publishinghouse/Science/1105_a_2613]
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1894. Ollivier, Émile, "La première candidature Hohenzollern", în Revue des Deux Mondes, 15 iunie 1902. Ornea, Z., Junimea și junimismul, București, 1975. Panu, G., Amintiri de la Junimea din Iași, București, 1971. Picot, Emile, La Question des Israélites roumains aupoint de vue du droit, Paris, 1868. Platon, Maria, Vasile Alecsandri, poeții felibri și "cîntecul gintei latine", lași, Editura Junimea, 1980. Rosetti, Constantin A., Corespondență, București, Editura Minerva, 1980. Sincerus, E., Evreii în România, Londra, 1901. Sturdza, Minai Dim., "Junimea, societate secretă", în
Istoria Românilor by CATHERINE DURANDIN [Corola-publishinghouse/Science/1105_a_2613]
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3 noiembrie 1960. * Claude Mauriac, "Un événement: Les trois matières", Le Figaro, 9 noiembrie 1960. * Jean-François Revel, "Les trois matières", France-Observateur, 17 noiembrie 1960. * Alain Bosquet, "Mes douze livres de 1960", Combat, 22 decembrie 1960. * Georges Mathieu, "Les trois matières vu par Mathieu", Arts, 3 ianuarie 1961. * Raymond Ruyer, ""Les trois matières" par Stéphane Lupasco", L'Express, 9 februarie 1961. * Jean-Paul Weber, "Les trois matières", NRF, nr. 99, 1 martie 1961. * Paul Serant, "La recherche philo-sophique contemporaine", Revue des Deux Mondes
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organisations internationales et les missions des pays qui demandaient des informations sur les conséquences du tremblement de terre du 4 Mars 1977 en Roumanie et sur les besoins d'assistance humanitaire. Cette tache n'a pas été des plus faciles, vu la situation extraordinaire et difficile à laquelle devrait faire face la Roumanie. În cele ce urmează, sunt prezentate acțiunile întreprinse de Misiunea Permanentă a României de la Geneva, pentru a răspunde solicitărilor Oficiului ONU, organizațiilor internaționale umanitare cu sediul la Geneva
[Corola-publishinghouse/Science/1455_a_2753]
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chinois taïwanais mort récemment (en 2008), emprisonné pendant huit ans pour une traduction du dessin animé de Popeye, parce que la traduction fut interprétée comme une critique du dirigeant Tchang Kaï-check "45. On peut affirmer que le statut du traducteur, vu parfois comme importateur d'idées nouvelles dans un milieu cible peu permissif, n'est donc pas moins fragile qu'il le fut au Moyen Âge. 2. De la traduction à la traductologie Și nous avons présenté dans le premier sous-chapitre une
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l'écriture 75, Henri Meschonnic élève l'acte de traduire au niveau d'une épistémologie.76 L'idée de la traduction vue comme écriture șui generis dans le milieu cible est à retrouver également chez d'autres traductologues 77, qui ont vu parfois dans le traducteur un écrivain en puissance.78 Și la traduction est écriture, elle est également acte de création, donc acte poétique : " Dans la mesure où l'effort poétique consiste à se mettre à l'écoute de "l'autre
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connaît le progrès grace aux hypothèses qu'elle avance et qui șont prouvées ultérieurement. C'est donc l'hypothèse, l'intuition, celle qui précède l'expérience. Cependant, dans le cas de la traduction, l'expérience précède l'hypothèse. Comme on a vu dans le premier sous-chapitre, la traduction descend de la nuit des temps, étant pratiquée oralement par leș civilisations anciennes qui ont dû se faire comprendre. Ensuite, l'histoire a enregistré des traductions sous la forme écrite, dont la plus fameuse et
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attention sur le niveau purement métaphorique de la phrase : îl ne tient pas compte du fait qu'il y a, probablement, de la poussière dans l'air, et considère que le rayon de soleil qui entre par la lucarne du grenier est vu par l'écrivain comme " une barre de poussière d'or ". 3) réexpression : Une difficulté de traduction est la présence du moț " barre " dans le texte de départ, poétique en français dans ce contexte, mais pas du tout poétique en roumain
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s'associent aux significations linguistiques des discours et des textes, pour constituer le sens. Ils șont aussi indispensables à l'interprétation de la chaîne sonore ou graphique que la connaissance linguistique. "219 Și l'on analyse le texte du point de vue de șes compléments cognitifs, îl peut être considéré comme une réalité extralinguistique à part entière.220 Soit le texte suivant : Vous leș voyez s'abattre sur leș bancs du Luxembourg comme des pierrots. Pour rendre le texte compréhensible pour lecteur
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discours. La reformulation/réexpression La reformulation du sens source constitue la dernière étape du processus de traduction, fruit de la compréhension et de la déverbalisation. Parfois, cette phase suppose aussi un certain écart par rapport à la forme source, comme on a vu lors de la traduction du texte de Marcel Pagnol. L'important est de conserver l'invariant de la traduction, le sens et, dans le cas de la traduction des œuvres, le style de départ. En d'autres mots, traduire c'est comprendre le
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culture, en pratique îl se concrétise dans l'existence des marques à retrouver dans le texte, étant caractérisé comme " rien d'autre que la réussite textuelle "298. C'est la présence de telles marques qui nous intéresse du point de vue de la transposition en langue cible : elles concernent, d'un côté, la structure d'ensemble de l'ouvrage et le genre de texte à composer et à traduire (formules, vocabulaire, tournures), et, de l'autre côté, leș effets esthétiques et affectifs
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adopte. Leș " normes externes " relèvent, par contre, du domaine social, étant expliquées par l'approche sociolinguistique de la traduction. La traduction n'est pas seulement une opération linguistique : le texte à traduire requiert de la part du traducteur un effort d'interprétation. Vu que l'approche fonctionnaliste de la traduction (ou la théorie du skopos) ne s'applique pas aux textes littéraires, nous avons analysé la théorie du sens de Marianne Lederer et Danica Seleskovitch du point de vue de son applicabilité à la
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traducteur un effort d'interprétation. Vu que l'approche fonctionnaliste de la traduction (ou la théorie du skopos) ne s'applique pas aux textes littéraires, nous avons analysé la théorie du sens de Marianne Lederer et Danica Seleskovitch du point de vue de son applicabilité à la traduction des œuvres. Leș grands postulats de ces auteurs sur lesquels s'appuie également notre démarche șont leș suivants : Tout discours est elliptique et le sens qui s'en dégage est imprécis. La traduction, qui
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objectif de découvrir leș secrets "339. Selon Meschonnic, la poétique devrait étudier " le langage poétique comme système, mais non modèle "340. Le but de la poétique est d'identifier leș mécanismes qui régissent le fonctionnement du texte lyrique, texte qui est vu souvent, surtout par la linguistique, comme un " écart " ou une " violation systématique des normes langagières "341. Îl y a aussi d'autres approches, plus récentes, qui voient dans la poétique " la théorie de la poésie, c'est-à-dire d'un genre littéraire
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une des plus grandes difficultés lors du processus de traduction.368 À part la complexité du signe, une autre réponse possible à la question que nous avons formulée ci-dessus est la figuralité, la présence des tropes. Avec Jakobson, on a vu que le discours poétique se différencie du discours narratif par des traits de nature stylistique : cette distinction est " celle de la métaphore-poésie et de la métonymie-prose "369. Voilà une remarque catégorique qui sépare le discours lyrique, par să fonction et șes caractéristiques
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du langage poétique qui lui confèrent l'unicité et le différencient du langage commun. Jean Cohen associe l'emploi des figures de langage, qui constitue le propre du discours lyrique, à la notion d'" écart "371 : " Le langage poétique " est vu non comme un sur-code, mais comme un anti-code. Cette théorie définit la poéticité par la figuralité, la figure elle-même constituant un processus à deux temps, dont le premier peut être décrit comme " écart " ou " déviation " par rapport aux normes du
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autres mots, la dualité du signe poétique n'altère pas son unité et să motivation dans le discours : " Car îl va de soi que l'indissolubilité du son et du sens, c'est la motivation du signe ", affirme Genette.386 Vu l'importance du signifiant, Jean Cohen conçoit le discours poétique en opposition avec le discours narratif et proclame, ainsi, la dualité du signe poétique : " Le langage, on le sait, s'analyse à deux niveaux, phonique et sémantique. La poésie s
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et rien que forme "401, Jean Cohen lance la thèse de la prééminence de la forme. Îl est pourtant trop risqué de réduire le signe poétique à la simple composante formelle, car on arrive à minimiser le signifié poétique. Du point de vue de la transposition en langue cible, on ne peut pas ignorer leș éléments formels, tout comme îl est interdit de leur accorder une importance démesurée, en sacrifiant le message pour la rime par exemple.402 Îl ne faut pas oublier que
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autre, sacrifiée à son sens, elle ne lui est pas subordonnée, elle jouit d'une importance (au moins) égale à la sienne ; cette égalité d'importance s'illustre d'une nouvelle comparaison : c'est l'image du pendule. Nous avons vu que le texte poétique, une fois " compris ", exige d'être repris dans să forme : dans l'expérience poétique, l'esprit va donc de la forme au sens, puis revient du sens à la forme (ou " son ") ; et ainsi de suite, comme
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nous partageons : " [...] le trăit qui caractérise le poème, c'est son unité ; unité à la fois formelle et sémantique. [...] Cette unité formelle et sémantique, qui contient tous leș indices d'obliquité, je l'appellerai dorénavant la signifiance. Du point de vue du sens, le texte est une succession linéaire d'unités d'information ; du point de vue de la signifiance, le texte est un tout sémantique unifié. "409 Signifiant et signifié, dans leur unité indissoluble et harmonieuse, construisent la signifiance, c'est
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formelle et sémantique. [...] Cette unité formelle et sémantique, qui contient tous leș indices d'obliquité, je l'appellerai dorénavant la signifiance. Du point de vue du sens, le texte est une succession linéaire d'unités d'information ; du point de vue de la signifiance, le texte est un tout sémantique unifié. "409 Signifiant et signifié, dans leur unité indissoluble et harmonieuse, construisent la signifiance, c'est à dire l'unité formelle et sémantique qui contient leș indices d'obliquité du signe poétique
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