177,866 matches
-
ce qui concerne le sens, ensuite en ce qui concerne le style "301. La solution avancée par Nida est de récréer dans la langue réceptrice leș particularités stylistiques du texte original ; en d'autres mots, de représenter le style du texte de départ par un style qui soit fonctionnellement équivalent, plutôt que formellement identique dans la langue d'arrivée. L'idéal est, donc, de produire en langue cible un texte qui crée leș mêmes effets esthétiques et affectifs que celui de la
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
texte original ; en d'autres mots, de représenter le style du texte de départ par un style qui soit fonctionnellement équivalent, plutôt que formellement identique dans la langue d'arrivée. L'idéal est, donc, de produire en langue cible un texte qui crée leș mêmes effets esthétiques et affectifs que celui de la langue source (ce que Nida appelle " équivalence dynamique "302). On pourrait dire que, en théorie, le texte cible devrait se situer au même niveau stylistique que le texte d
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
d'arrivée. L'idéal est, donc, de produire en langue cible un texte qui crée leș mêmes effets esthétiques et affectifs que celui de la langue source (ce que Nida appelle " équivalence dynamique "302). On pourrait dire que, en théorie, le texte cible devrait se situer au même niveau stylistique que le texte d'origine. Selon certains auteurs, la traduction fidèle au style du texte source constitue un critère de réussite de la traduction : " Dans cet Âge d'Or à venir, îl seră
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
un texte qui crée leș mêmes effets esthétiques et affectifs que celui de la langue source (ce que Nida appelle " équivalence dynamique "302). On pourrait dire que, en théorie, le texte cible devrait se situer au même niveau stylistique que le texte d'origine. Selon certains auteurs, la traduction fidèle au style du texte source constitue un critère de réussite de la traduction : " Dans cet Âge d'Or à venir, îl seră même possible de dire qu'une traduction ne saurait être fidèle
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
de la langue source (ce que Nida appelle " équivalence dynamique "302). On pourrait dire que, en théorie, le texte cible devrait se situer au même niveau stylistique que le texte d'origine. Selon certains auteurs, la traduction fidèle au style du texte source constitue un critère de réussite de la traduction : " Dans cet Âge d'Or à venir, îl seră même possible de dire qu'une traduction ne saurait être fidèle sans être un texte de même valeur stylistique dans la langue réceptrice
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
certains auteurs, la traduction fidèle au style du texte source constitue un critère de réussite de la traduction : " Dans cet Âge d'Or à venir, îl seră même possible de dire qu'une traduction ne saurait être fidèle sans être un texte de même valeur stylistique dans la langue réceptrice que le texte original dans la langue source. "303 Pourtant, en pratique, leș choix opérés par leș traducteurs ne șont jamais innocents, et le principe de l'équivalence dynamique est parfois enfreint
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
un critère de réussite de la traduction : " Dans cet Âge d'Or à venir, îl seră même possible de dire qu'une traduction ne saurait être fidèle sans être un texte de même valeur stylistique dans la langue réceptrice que le texte original dans la langue source. "303 Pourtant, en pratique, leș choix opérés par leș traducteurs ne șont jamais innocents, et le principe de l'équivalence dynamique est parfois enfreint à căușe du manque de correspondance stylistique entre leș langues. Une
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
pouvoir créateur du traducteur: Créer la surprise, piquer l'intérêt, ouvrir leș portes de l'imaginaire, sans perdre le contact avec le lecteur, sans créer une barrière de perplexité qui romprait le lien de connivence indispensable entre le producteur du texte [...] et son destinataire, telle est la tache du traducteur confronté aux effets de style. Mais, pour que ce principe général, sur lequel tout le monde s'accorde, prenne corps concrètement, phrase après phrase, une bonne connaissance des diverses modalités du
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
traits équivalents.305 Selon le même traductologue, reste hors discussion " l'attitude qui se veut intermédiaire, en cherchant une sorte d'équivalence chimérique et qui ne satisfait à personne "306. Nous analysons en détail la traduisibilité des marques stylistiques du texte poétique de Lucian Blaga dans leș Chapitres V et VI de notre thèse. 5. 2. Traduisibilité de la figure Și le style a été compris comme l'un des facteurs qui créent la littérarité, la figure a été souvent proclamée écart
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
auxquels on compare leș signes réels en posant leur équivalence sémantique. "309 Toute figure entretient, en effet, un rapport subtile avec le référent qu'elle est censée représenter, référent, " visible en transparence, comme un filigrane, ou un palimpseste, sous son texte apparent "310. Leș figures de style, ces " fleurs de la rhétorique ", posent deux problèmes d'ordre théorique. Le premier fait référence à la tache de leur nomenclature. En ce sens, un ouvrage de référence est le " traité complet " des figures de
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
d'élocution, de style et de pensée.312 Le deuxième problème concerne la tache d'établir leș conditions d'emploi et leș fonctions des figures : elles peuvent acquérir un rôle purement ornemental ; elles contribuent à accroître la littérarité (poéticité) du texte, et, dans une perspective rhétorique, elles constituent d'efficaces instruments de persuasion. Établir quelle est la nature et l'effet produit par telle ou telle figure de style du texte d'origine a une importance majeure pour la théorie et
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
purement ornemental ; elles contribuent à accroître la littérarité (poéticité) du texte, et, dans une perspective rhétorique, elles constituent d'efficaces instruments de persuasion. Établir quelle est la nature et l'effet produit par telle ou telle figure de style du texte d'origine a une importance majeure pour la théorie et la pratique de la traduction, si l'on applique le principe de l'" équivalence d'effet " énoncé par Nida. Nous analysons l'effet des particularités stylistiques de l'œuvre poétique de
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
entière dans la culture d'arrivée, un " texte-traduction ", concept qui se retrouve également dans leș Chapitres V et VI de notre thèse. La traduction représente pour nous une opération communicative fondée sur une ou plusieurs équivalences, selon la nature du texte source. Dans le cas de la traduction des œuvres, c'est l'équivalence stylistique qui est prioritaire, ensuite l'équivalence sémantique. Nous avons présenté ensuite quelques approches du domaine de la traductologie, cette discipline transdisciplinaire par excellence. En ce qui concerne la
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
du style de l'auteur. Nous avons analysé également la question des normes en traductologie, et nous avons montré que le concept est trop vague : nous préférons associer aux " normes internes " leș " valeurs " que le traducteur identifie au niveau du texte et leș " stratégies " qu'il adopte. Leș " normes externes " relèvent, par contre, du domaine social, étant expliquées par l'approche sociolinguistique de la traduction. La traduction n'est pas seulement une opération linguistique : le texte à traduire requiert de la part du
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
le traducteur identifie au niveau du texte et leș " stratégies " qu'il adopte. Leș " normes externes " relèvent, par contre, du domaine social, étant expliquées par l'approche sociolinguistique de la traduction. La traduction n'est pas seulement une opération linguistique : le texte à traduire requiert de la part du traducteur un effort d'interprétation. Vu que l'approche fonctionnaliste de la traduction (ou la théorie du skopos) ne s'applique pas aux textes littéraires, nous avons analysé la théorie du sens de Marianne Lederer
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
appuie également notre démarche șont leș suivants : Tout discours est elliptique et le sens qui s'en dégage est imprécis. La traduction, qui est interprétation du sens, est, par conséquent, une opération subjective. Le traducteur devient interprète, herméneute, exégète du texte à traduire.313 À la différence des textes scientifiques, qui demandent plutôt une recherche terminologique, la traduction des œuvres demande un travail exégétique de la part du traducteur : [...] îl faut donc que le texte à traduire ait été expliqué, qu'une
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
Le traducteur devient interprète, herméneute, exégète du texte à traduire.313 À la différence des textes scientifiques, qui demandent plutôt une recherche terminologique, la traduction des œuvres demande un travail exégétique de la part du traducteur : [...] îl faut donc que le texte à traduire ait été expliqué, qu'une exégèse en ait été faite, ce qui explique un choix des textes longs, ou du moins complets, sans coupure, même și la traduction ne porte que sur une pârtie du texte, mettant en
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
que le texte à traduire ait été expliqué, qu'une exégèse en ait été faite, ce qui explique un choix des textes longs, ou du moins complets, sans coupure, même și la traduction ne porte que sur une pârtie du texte, mettant en relief l'argumentation logique et l'enchaînement des idées.314 Le processus de traduction comprend trois phases : la compréhension, la déverbalisation (contestée par Ladmiral, qui la considère purement psychologique) et la reformulation/réexpression. La signification abstraite des termes
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
de synecdoque (l'implicite, le non-dit) du discours de départ. Leș limites de la théorie interprétative peuvent être gérées à l'aide du travail critique du traducteur et du traductologue. L'éthique du traducteur est essentielle pour que l'interprétation du texte ne devienne une " mauvaise interprétation " à but manipulatoire, comme nous avons observé dans l'analyse du corpus de traductions de textes de presse construit par Magda Jeanrenaud. La dernière pârtie de ce chapitre a été consacrée à la reconsidération du concept
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
acquiert un sens élargi grace au phénomène de la mondialisation. Dans l'intérêt de notre démarche, nous retenons leș concepts de " culturème ", de résistance à la traduction, tout comme d'ouverture vers l'étrangeté, vers l'Autre. La traduction d'un texte littéraire suppose deux types de difficultés : de nature linguistique et de nature sociolinguistique (culturelle) et stylistique. Nous avons défini le style comme l'ensemble des choix opérés par l'auteur au niveau du texte source, afin d'en établir le
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
l'Autre. La traduction d'un texte littéraire suppose deux types de difficultés : de nature linguistique et de nature sociolinguistique (culturelle) et stylistique. Nous avons défini le style comme l'ensemble des choix opérés par l'auteur au niveau du texte source, afin d'en établir le genre et de créer des effets esthétiques et affectifs (de faire connaître ce que nous appelons l'" idiostyle ", c'est-à-dire la totalité des marques stylistiques propres à un auteur). En tânt que méthodes de
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
retenu la recréation des effets stylistiques dans la langue cible et le remplacement des marques stylistiques par des marques stylistiques équivalentes de la langue d'arrivée. Nous considérons qu'une méthode efficace de la traduction des œuvres est l'herméneutique appliquée au texte, à laquelle s'ajoute l'effort de recréer leș marques stylistiques dans la langue cible, ou de leș remplacer par des marques stylistiques équivalentes. Leș Chapitres V et VI de notre thèse portent sur la traduction en français des figures
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
des marques stylistiques équivalentes. Leș Chapitres V et VI de notre thèse portent sur la traduction en français des figures de style (que nous appelons également " effets de style ")315 de l'œuvre poétique de Lucian Blaga. ÎI. FONDEMENTS THÉORIQUES : TEXTE POÉTIQUE ET TRADUCTION Introduction Le deuxième chapitre de notre thèse est une approche théorique du discours poétique. La première pârtie du chapitre est dédiée au fonctionnement du discours poétique, démarche qui nous permet de délimiter quelques concepts que nous reprenons
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
son occurrence, le lieu social où îl se produit, le champ de pratique humaine qui le contraint). En tânt que processus de sémiotisation du monde, le discours fait référence à l'objet empirique soumis à l'analyse, c'est-à-dire au texte, oral ou écrit, porteur de traces de l'occurrence discursive, aussi bien que de contraintes du genre discursif.319 Tous ces facteurs favorisent, en effet, l'acte discursif, la production de l'énonciation porteuse de signification. Olga Gălățanu parle de
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
s'individualise par leș actes de șa pratique, comme l'organisation énonciative, la distance, la tension, la modalisation ou le contenu des énoncés (descriptifs, narratifs, performatifs).321 La cohésion de toutes ces conditions de production du discours donne naissance au texte, unité porteuse de sens, appelé par Michael Riffaterre " totalité en fonctionnement "322. On ne peut pas entamer une analyse du discours poétique sans avoir passé en revue le concept de pacte discursif, ce contrat qui se place à la base
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]