177,866 matches
-
G. Astalos, E. B. Steiciuc et alii, Sud, Marseille, 1996, p. 11-16. PONCET, Jean, " De la terre aux étoiles ou De l'influence du poète traduit sur le poète traducteur ", communication à l'occasion du Festival " Lucian Blaga " de Sibiu, 2010 (texte non publié). ROȘCA N., Ioan, " Metafizica generală și aplicativa la Lucian Blaga ", în Anelele Universității Spiru Haret. Studii de filosofie, no. 7/2005, p. 5-11, consulté le 12 avril 2010, URL : http://facultateadefilosofie.files.wordpress.com/2010/05/studii-de-filosofie-2005.pdf
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
Luis d'Antin van Rooten, Mots D'Heures: Gousses, Rames. The d'Antin Manuscript, Penguin Books UȘA, 1993. Cet exemple illustre, en effet, la traduction dite " phonologique ", qui se propose de transmettre fidèlement dans la langue cible leș sonorités du texte de départ, sans préserver le sens. V. Georges Mounin, " Phonostylistique et traduction ", în Revue d'esthétique, 12, 1986, p. 15 : " La plupart des théories de ce qu'on peut baptiser la surtraduction phonico-métrique șont le fait des traducteurs étrangers à la
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
surtraduction phonico-métrique șont le fait des traducteurs étrangers à la langue qu'ils traduisent, ou d'origine étrangère, ou bilingues ensorcelés par leur seconde langue. Ils rêvent à toute force de conserver la langue étrangère qu'ils traduisent dans le texte français qu'ils produisent, comme s'ils ne se satisfaisaient jamais tout à fait de celui-ci : c'est toujours la nostalgie de l'original, pathologique mais inguérissable. " 56 V. Jean-René Ladmiral, " Traduire, c'est-à-dire... Phénoménologie d'un concept pluriel ", în
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
un " artéfact psychopédagogique ", la " traduction spontanée " ou " silencieuse " pratiquée en classe et la " traduction minimale ", c'est-à-dire " celle qui tolère la méthode directe d'enseignement des langues, en fin de leçon, pour s'assurer qu'au bouț du compte le texte en langue étrangère sur lequel on a travaillé a été compris pour l'essentiel [...]. " La pratique la plus complexe de traduction à fins pédagogiques est ce que Ladmiral appelle " la traduction magistrale ", qui " a pour fonction de faire comprendre aux
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
des traducteurs/Meta : Translators' journal, 35-1, marș 1990, p. 113, consulté le 2 avril 2011, URL : http://id.erudit.org/revue/meta/1990/v35/n1/003370ar.pdf), Jean-René Ladmiral combat également l'idée de la traduction vue comme l'identique du texte source dans la culture cible : " Și l'on se tourne maintenant vers leș controverses qui touchent leș traductions, on verra qu'assez généralement ceux qui critiquent une traduction le font en reprochant au traducteur de s'être écarté du texte
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
texte source dans la culture cible : " Și l'on se tourne maintenant vers leș controverses qui touchent leș traductions, on verra qu'assez généralement ceux qui critiquent une traduction le font en reprochant au traducteur de s'être écarté du texte original : comme și la traduction se trouvait inconsciemment définie en termes d'identité. " Leș termes soulignés șont de l'auteur. 65 Charles R. Taber et Eugene Nida, La traduction : théorie et méthode, Alliance biblique universelle, Londres, 1971. 66 V. Jacques
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
que quand traduire est un laboratoire d'écrire " (p. 459). 75 Pour Meschonnic, la poétique de l'écriture est le point de départ d'une poétique de la traduction et, de cette façon, " la traduction peut être la métaphore d'un texte ". Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 152. 76 V. Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, Gallimard, Paris, 1973, p. 313-314 : " La traduction n'est plus définie comme transport du texte de
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
un texte ". Henri Meschonnic, Poétique du traduire, op. cît., p. 152. 76 V. Henri Meschonnic, Pour la poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, Gallimard, Paris, 1973, p. 313-314 : " La traduction n'est plus définie comme transport du texte de départ dans la littérature d'arrivée ou, inversement, transport du lecteur d'arrivée dans le texte de départ [...], mais comme travail dans la langue, décentrement, rapport interpoétique entre valeur et signification, structuration d'un sujet et histoire (que des
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
poétique ÎI : Épistémologie de l'écriture. Poétique de la traduction, Gallimard, Paris, 1973, p. 313-314 : " La traduction n'est plus définie comme transport du texte de départ dans la littérature d'arrivée ou, inversement, transport du lecteur d'arrivée dans le texte de départ [...], mais comme travail dans la langue, décentrement, rapport interpoétique entre valeur et signification, structuration d'un sujet et histoire (que des postulats formels avaient disjoints), et non plus sens. Cette proposition postule que le texte travaille la langue
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
arrivée dans le texte de départ [...], mais comme travail dans la langue, décentrement, rapport interpoétique entre valeur et signification, structuration d'un sujet et histoire (que des postulats formels avaient disjoints), et non plus sens. Cette proposition postule que le texte travaille la langue comme épistémologie en acte d'un savoir indissociable de cette pratique et qui, hors de cette pratique, n'est plus ce savoir mais un signifié. " C'est nous qui soulignons. V. aussi Muguraș Constantinescu, La traduction entre
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
nous qui soulignons. V. aussi Muguraș Constantinescu, La traduction entre pratique et théorie, op. cît., p. 199 : dans une interview, Henri Meschonnic déclare : " J'appelle une bonne traduction qui fait, non pas qui dit, qui fait ce que fait le texte à traduire. Îl y a "dire" et îl y a "faire" et je redonne beaucoup d'importance à ce verbe, tout simple, tout bête, le verbe "faire". Ce qui un texte fait c'est să force, c'est autre chose
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
pas qui dit, qui fait ce que fait le texte à traduire. Îl y a "dire" et îl y a "faire" et je redonne beaucoup d'importance à ce verbe, tout simple, tout bête, le verbe "faire". Ce qui un texte fait c'est să force, c'est autre chose que son sens, voilà... Îl y a de très bonnes traductions, on dit toujours que leș traductions vieillissent, ce n'est pas vrai. Leș très bonnes șont comme des œuvres originales
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
scientifique, est essentiellement descriptive [...]. Discours sur la traduction, cette science humaine récente a pour vocation première d'observer et de décrire la pratique traduisante dans toutes șes manifestations des plus orthodoxes (celles dont l'intention avouée est de conserver le texte de départ et d'en reconduire la finalité dans le texte traduit) aux plus déviantes (celles qui détournent résolument le texte de départ de șa finalité d'origine pour se l'approprier, à des fins parodiques ou politiques, féministes ou
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
récente a pour vocation première d'observer et de décrire la pratique traduisante dans toutes șes manifestations des plus orthodoxes (celles dont l'intention avouée est de conserver le texte de départ et d'en reconduire la finalité dans le texte traduit) aux plus déviantes (celles qui détournent résolument le texte de départ de șa finalité d'origine pour se l'approprier, à des fins parodiques ou politiques, féministes ou nationalistes). " C'est nous qui soulignons. 89 Elenă Ghiță, " Le statut
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
la pratique traduisante dans toutes șes manifestations des plus orthodoxes (celles dont l'intention avouée est de conserver le texte de départ et d'en reconduire la finalité dans le texte traduit) aux plus déviantes (celles qui détournent résolument le texte de départ de șa finalité d'origine pour se l'approprier, à des fins parodiques ou politiques, féministes ou nationalistes). " C'est nous qui soulignons. 89 Elenă Ghiță, " Le statut actuel de la traductologie ", în Études de traductologie, op. cît., p.
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
8. Leș termes soulignés șont de l'auteur. 123 Umberto Eco constate également qu'il faut décider și, " en traduisant, îl faut amener le lecteur à comprendre l'univers culturel de l'auteur ou bien s'il faut transformer le texte original, en l'adaptant à l'univers culturel du lecteur. " V. Umberto Eco, Dire presque la même chose. Expériences de traduction, op. cît., p. 202. Nous nous occupons dans le sous-chapitre 4 du rapport entre le culturel et la traduction
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
l'illusion de transparence sourcière, en rappelant cette évidence qu'on ne saurait faire l'économie d'une écriture traduisante qui engage une médiation par la subjectivité du traducteur. L'ignorer, c'est refuser qu'intervienne un traducteur entre le texte original (To) et la traduction (Tț) : ce serait penser la traduction en termes d'identité et vouloir qu'elle ne soit jamais qu'une répétition du texte original. Telle serait l'utopie sourcière de la traduction. " C'est nous qui soulignons
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
du traducteur. L'ignorer, c'est refuser qu'intervienne un traducteur entre le texte original (To) et la traduction (Tț) : ce serait penser la traduction en termes d'identité et vouloir qu'elle ne soit jamais qu'une répétition du texte original. Telle serait l'utopie sourcière de la traduction. " C'est nous qui soulignons. Critiquant elle aussi la traduction vue en termes d'identité à l'original, Élisabeth Lavault-Olléon met en question la notion sourcière de " fidélité " : " [...] une bonne traduction est
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
Critiquant elle aussi la traduction vue en termes d'identité à l'original, Élisabeth Lavault-Olléon met en question la notion sourcière de " fidélité " : " [...] une bonne traduction est toujours fidèle... bien sûr, mais fidèle à quoi ? Fidèle à l'auteur, au texte, aux mots, au style, au rythme, au contexte, aux attentes, aux besoins, au lecteur ?... autant de fidélités à quelque chose qui șont des infidélités à autre chose, au cœur d'une dialectique de l'écart et de l'identité, de la
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
dialectique de l'écart et de l'identité, de la fidélité et de la trahison. [...] La notion de "fidélité au sens", qui pourrait faire l'unanimité, n'est pas forcément plus explicite. S'agit-il du sens des mots ou de celui du texte, du sens que l'auteur veut signifier ou de celui (ceux ?) que le lecteur interprète ? " V. Élisabeth Lavault-Olléon, " La traduction comme engagement ", în op. cît., p. 9. Leș termes soulignés șont de l'auteur. 125 Jean-René Ladmiral, " Traduire, c'est-à-dire
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
aș to optimize communication, aș required by the situation, between all the parties involved. (3) The relation norm: a translator should act în such a way that an appropriate relation of relevant similarity is established and maintained between the source text and the target text. " La première norme tient à l'éthique du traducteur, la deuxième est une norme sociale, tandis que la troisième est une norme linguistique. (" (1) La norme de la responsabilité : un traducteur doit agir d'une manière qui
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
aș required by the situation, between all the parties involved. (3) The relation norm: a translator should act în such a way that an appropriate relation of relevant similarity is established and maintained between the source text and the target text. " La première norme tient à l'éthique du traducteur, la deuxième est une norme sociale, tandis que la troisième est une norme linguistique. (" (1) La norme de la responsabilité : un traducteur doit agir d'une manière qui satisfasse l'exigence de
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
norme de communication : un traducteur doit agir d'une manière qui facilite la communication entre leș parties impliquées, en fonction de la situation. [...] (3) La norme de la relation : un traducteur doit établir et maintenir une relation adéquate de similarité entre le texte source et le texte cible. " Notre traduction.) 142 Gisèle Sapiro, " Normes de traduction et contraintes sociales ", în Anthony Pym, Miriam Shlesinger, Daniel Simeoni (eds.), Beyond Descriptive Translation Studies : Investigations în Homage to Gideon Toury, Benjamins Translation Library, 2008, p. 200
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
traducteur doit agir d'une manière qui facilite la communication entre leș parties impliquées, en fonction de la situation. [...] (3) La norme de la relation : un traducteur doit établir et maintenir une relation adéquate de similarité entre le texte source et le texte cible. " Notre traduction.) 142 Gisèle Sapiro, " Normes de traduction et contraintes sociales ", în Anthony Pym, Miriam Shlesinger, Daniel Simeoni (eds.), Beyond Descriptive Translation Studies : Investigations în Homage to Gideon Toury, Benjamins Translation Library, 2008, p. 200. 143 V. Ibid : " La
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
-
v51/n3/013555ar.pdf. 170 Christiane Nord, Translation aș a Purposeful Activity. Funcționalist Approaches explained, op. cît., p. 28 : " le but général visé par le traducteur pendant le processus traductif (peut-être "gagner să vie"), le but communicatif visé par le texte cible dans la situation cible (peut-être "instruire le lecteur") et le but visé par une stratégie ou procédé de traduction (par exemple "traduire littéralement afin de prouver leș particularités structurelles de la langue source"). " Notre traduction. C'est nous qui soulignons
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]