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ai vu Dieu/avec plus de grandeur !? " (Nu-mi presimți ?/ Ne pressens-tu pas ?) (Veturia Drăgănescu-Vericeanu, 1974 : 69). Dans le texte source, " mai mare " est un adjectif (" plus grand "), et non un adverbe de manière, comme le considère la traductrice. " Înalt unicorn fără glas/s-a oprit spre asfințit să asculte. " " Une grande licorne muette/s'est arrêtée pour entendre le couchant. " (Septemvrie/Septembre) (Poncet, 1996 : 136). La version de Jean Poncet est construite sur un contresens : la licorne s'est arrêtée
[Corola-publishinghouse/Science/1467_a_2765]
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raiului/La lumière du paradis) (Romanescu, 1998 : 51) ; " pomii scriși cu frunză rară " (" leș arbres écrits à feuillage rare ") " l'ombre au feuillage de soie " (Anotimpuri/Saisons) (Romanescu, 1998 : 62) ; " lumea aievelor " (" le monde réel ") " monde sans rêve " (Ce aude unicornul/Ce que l'unicorne entend) (Romanescu, 1998 : 84) ; " Numai astfel stihul are un temei/să se-mplinească și să fie floare. Țel est l'unique fondement sur quoi le vers peut s'accomplir et se faire fleur. ") " Autrement le vers
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paradis) (Romanescu, 1998 : 51) ; " pomii scriși cu frunză rară " (" leș arbres écrits à feuillage rare ") " l'ombre au feuillage de soie " (Anotimpuri/Saisons) (Romanescu, 1998 : 62) ; " lumea aievelor " (" le monde réel ") " monde sans rêve " (Ce aude unicornul/Ce que l'unicorne entend) (Romanescu, 1998 : 84) ; " Numai astfel stihul are un temei/să se-mplinească și să fie floare. Țel est l'unique fondement sur quoi le vers peut s'accomplir et se faire fleur. ") " Autrement le vers pourrait-il des couleurs/Recréer
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Cri dans le désert), p. 81 poème qui comprend une répétition des mêmes vers à la fin des strophes ; Trei fete (Trois visages), p. 37 poème qui est en effet un jeu de mots construit sur une reprise ; Ce aude unicornul (Ce qu'entend la licorne), p. 437 poème dont chaque strophe commence par leș mêmes mots ; Oglindă din adânc (Le miroir des profondeurs), p. 471 poème qui contient quatre répétitions du même vers. 5. Suppression du tiret dans la traduction
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erele (Par toutes leș ères), p. 533, Cântecul focului (La chanson du feu), p. 535, Vara Sfanțului Mihai (8 noiemvrie) (L'été de la Saint Michel (Le 8 novembre)), p. 539, Sfârșitul de an (Fin d'année), p. 543, Ce aude unicornul (Ce qu'entend la licorne), p. 547, Catrenele fetei frumoase (Leș quatrains de la belle fille), p. 551, Poezia (La poésie), p. 557, Vara lângă rău (Été près de la rivière), p. 559, Drumeție (Chemin), p. 563, Oda simplisimei flori (Ode à
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Rune (Runes), p. 140, La curțile dorului (Au seuil du mystère), p. 148, Epitaf (Épitaphe), p. 170, Götterdämmerung (Götterdämmerung), p. 178, Drum prin cimitir (La route du cimetière), p. 182, Epitaf pentru Euridike (Épitaphe pour Eurydice), p. 192, Ce aude unicornul (Ce qu'entend la licorne), p. 214. 1526 V. în Jean Poncet (dir.), Lucian Blaga ou le chant..., op. cît. : Lucian Blaga, Lumina de ieri (La lumière d'hier), p. 134, Poeții (Leș poètes), p. 186, Supremă ardere (Suprême combustion
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dans la nuit), p. 56 ; Primăvară (Printemps), p. 59 ; Cântec pentru anul 2000 (Chanson pour l'an 2000), p. 60 ; Semnal de toamnă (Signal d'automne), p. 69 ; Anno domini (Anno domini), p. 70 ; Catren (Quatrain), p. 78 ; Ce aude unicornul (Ce que l'unicorne entend), p. 84 ; Catren (Quatrain), p. 86 ; Prin toate erele (Par toutes leș ères), p. 88 ; Toate drumurile duc (Toutes leș voies mènent), p. 89. 1531 V. Lucian Blaga, Peisaj trecut (Paysage passé), în Laudă somnului
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56 ; Primăvară (Printemps), p. 59 ; Cântec pentru anul 2000 (Chanson pour l'an 2000), p. 60 ; Semnal de toamnă (Signal d'automne), p. 69 ; Anno domini (Anno domini), p. 70 ; Catren (Quatrain), p. 78 ; Ce aude unicornul (Ce que l'unicorne entend), p. 84 ; Catren (Quatrain), p. 86 ; Prin toate erele (Par toutes leș ères), p. 88 ; Toate drumurile duc (Toutes leș voies mènent), p. 89. 1531 V. Lucian Blaga, Peisaj trecut (Paysage passé), în Laudă somnului, op. cît., p. 91
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